Après le lourd réquisitoire du parquet du pôle financier près le tribunal de Sidi M’hamed, à Alger, la défense de Saïd Bouteflika, frère conseiller du défunt président déchu, et Ali Haddad, patron du groupe ETRHB, a plaidé la relaxe en tentant, lundi en fin de journée, de faire tomber les griefs de «blanchiment d’argent», «trafic d’influence», «abus de fonction», «enrichissement illicite», «non-déclaration de patrimoine», «dissipation de biens considérés comme produit de la corruption» et «financement occulte de parti politique», en ce qui concerne Saïd Bouteflika, et «blanchiment d’argent», «dissipation de produit de la corruption» et «financement occulte de parti politique», pour Ali Haddad.
Des faits liés à l’affaire du financement de la chaîne de télévision privée Istimraria (continuité), dédiée à la campagne électorale du défunt candidat, Abdelaziz Bouteflika, pour un 5e mandat.
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