Les survivants de l'explosion du port de Beyrouth perdent espoir alors que le Liban bascule d'une crise à l'autre

Images des victimes de l'explosion de Beyrouth affichées près du port. (Photo fournie)
Images des victimes de l'explosion de Beyrouth affichées près du port. (Photo fournie)
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Publié le Dimanche 08 août 2021

Les survivants de l'explosion du port de Beyrouth perdent espoir alors que le Liban bascule d'une crise à l'autre

  • La catastrophe du 4 août 2020 s'est abattue sur une population déjà ébranlée par des mois de difficultés
  • Les survivants reviennent sur l'année écoulée avec un mélange de tristesse, de perplexité, de colère et de chagrin

DUBAÏ : Un an s'est écoulé depuis qu'une explosion a dévasté Beyrouth ainsi que la vie de ses habitants. Plus de 200 personnes sont mortes et des dizaines de milliers se sont retrouvées sans abri lorsqu'une énorme cache de nitrate d'ammonium mal stocké s'est enflammée dans un entrepôt du port de Beyrouth, déclenchant une explosion dont l'onde de choc a été ressentie jusqu'à Chypre.

La catastrophe s’est abattue sur une population déjà ébranlée par des mois de difficultés suite à l'effondrement du système bancaire libanais, de multiples vagues de la pandémie de la Covid-19 et un gouvernement trop paralysé par les conflits internes pour réagir.

Baydzig Kalaydjian, une enseignante et journaliste libano-arménienne, se trouvait à Chypre lorsque l'explosion s'est produite. Elle est rapidement retournée à Beyrouth et elle travaille maintenant comme bénévole à DAFA, un groupe de campagne qui fournit des colis de nourriture, des vêtements et aide à rénover les maisons.

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«Ce jour-là, en tant que Libanais, nous avons été brutalement tués», a révélé Kalaydjian, dont l'une de ses amis a perdu ses deux yeux lors de l'explosion. «Peu importe le temps qui passe, nous portons toujours avec nous le besoin de vérité, de justice et de responsabilité. Que pouvons-nous faire d'autre? Nous continuons à lutter pour la justice et exigeons un réel changement dans le système politique libanais». 

En effet, pour marquer le premier anniversaire de l'explosion du 4 août et pour réaffirmer leur revendication de justice, des milliers de Libanais ont envahi les rues de la capitale, réclamant la destitution du gouvernement intérimaire.

Dans des scènes rappelant le mouvement social de 2019 connu sous le nom de «thawra », ou « révolution » en arabe,  les manifestants se sont à nouveau affrontés avec les forces de sécurité dans le centre-ville de Beyrouth.

Les survivants regardent l'année écoulée avec un mélange de perplexité, d'angoisse, de colère et même de culpabilité. Marwa Darazi, 25 ans, a quitté Beyrouth et s'est installée à Dubaï en janvier 2021, où elle travaille dans les relations publiques. La culpabilité d'avoir quitté son pays pèse lourdement sur sa conscience. «Cela ne devient pas plus facile», a-t-elle déclaré à Arab News à l'occasion de l'anniversaire de l'explosion.

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«La date du 4 août a vraiment changé la définition de ce que je pensais que la vie était. J'avais 24 ans et j'étais sur la bonne voie de ma carrière. Je venais de louer mon premier appartement avec vue sur le port, j'avais ma voiture, ma liberté, ma famille, et mes amis étaient autour. Je me sentais stable. 

«Même si je savais que mon pays n’était pas sûr, l’idée d’avoir son propre chez soi me donnait automatiquement le sentiment de sécurité. Mais, en quelques secondes, tout cela m'a trahi».

Darazi, qui a été grièvement blessée dans l'explosion, travaillait pour une société de relations publiques de luxe à Beyrouth. Mais après la catastrophe, elle a commencé à faire du bénévolat pour Beb w Shebbek, une organisation caritative locale lancée par deux habitantes de Beyrouth Mariana Wehbe et Nancy Gabriel dans le but d’aider à reconstruire la vie des gens

«J'ai tout donné à Beyrouth», a confié Darazi. «À chaque vol de retour, je pleure comme si c'était la première fois que je partais. Il y a aussi la culpabilité de vivre ici (à Dubaï) pendant que mes parents souffrent sans électricité dans la chaleur, avec de la nourriture pourrie dans le réfrigérateur.

«La nourriture est super chère maintenant compte tenu de la dévaluation de la monnaie. Rien ne semble juste, peu importe ce que je fais ou où je suis. Tout ce que je peux faire, c'est dormir une autre nuit et prier pour que les fenêtres n'explosent pas. Est-ce normal?»

