Depuis le début de l'année, les manifestations contre les autorités iraniennes se sont largement multipliées. Cependant, ils ne sont pas assez importants pour menacer l'existence du régime, malgré leur diversité, leur intensité et leur large étendue géographique ; facteurs qui vont créer plus de pressions et de défis pour le nouveau gouvernement. Au cours des quatre dernières années, l'ancienne administration américaine a été accusée en Iran d'avoir incité, voire exécuté, certains événements. Maintenant, la pression sur l'Iran a diminué avec Joe Biden à la Maison Blanche, comme l'arrêt des activités et du financement anti-Téhéran et l'atténuation de certaines sanctions économiques. À ce titre, la situation en Iran est actuellement en ébullition à part entière.
Même les attaques, qui semblaient provenir d'Israël, visaient des institutions et des centres d'activités iraniens de haut niveau, tels que des installations nucléaires et maritimes, et n'avaient rien à voir avec la situation socio-économique précaire du pays.
Les crises du peuple iranien, telles que les pénuries de carburant et de nourriture, le manque de vaccins contre la covid-19 et le chômage, sont le fait de nul autre que le régime iranien, qui est aux genoux dans la guerre extérieure.
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