Le chef du bureau Asie d'Arab News se souvient de 18 mois de captivité aux Philippines

Le journaliste Baker Atyani fait un signe de la main en montant à bord d’un avion à l'aéroport de Jolo, dans le sud des Philippines, le 6 décembre 2013, un jour après avoir échappé aux bandits d'Abu Sayyaf. (Photo d'archives AFP)
Le journaliste Baker Atyani fait un signe de la main en montant à bord d’un avion à l'aéroport de Jolo, dans le sud des Philippines, le 6 décembre 2013, un jour après avoir échappé aux bandits d'Abu Sayyaf. (Photo d'archives AFP)
Baker Atyani est escorté par la police à l'aéroport de Jolo après avoir échappé aux bandits d'Abu Sayyaf. (Photo fournie)
Baker Atyani est escorté par la police à l'aéroport de Jolo après avoir échappé aux bandits d'Abu Sayyaf. (Photo fournie)
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Publié le Lundi 20 juin 2022

Le chef du bureau Asie d'Arab News se souvient de 18 mois de captivité aux Philippines

  • Baker Atyani a été enlevé par le groupe militant philippin Abu Sayyaf en 2012 et détenu pendant 18 mois
  • Selon Atyani, Abu Sayyaf s’est affaibli après que l'un des ravisseurs du groupe s’est récemment rendu aux autorités philippines

MANILLE/DJEDDAH: Dix ans après avoir été enlevé et pris en otage par des militants d'Abu Sayyaf, le chef du bureau Asie d'Arab News, Baker Atyani, se souvient des longues journées de captivité dans les jungles du sud des Philippines, après avoir appris que l'un de ses ravisseurs s’est rendu à l'armée philippine.

Atyani était de service, en reportage pour la chaîne d'information Al-Arabiya, en juin 2012, lorsque le groupe Abu Sayyaf – une organisation militante opérant dans la province de Sulu –  l'a enlevé et a demandé une rançon.

Il a été retenu en captivité pendant 18 mois, souvent à l'isolement, avant de réussir à s'échapper.

Au cours des années qui ont suivi, certains de ceux qui ont retenu Atyani en otage ont été tués par l'armée dans le sud des Philippines et d'autres ont été arrêtés. Cette semaine, l'un des membres les plus notoires du groupe Abu Sayyaf (ASG), Ben Quirino, également connu sous le nom de Ben Tattoo, dont Atyani se souvient comme le plus fort combattant de l’ASG, s'est rendu à l'armée philippine.

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Ben Tattoo remet ses armes à un responsable militaire sur l'île de Jolo, le 17 juin 2022. (Photo des Forces armées des Philippines)

Formé en 1991, l'ASG est un groupe dissident du Front de libération nationale Moro, un mouvement qui recherche l'autonomie des musulmans philippins dans le sud des Philippines. Il était initialement influencé par Al-Qaïda, mais depuis le début des années 2000, il est surtout impliqué dans des extorsions, des assassinats et des enlèvements avec demande de rançon. Certaines de ses factions, entre autres le groupe Sawadjaan dont Tattoo était sous-directeur, ont apporté leur soutien aux opérations de Daech en Asie du Sud-Est.

Tattoo, 41 ans, est lié au meurtre de plusieurs étrangers, dont deux touristes canadiens qui ont été enlevés dans la station balnéaire de Samal en 2015 et retenus en captivité dans le bastion du groupe à Jolo. La rançon de 6,4 millions de dollars n’ayant pas été payée, il s'était filmé en train de décapiter les Canadiens en 2016.

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Baker Atyani a été retenu en otage dans une hutte pendant environ 500 jours. (Photo fournie).

Lorsque la nouvelle de la reddition de Tattoo est tombée vendredi, Atyani s’est souvenu de la façon dont le militant avait l'habitude de pointer sa machette et son fusil M-14 vers lui.

«Il doit faire face à la justice. Il devrait être puni pour ce qu'il a fait», dit le journaliste chevronné.

«C'est un sentiment aigre-doux. Mon esprit est inondé de souvenirs des longues journées passées dans la jungle de Sulu en tant qu’otage aux mains d'Abu Sayyaf», poursuit-il

Pendant plus de 500 jours, Atyani a été détenu dans une hutte, et Tattoo s’assurait souvent qu’il allait bien.

«C’était le pilier de la faction Sawadjaan de l’ASG. Il était considéré comme l'un des meilleurs combattants, un combattant de première ligne et le plus fort d'entre eux», raconte Atyani.

«Ben Tattoo était également connu sous le nom de Ben M-14 parce qu'il portait toujours un M-14, avec une crosse en bois qui avait été spécialement sculptée pour lui.»

Selon Atyani, la cruauté dont Tattoo a fait preuve au fil des ans faisait partie des tentatives du militant de prouver qu'il était un membre fiable de la faction dominée par le clan Sawadjaan, dont il n'était pas membre.