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Un an plus tard, aucun politicien n'a tenu à rendre des comptes et le pays fait face à une pauvreté croissante, une monnaie en chute libre, des manifestations de colère et des pénuries d'articles de base, des médicaments au carburant, de nombreux survivants de l'explosion bouillonnent à l'approche du premier anniversaire de la tragédie. (Photo, AFP/Archives)

Annie Vartivarian, galeriste et collectionneuse d'art libano-arménienne, a perdu sa fille Gaïa Fodoulian, 29 ans, dans l'explosion. Vartivarian a choisi de rester à Beyrouth et de poursuivre le travail de sa fille en lançant AD Leb, une plateforme en ligne d'art et de design sur laquelle Fodoulian travaillait au moment de sa mort.

Vartivarian a organisé sa première grande exposition à Beyrouth en avril intitulée «Chacun est le créateur de sa propre foi», une référence à une publication sur Facebook que sa fille avait publiée quelques heures avant d'être tuée.

«Après un an, je ne suis pas surpris que nous n'ayons rien trouvé », a déclaré Vartivarian à Arab News. « En tant que personne née et élevée au Liban, et ayant vécu toute la guerre civile ici, je sais comment le pays fonctionne, comment les choses se passent et comment les fonctionnaires se cachent. 

«Mais cela ne veut pas dire que je n'ai pas d'espoir que les choses changent, surtout avec ce que fait le juge Tarek Bitar».

Bitar, le président du tribunal correctionnel de Beyrouth, a été nommé pour mener l'enquête sur l'explosion de février 2021 à la suite de la destitution du juge Fadi Sawan. En début juillet, Bitar a annoncé qu'il avait l'intention d'interroger de hauts responsables politiques et des chefs de la sécurité   en demandant la levée de leur immunité. Jusqu'à présent, les autorités ont rejeté ses appels. 

Amnesty International, le groupe international de défense des droits de l’homme, a accusé les autorités libanaises d'avoir «entravé sans vergogne la quête de vérité et de justice des victimes» au cours des mois qui ont suivi l'explosion, protégeant activement les fonctionnaires de tout examen approfondi et entravant le déroulement de l'enquête.

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Gaia Foudalian, la fille d'Annie Vartivarian, tuée dans l'explosion. (Photo fournie)

«Je sais que, quoi que nous fassions, Gaia ne reviendra pas», a signalé Vartivarian. «En tant que mère qui veut que ses enfants soient heureux, j'espère juste qu'elle est heureuse maintenant, où qu'elle soit. Mais je pense qu'elle se reposera quand il y aura justice pour ce qui s'est passé et quand la réalité sera connue».

D'autres survivants ont choisi de quitter Beyrouth. Walid Alami, cardiologue au centre médical Clemenceau de Beyrouth, a décidé d'émigrer aux États-Unis. Il se souvient du carnage de cette nuit, il y a un an.

«En 10 secondes, le degré de destruction et de perte de vies humaines était quelque chose que nous n'avions pas connu même pendant la guerre civile ou les invasions israéliennes», a déclaré Alami à Arab News. «Je m'occupais de petites coupures, mais mon frère Ramzi, qui est chirurgien, travaillait aussi toute les nuits, les jours et les semaines qui ont suivi».

Ramzi a récemment déménagé à Washington D.C. «Il fait partie des milliers de médecins qui sont partis », a dévoilé Alami. «Personnellement, je prépare mon retour aux États-Unis car il est difficile de vivre au Liban en ce moment dans ces circonstances, sans parler de nos problèmes financiers. Nos salaires sont maintenant un dixième de ce qu'ils étaient auparavant». 

Il a ajouté : «C'est une situation désastreuse et je ne vois pas une lueur d'espoir. Il faudra beaucoup de temps pour nous frayer un chemin à partir de ce trou profond dans lequel nous sommes».

L'artiste, conservateur et éditeur Abed Al-Kadiri a déménagé de Beyrouth à Paris en janvier 2021, mais il est retourné à Beyrouth pour participer aux commémorations de l'anniversaire.

«Je voulais être avec mes amis, collègues et survivants », a-t-il déclaré à Arab News. «Nous n’avons pas eu le temps ni les circonstances pour faire consciemment face à ce qui s’est passé et à ce que nous avons perdu. Je suis seulement parti. J'étais traumatisé et brisé. Je n'ai pas beaucoup travaillé depuis mon départ. J'ai essayé de me guérir. Mais c'était vraiment important pour moi de revenir».

Sarah Copland a obtenu un poste à Beyrouth pour travailler au Centre pour les femmes de la Commission économique et sociale des Nations Unies pour l'Asie occidentale (ESCWA) en mettant l'accent sur l'égalité des sexes et les droits des femmes.

Elle n'était qu'à quelques semaines de quitter le Liban pour retourner dans son pays natal, l’Australie pour donner naissance à son deuxième enfant lorsque l'explosion s'est produite. L’explosion a tué son fils, Isaac, qui n'avait que deux ans.

