Les ambitions du président turc Recep Tayyip Erdogan varient et se multiplient : Le gaz méditerranéen, le mensonge de la «patrie bleue», le Croissant Pétrolier Libyen, le Haut-Karabakh arménien... Pour ensuite les assouvir par le pétrole azerbaïdjanais tout en traversant de multiples aventures qui le mènent en Irak et en Syrie. Tout Cela ne l’a pas empêché d’adopter sa politique de rivalités avec tout le monde, et de jouer le rôle de saboteur et de dévastateur en Syrie, en Libye, au Yémen, en Somalie et encore en Arménie.
Erdogan a ouvert plusieurs fronts, commençant par l'implication turque en Irak contre les Kurdes. En Syrie et en Libye, pour soutenir « les Frères musulmans », en essayant de leur fournir tous les moyens nécessaires afin de diriger et de contrôler la plupart des pays du Moyen-Orient. Ensuite, l’intervention turque flagrante s’est intensifiée après la chute du régime des Frères musulmans en Égypte, ce qui a porté un coup fatal au projet turc de manière à contrôler le Moyen-Orient, pour enfin relancer son, soi-disant, projet du deuxième Empire ottoman.
Dans le même contexte de l’absurdité et de l'ignorance politique, et de l’exploitation abusive de l'économie turque dans des aventures politiques incalculables, Erdogan a ouvert d’innombrables fronts politiques ainsi que des fronts militaires contre les principaux pays arabes, islamiques et surtout sunnites, en particulier, l'Egypte et l'Arabie saoudite en s'alignant avec l’axe iranien du mal.
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