«Il essayait toujours de prouver qu'il était un bon combattant, que la famille Sawadjaan pouvait compter sur lui et qu'il était capable de tout», explique Atyani.

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Ben Tattoo, l'un des ravisseurs de Baker Atyani, est lié à une série de meurtres. (Twitter).

Mais sa brutalité n'a pas réussi à séduire les dirigeants de l’ASG et il n'a jamais pu s'en rapprocher.

Dans la vidéo prise par l’ASG au moment où les otages canadiens sont assassinés, Tattoo est le seul militant à ne pas se couvrir le visage.

«Tattoo a toujours essayé de prouver qu'il était quelqu'un en qui on pouvait avoir confiance, il essayait de se rapprocher du premier cercle du groupe, mais il n'en a jamais eu l’occasion et c’est pourquoi il tentait de faire ses preuves.»

Atyani pense que les tentatives de Tattoo d’accéder à un rang supérieur au sein du groupe ont finalement abouti à son isolement après que le chef de la faction, Hadjan Sawadjaan, a été tué par les troupes dans la région de Patikul à Jolo, le bastion de l’ASG, en 2020.

«Les fils de Sawadjaan ne voulaient pas que Ben Tattoo soit le leader», indique Atyani. «Après la mort de Hadjan, il s’est retrouvé sans aucun soutien de la communauté de la jungle principalement dominée par la famille Sawadjaan et le chef de l’ASG, Radullan Sahiron.»

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Baker Atyani a été retenu en otage dans une hutte pendant environ 500 jours. (Photo fournie)

EN BREF

Abu Sayyaf est le plus violent des groupes séparatistes islamiques opérant dans le sud des Philippines. Il prétend promouvoir un État islamique indépendant dans l'ouest de Mindanao et dans l'archipel de Sulu. Après s'être séparé du Front de libération nationale Moro au début des années 1990, le groupe a mené une campagne d'enlèvements avec demande de rançon, d'attentats à la bombe, d'assassinats et d'extorsions. Il a même entretenu des liens avec la Jemaah Islamiyah.

Tattoo s'est rendu aux militaires à Patikul après la reddition de son demi-frère, Almujer Yadah, qui était responsable de la logistique et de l'approvisionnement en nourriture de l'ASG.

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Baker Atyani a pris la décision de rester en vie et de ne pas céder à des «ignorants». (Photo fournie)

«Nous considérons ces deux chefs de l’ASG comme les plus notoires à s'être rendus, compte tenu du nombre d'accusations à leur encontre – enlèvements avec demande de rançon, meurtres, et bien d'autres encore», a indiqué vendredi à Arab News le général de division Ignatius Patrimonio, commandant de la 11e division d'infanterie chargée de combattre le militantisme à Sulu.

«Ils en ont eu assez de fuir les forces militaires qui les poursuivent. Ils n'avaient plus le soutien de la population locale, leur groupe a été décimé et leurs frères tués. »

La force de l'ASG est en baisse depuis 2018, lorsque l'armée philippine a intensifié sa répression contre les affiliés de Daech. Les données de la 11e division d'infanterie montrent que le nombre de militants actifs est passé d'environ 300 en 2019 à environ 100.

Le frère de Ben Tattoo, Almujer Yadah, un responsable de la logistique et de l'approvisionnement alimentaire d'Abu Sayyaf, rend son arme à feu à l'armée philippine à Jolo le 17 juin 2022. (Photo fournie)

Le brigadier-général Benjamin Batara Jr, commandant de la 1103e brigade d'infanterie, qui a juridiction sur Patikul, a déclaré à Arab News que l'armée suivait Tattoo et Yadah depuis l'année dernière.

 

«Apparemment, ils étaient déjà sous pression en raison des opérations militaires et policières continues et d'une série de redditions de leurs camarades membres d'Abu Sayyaf», a-t-il ajouté.

L'armée les a remis à la police vendredi et tous deux font face à une série d'accusations criminelles.

Atyani pense que l'affaiblissement du groupe Abu Sayyaf et d'autres organisations militantes a conduit à la reddition d'un certain nombre de combattants.

Bien que le soutien de la population locale n'ait pas beaucoup fléchi (certains croient toujours en ce qu'ils appellent «la cause du peuple de Mindanao), l'assassinat ou l'arrestation d'une série de chefs militants au cours des trois dernières années a accéléré le déclin des groupes extrémistes.

«Aucun enlèvement n'a été signalé depuis au moins un an ou un an et demi, ce qui prouve qu'ils sont confrontés à de graves problèmes financiers, et sans argent ils ne peuvent pas survivre», précise Atyani.

Au total, 67 membres d'Abu Sayyaf à Sulu se sont rendus aux forces de sécurité à Jolo depuis le début de l'année.