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L'explosion a tué le fils de Sara Copeland, Isaac, qui n'avait que deux ans. (Photo fournie)

«Isaac a été frappé à la poitrine par un morceau de verre», a confessé Copland à Arab News. «Nous l'avons transporté d'urgence à l'hôpital Rafik Hariri. J'ai également été blessé et j'avais beaucoup de verre incrusté dans mon corps, notamment dans mon visage. Étant à un stade avancé de ma grossesse, ils m'ont emmenée pour soigner mes blessures. Mon mari est resté avec Isaac, mais malheureusement notre Isaac est décédé quelques heures plus tard».

Copland travaille toujours à l'ONU mais elle est actuellement en congé en Australie. Elle n'envisage pas de retourner à Beyrouth, malgré son amour pour le Liban et les Libanais.

«Nous n'avons pas l'intention de retourner au Liban. Je ne sais pas comment la plupart des Libanais vivent le traumatisme de voir les restes de l'explosion tous les jours. Cela ne fait qu'ajouter à tant de traumatismes et je ne crois pas que nous puissions nous infliger cela à nous-mêmes».

«Le Liban s’est rapidement détérioré depuis l'explosion. C'était déjà en route, mais maintenant tout s'est empiré tellement plus vite».

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

 


La culture et l'histoire du Royaume sont célébrées dans le cadre de l'événement « Mémoire de la terre »

Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé un événement intitulé « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation. (SPA)
Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé un événement intitulé « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation. (SPA)
Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé un événement intitulé « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation. (SPA)
Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé un événement intitulé « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation. (SPA)
Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé un événement intitulé « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation. (SPA)
Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé un événement intitulé « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation. (SPA)
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  • L'événement fait revivre le patrimoine à travers des expositions, de la musique, de l'artisanat et des expériences interactives.
  • Organisé près du parc du roi Abdulaziz, il propose une série d'activités inspirées par le patrimoine naturel et culturel de l'Arabie saoudite.

RIYAD : Le ministère de la Culture d'Arabie saoudite a organisé une manifestation intitulée « Mémoire de la terre », qui se déroule jusqu'à dimanche dans plusieurs régions du Royaume pour commémorer la Journée de la fondation.

L'événement propose un voyage immersif à travers la riche histoire et le patrimoine culturel du pays, avec des expositions interactives, des spectacles musicaux et des démonstrations d'artisanat qui, selon un rapport de l'agence de presse saoudienne, « donnent vie aux récits historiques ».

À Qassim, une zone est réservée aux enfants et propose des expériences attrayantes pour découvrir l'histoire du Royaume, tandis qu'un espace familial comprend des « activités de divertissement telles que des puzzles et des jeux passionnants », selon la SPA.

L'événement comprend également des spectacles musicaux, des expositions d'arts du spectacle, un espace de restauration pour tous les publics et une section d'artisans soutenant l'initiative de l'Année de l'artisanat.

L'événement a pour but de mettre en valeur le patrimoine culturel du Royaume, de raviver les célébrations de sa fondation et de renforcer la prise de conscience nationale de son histoire.

Dans la région du nord du pays, des expositions comprenant des stations interactives détaillent les étapes importantes qui ont façonné l'État saoudien. 

L'événement vise à sensibiliser la population nationale en recréant des événements, des personnages et des costumes historiques, tout en mettant en valeur le patrimoine culturel grâce à un mélange de styles traditionnels et modernes, a déclaré la SPA.

La zone des artisans a présenté les compétences de ces derniers, offrant aux visiteurs un aperçu du riche patrimoine artisanal du Royaume. Une zone pour les enfants proposait des leçons d'histoire interactives, et il y avait également une zone familiale avec des puzzles et des jeux.

À Najran, l'événement a attiré un nombre « remarquable » de citoyens et de résidents qui ont pu « explorer la création de l'État saoudien à travers des éléments clés de l'histoire, de la culture et du patrimoine, ainsi que des personnages notables et des vêtements traditionnels », a rapporté l'agence SPA.

Organisé près du parc du roi Abdulaziz, l'événement proposait une série d'activités inspirées par le patrimoine naturel et culturel de l'Arabie saoudite. L'espace réservé aux artisans a été l'un des points forts de l'événement, avec la présentation d'objets traditionnels tels que les brûleurs d'encens et le tissage Sadu, ainsi que l'Al-Khous, une méthode de tissage traditionnelle utilisant des feuilles de palmier, qui constitue une part importante du patrimoine culturel et social de Najran. 

« Le processus consiste à les couper, les laver, les sécher et les empaqueter, puis à les tremper dans l'eau pour les ramollir. Elles sont ensuite cousues ensemble, façonnées en tissu et soigneusement découpées pour éliminer les épines. Une fois préparées, les frondes sont colorées et transformées en produits finis », explique la SPA.

