À Paris, des regards libanais sur la guerre civile s’entrecroisent

Les artistes Joelle Dagher, Mahmoud Halabi, Mahmoud Akhal et Johanna Saadé à la galerie Ménil'8 où ils exposent leurs oeuvres et leurs regards sur la guerre civile libanaise. Photo Anne Ilcinkas
Les artistes Joelle Dagher, Mahmoud Halabi, Mahmoud Akhal et Johanna Saadé à la galerie Ménil'8 où ils exposent leurs oeuvres et leurs regards sur la guerre civile libanaise. Photo Anne Ilcinkas
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Publié le Jeudi 03 juin 2021

À Paris, des regards libanais sur la guerre civile s’entrecroisent

  • Plus de trente ans après la fin officielle de la guerre civile libanaise (1975-1990), cinq artistes libanais installés en France et une restée au pays offrent leurs regards sur les «événements»
  • Céramique, peinture, photos, vidéos, son: à chaque artiste son medium. Mais l’intention est la même: expurger la douleur, soigner les traumatismes, conscients ou refoulés

PARIS: Ils sont nés pendant la guerre, l’ont vécue de l’intérieur, parfois de l’extérieur. «Pour moi, la guerre, c’était normal, c’était le quotidien; ce n’est que bien plus tard que j’ai compris que ce n’était pas normal de vivre ça», explique Joëlle Dagher, devant ses peintures.

Plus de trente ans après la fin officielle de la guerre civile libanaise (1975-1990), cinq artistes libanais installés en France et une restée au pays offrent leurs regards sur les «événements» à la galerie Menil’8, dans le quartier parisien de Ménilmontant, jusqu’au 6 juin.

Céramique, peinture, photos, vidéos, son: à chaque artiste son medium. Mais l’intention est la même: expurger la douleur, soigner les traumatismes, conscients ou refoulés. Excepté pour Mahmoud Akhal, photographe amateur et directeur financier de profession. Né à Beyrouth en 1981, il passe son enfance au Qatar et ne découvre son pays qu’en 1990-1991.

 

La guerre, il l’a vécue de loin, et n’en a vu de près que les stigmates après-coup, les cicatrices laissées sur les immeubles du pays. Ses photographies de détails architecturaux, portes, fenêtres aux couleurs surannées, dégagent une certaine nostalgie. «Je veux montrer la beauté du Liban», dit-il.

 

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Né à Beyrouth en 1981, Mahmoud Akhal passe son enfance au Qatar et ne découvre son pays qu’en 1990-1991. Photo Anne Ilcinkas

 

Ses photos tout comme son propos contrastent avec les œuvres de son voisin d’exposition, Mahmoud Halabi, né en 1982 à Beyrouth, dans le quartier de Ras el Nabaa. Les visages au format XXL que l’on devine sur les peintures crient leur souffrance et leur détresse face à un monde en déroute, à côté des deux têtes sculptées de Lea Elmetni. «Lorsque les Israéliens sont arrivés dans notre rue à Beyrouth en 1982, mes parents nous ont emmenés nous réfugier à Damas. Là, à l’abri des bombes, mon père nous racontait ce qu’il se passait de l’autre côté de la frontière.»

En 2011, la révolution syrienne se transforme en guerre et Mahmoud voit surgir celle-ci dans son quotidien. Il se réfugie alors en France, en 2012. «J’ai vu une vidéo d’un homme écrasant fièrement avec son pied la tête d’un autre homme au sol. J’ai peint ce visage sur un tapis pour qu’on le piétine. Qu’est-ce que la valeur d’un homme?», s’interroge l’artiste.