Neuf ans après son évasion, les émotions d'Atyani demeurent vives.

«Je revis le moment. C'est pourquoi je compatis avec ceux qui sont toujours aux mains d'Abu Sayyaf ou d'autres groupes militants.»

Il évoque sa peur de l'inconnu et affirme que c'est la raison pour laquelle il n’a pas abandonné et a pris la décision de rester en vie et de ne pas céder à ceux qu'il appelle les «ignorants», d'où ses multiples tentatives d’évasion.

«J'étais prêt à perdre la vie, mais à ma façon, pas à la leur».

Baker Atyani a pris la décision de rester en vie et de ne pas céder à des «ignorants». (Photo fournie)

Le calvaire d'Atyani a pris fin le 3 décembre 2012, lorsqu'il a finalement réussi à s’échapper et à trouver refuge.

Pendant près d'une décennie, apprendre que ses ravisseurs étaient morts ou capturés le soulageait.

«Ceux qui ont été injustes envers moi subissent à présent le sort qu’ils méritent. S’ils n’ont pas été tués ou arrêtés, ils sont derrière les barreaux. C'est certainement une sorte de soulagement. Mais, encore une fois, c'est une histoire qui ne se termine jamais. Je pense que ces cicatrices de mon enlèvement ne disparaîtront jamais.»

«Ainsi, la justice a été rendue et continue de l’être.»


La culture et l'histoire du Royaume sont célébrées dans le cadre de l'événement « Mémoire de la terre »

Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé un événement intitulé « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation. (SPA)
Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé un événement intitulé « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation. (SPA)
Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé un événement intitulé « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation. (SPA)
Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé un événement intitulé « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation. (SPA)
Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé un événement intitulé « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation. (SPA)
Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé un événement intitulé « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation. (SPA)
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  • L'événement fait revivre le patrimoine à travers des expositions, de la musique, de l'artisanat et des expériences interactives.
  • Organisé près du parc du roi Abdulaziz, il propose une série d'activités inspirées par le patrimoine naturel et culturel de l'Arabie saoudite.

RIYAD : Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé une manifestation intitulée « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation.

L'événement propose un voyage immersif à travers la riche histoire et le patrimoine culturel du pays, avec des expositions interactives, des spectacles musicaux et des démonstrations d'artisanat qui, selon un rapport de l'agence de presse saoudienne, « donnent vie aux récits historiques ».

À Qassim, une zone est réservée aux enfants et propose des expériences attrayantes pour découvrir l'histoire du Royaume, tandis qu'un espace familial comprend des « activités de divertissement telles que des puzzles et des jeux passionnants », selon la SPA.

L'événement comprend également des spectacles musicaux, des expositions d'arts du spectacle, un espace de restauration pour tous les publics et une section d'artisans soutenant l'initiative de l'Année de l'artisanat.

L'événement a pour but de mettre en valeur le patrimoine culturel du Royaume, de raviver les célébrations de sa fondation et de renforcer la prise de conscience nationale de son histoire.

Dans la région du nord du pays, des expositions comprenant des stations interactives détaillent les étapes importantes qui ont façonné l'État saoudien. 

L'événement vise à sensibiliser la population nationale en recréant des événements, des personnages et des costumes historiques, tout en mettant en valeur le patrimoine culturel grâce à un mélange de styles traditionnels et modernes, a déclaré la SPA.

La zone des artisans a présenté les compétences de ces derniers, offrant aux visiteurs un aperçu du riche patrimoine artisanal du Royaume. Une zone pour les enfants proposait des leçons d'histoire interactives, et il y avait également une zone familiale avec des puzzles et des jeux.

À Najran, l'événement a attiré un nombre « remarquable » de citoyens et de résidents qui ont pu « explorer la création de l'État saoudien à travers des éléments clés de l'histoire, de la culture et du patrimoine, ainsi que des personnages notables et des vêtements traditionnels », a rapporté l'agence SPA.

Organisé près du parc du roi Abdulaziz, l'événement proposait une série d'activités inspirées par le patrimoine naturel et culturel de l'Arabie saoudite. L'espace réservé aux artisans a été l'un des points forts de l'événement, avec la présentation d'objets traditionnels tels que les brûleurs d'encens et le tissage Sadu, ainsi que l'Al-Khous, une méthode de tissage traditionnelle utilisant des feuilles de palmier, qui constitue une part importante du patrimoine culturel et social de Najran. 

« Le processus consiste à les couper, les laver, les sécher et les empaqueter, puis à les tremper dans l'eau pour les ramollir. Elles sont ensuite cousues ensemble, façonnées en tissu et soigneusement découpées pour éliminer les épines. Une fois préparées, les frondes sont colorées et transformées en produits finis », explique la SPA.