À Jazan, les habitants ont exprimé leur fierté nationale en portant des vêtements traditionnels et en arborant des drapeaux et des symboles saoudiens. Accompagnés de leurs parents, les enfants ont pu explorer l'événement et découvrir l'histoire de l'Arabie saoudite, qui s'étend sur plus de trois siècles.

L'événement comprenait également une série d'activités s'inspirant des éléments naturels et culturels de l'Arabie saoudite et apportant une touche de modernité. 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Le président du Conseil de la Choura dirige la délégation saoudienne à la conférence du Parlement arabe

Le président du Conseil de la Shoura, Cheikh Abdullah bin Mohammed bin Ibrahim Al-Sheikh, a conduit la délégation saoudienne à la septième conférence du Parlement arabe et des présidents des conseils et parlements arabes, qui s'est tenue  samedi au siège de la Ligue des États arabes au Caire. (SPA
Le président du Conseil de la Shoura, Cheikh Abdullah bin Mohammed bin Ibrahim Al-Sheikh, a conduit la délégation saoudienne à la septième conférence du Parlement arabe et des présidents des conseils et parlements arabes, qui s'est tenue samedi au siège de la Ligue des États arabes au Caire. (SPA
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  • La conférence a porté sur le renforcement de l'unité parlementaire arabe, avec un point clé de l'ordre du jour consacré au soutien du peuple palestinien.
  • Les participants ont travaillé à la formulation d'une position parlementaire arabe unifiée pour défendre les droits des Palestiniens.

Le Caire : Cheikh Abdullah bin Mohammed bin Ibrahim Al-Sheikh, président du Conseil de la Choura, a conduit la délégation saoudienne à la 7e Conférence du Parlement arabe et des présidents des conseils et parlements arabes.

La conférence, qui s'est tenue samedi au siège de la Ligue des États arabes au Caire, portait sur le renforcement de l'unité parlementaire arabe.

Un point de l'ordre du jour était consacré au soutien du peuple palestinien et au rejet de toute proposition de déplacement forcé. Dans le cadre des discussions, les participants ont travaillé à la formulation d'une position parlementaire arabe unifiée pour défendre les droits des Palestiniens. Le résultat a été la publication d'un plan d'action parlementaire arabe unifié décrivant les mesures concrètes que les parlementaires arabes pourraient prendre.

Avant son approbation officielle, les présidents des conseils et parlements arabes ont tenu une session consultative à huis clos pour finaliser les principaux aspects du plan, qui sera soumis au sommet arabe pour adoption.

La délégation du Royaume à la conférence comprenait le secrétaire général du Conseil de la Choura, Mohammed bin Dakhil Al-Mutairi, ainsi que les membres du Conseil Saad bin Salib Al-Otaibi, Tariq bin Saeed Al-Shammari, Hanan bint Abdullah Al-Sammari, Abdullah bin Abdulaziz bin Aifan et Amal bint Abdulaziz Al-Hazani.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


L'ambassade saoudienne en Syrie célèbre le jour de la fondation du Royaume

Le vice-ministre des affaires étrangères, Yasser Al-Jundi, des membres du corps diplomatique accrédité en Syrie et un groupe d'hommes d'affaires et d'intellectuels ont assisté à la célébration. (Photo Fournie)
Le vice-ministre des affaires étrangères, Yasser Al-Jundi, des membres du corps diplomatique accrédité en Syrie et un groupe d'hommes d'affaires et d'intellectuels ont assisté à la célébration. (Photo Fournie)
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  • Le vice-ministre syrien des Affaires étrangères, Yasser Al-Jundi, ainsi que des membres du corps diplomatique accrédité en Syrie et un groupe d'hommes d'affaires et d'intellectuels ont assisté à la célébration.
  • Le ministre saoudien des Communications et des Technologies de l'information, Abdullah Al-Swaha, a rencontré des cadres supérieurs de grandes entreprises mondiales lors de la Future Investment Initiative à Miami.

DAMAS : L'ambassade d'Arabie saoudite en République arabe syrienne a organisé une réception à l'occasion de la Journée de la fondation du Royaume à son siège dans la capitale syrienne, Damas.

Le vice-ministre syrien des Affaires étrangères, Yasser Al-Jundi, ainsi que des membres du corps diplomatique accrédité en Syrie et un groupe d'hommes d'affaires et d'intellectuels ont assisté à la célébration, a rapporté samedi l'agence de presse saoudienne.

Parallèlement, le ministre saoudien des Communications et des Technologies de l'information, Abdullah Al-Swaha, a tenu des réunions de haut niveau avec des cadres supérieurs de grandes entreprises mondiales lors de la Future Investment Initiative à Miami, afin de renforcer les partenariats dans les domaines de la technologie, de l'intelligence artificielle, de l'investissement et du secteur spatial.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com