À Jazan, les habitants ont exprimé leur fierté nationale en portant des vêtements traditionnels et en arborant des drapeaux et des symboles saoudiens. Accompagnés de leurs parents, les enfants ont pu explorer l'événement et découvrir l'histoire de l'Arabie saoudite, qui s'étend sur plus de trois siècles.

L'événement comprenait également une série d'activités s'inspirant des éléments naturels et culturels de l'Arabie saoudite et apportant une touche de modernité. 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Le président du Conseil de la Choura dirige la délégation saoudienne à la conférence du Parlement arabe

Le président du Conseil de la Shoura, Cheikh Abdullah bin Mohammed bin Ibrahim Al-Sheikh, a conduit la délégation saoudienne à la septième conférence du Parlement arabe et des présidents des conseils et parlements arabes, qui s'est tenue  samedi au siège de la Ligue des États arabes au Caire. (SPA
Le président du Conseil de la Shoura, Cheikh Abdullah bin Mohammed bin Ibrahim Al-Sheikh, a conduit la délégation saoudienne à la septième conférence du Parlement arabe et des présidents des conseils et parlements arabes, qui s'est tenue samedi au siège de la Ligue des États arabes au Caire. (SPA
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  • La conférence a porté sur le renforcement de l'unité parlementaire arabe, avec un point clé de l'ordre du jour consacré au soutien du peuple palestinien.
  • Les participants ont travaillé à la formulation d'une position parlementaire arabe unifiée pour défendre les droits des Palestiniens.

Le Caire : Cheikh Abdullah bin Mohammed bin Ibrahim Al-Sheikh, président du Conseil de la Choura, a conduit la délégation saoudienne à la 7e Conférence du Parlement arabe et des présidents des conseils et parlements arabes.

La conférence, qui s'est tenue samedi au siège de la Ligue des États arabes au Caire, portait sur le renforcement de l'unité parlementaire arabe.

Un point de l'ordre du jour était consacré au soutien du peuple palestinien et au rejet de toute proposition de déplacement forcé. Dans le cadre des discussions, les participants ont travaillé à la formulation d'une position parlementaire arabe unifiée pour défendre les droits des Palestiniens. Le résultat a été la publication d'un plan d'action parlementaire arabe unifié décrivant les mesures concrètes que les parlementaires arabes pourraient prendre.

Avant son approbation officielle, les présidents des conseils et parlements arabes ont tenu une session consultative à huis clos pour finaliser les principaux aspects du plan, qui sera soumis au sommet arabe pour adoption.

La délégation du Royaume à la conférence comprenait le secrétaire général du Conseil de la Choura, Mohammed bin Dakhil Al-Mutairi, ainsi que les membres du Conseil Saad bin Salib Al-Otaibi, Tariq bin Saeed Al-Shammari, Hanan bint Abdullah Al-Sammari, Abdullah bin Abdulaziz bin Aifan et Amal bint Abdulaziz Al-Hazani.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L'ambassade saoudienne en Syrie célèbre le jour de la fondation du Royaume

Le vice-ministre des affaires étrangères, Yasser Al-Jundi, des membres du corps diplomatique accrédité en Syrie et un groupe d'hommes d'affaires et d'intellectuels ont assisté à la célébration. (Photo Fournie)
Le vice-ministre des affaires étrangères, Yasser Al-Jundi, des membres du corps diplomatique accrédité en Syrie et un groupe d'hommes d'affaires et d'intellectuels ont assisté à la célébration. (Photo Fournie)
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  • Le vice-ministre syrien des Affaires étrangères, Yasser Al-Jundi, ainsi que des membres du corps diplomatique accrédité en Syrie et un groupe d'hommes d'affaires et d'intellectuels ont assisté à la célébration.
  • Le ministre saoudien des Communications et des Technologies de l'information, Abdullah Al-Swaha, a rencontré des cadres supérieurs de grandes entreprises mondiales lors de la Future Investment Initiative à Miami.

DAMAS : L'ambassade d'Arabie saoudite en République arabe syrienne a organisé une réception à l'occasion de la Journée de la fondation du Royaume à son siège dans la capitale syrienne, Damas.

Le vice-ministre syrien des Affaires étrangères, Yasser Al-Jundi, ainsi que des membres du corps diplomatique accrédité en Syrie et un groupe d'hommes d'affaires et d'intellectuels ont assisté à la célébration, a rapporté samedi l'agence de presse saoudienne.

Parallèlement, le ministre saoudien des Communications et des Technologies de l'information, Abdullah Al-Swaha, a tenu des réunions de haut niveau avec des cadres supérieurs de grandes entreprises mondiales lors de la Future Investment Initiative à Miami, afin de renforcer les partenariats dans les domaines de la technologie, de l'intelligence artificielle, de l'investissement et du secteur spatial.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com