 

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Ses photos tout comme son propos contrastent avec les œuvres de son voisin d’exposition, Mahmoud Halabi, né en 1982 à Beyrouth, dans le quartier de Ras el Nabaa. Photo Anne Ilcinkas

 

Johanna Saadé, elle, se rappelle les «bons moments» de la guerre civilise libanaise. «On était dans les abris, avec des jeunes de mon âge. On dansait, et quand le bruit de la guerre se faisait plus fort, on augmentait d’autant le son de la musique.» Pour l’enfant, puis la jeune fille d’alors, la guerre était le quotidien, la normalité. «J’ai toujours dit que cette enfance dans la guerre ne m’avait pas affectée plus que ça; mais, en fait, si. Je m’en rends compte aujourd’hui. C’est peut-être parce qu’on n’en parle pas. Mais on ne peut pas l’oublier, on peut seulement la mettre de côté», explique-t-elle. C’est à travers ses rêves et ses œuvres qu’elle a compris qu’elle avait en elle des traumatismes refoulés, qui affleuraient régulièrement. «C’est comme les vases que j’expose. On a tous l’air d’être des jolis vases, prêts à accueillir une fleur, mais en réalité on a tous subi des traumatismes plus ou moins forts, on est tous touchés par ça, quelque part, explique la céramiste à propos de son Portrait d’une société composé de 25 vases en grès brut ou émaillé.

 

Il y a aussi ces sculptures, couleur terre, «à la fois drapés d’une robe de soirée mais aussi pâles de missiles», intitulées Tenue de bataille qui évoquent l’époque où elle et ses amis dansaient sous les bombes. «Quand on sort de la bulle dans laquelle on a grandi, en portant dessus un regard extérieur, on se rend compte qu’il y a des choses qu’on n’aime pas forcément et qu’on a envie d’en parler», explique-t-elle avec le recul.

 

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Johanna Saadé, elle, se rappelle les «bons moments» de la guerre civilise libanaise. Photo Anne Ilcinkas

 

Enfin, dans la salle côté cour sont exposées les peintures de Joelle Dagher. Un drapeau libanais en sang, la neige blanche souillée et le cèdre vert qui a perdu de sa splendeur. «Je porte le Liban en moi», clame celle qui s’est installée à Paris fin 2015. Pour elle aussi, la guerre fut le quotidien, la norme. «En 2006, j’ai pris conscience de ce qu’était vraiment la guerre, de tout ce tourment», indique-t-elle, se rappelant ce terrible mois de juillet, lorsqu’Israël bombardait le Liban. Aujourd’hui, l’artiste peintre ne nourrit guère d’espoir pour son pays. «Il n’y a rien de plus triste que d’entendre mon père me dire: “Ne reviens pas”.»

 

L’idée de cette exposition lui est venue il y a un an, alors qu’elle faisait une école d’art-thérapie à Paris. Le dramathérapeute Armand Volkas, qui anime des ateliers dans l’école, voulait travailler avec des Libanais sur les traumatismes de guerre. Il lui demande de l’assister. «J’ai voulu pousser un peu plus loin en faisant appel à des artistes qui ont vécu la guerre et qui ont pu traduire ça dans leurs œuvres», se souvient Joelle Dagher, qui rassemble ainsi des artistes et amis autour d’elle. Elle souhaite aussi offrir au public français un autre façon d’appréhender la guerre, autre que celle des médias et des télévisions, pour qu’ils se fassent eux-mêmes leur idée, à travers ces œuvres.

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«J’ai voulu pousser un peu plus loin en faisant appel à des artistes qui ont vécu la guerre et qui ont pu traduire ça dans leurs œuvres», se souvient Joelle Dagher, qui rassemble ainsi des artistes et amis autour d’elle.  Photo Anne Ilcinkas

Dans une petite salle au carrelage évoquant celui typique du Liban, se trouve oudit aadé, le séjour libanais. Raqwé et café qui refroidit, cendrier et cigarette consumée, journal ouvert, photos de famille des années 1970, et surtout la radio, diffusant une œuvre sonore de Georges Daou, qui nous (re)plonge instantanément dans l’ambiance de la guerre, avec les sons de tirs et les bruits d’une rue agitée de Beyrouth, puis l’alerte, et son jingle reconnaissable entre mille pour ceux qui l’ont connu: «Maktabou el tahrir, fi khabarein jadid». Les voix de Fayrouz et de Sabah se mélangent avec celles de Bachir Gemayel, Samir Geagea ou Michel Aoun, et son fameux «Ya chaab lubnan el azim», autant de personnalités de la guerre encore au pouvoir aujourd’hui au Liban, alors que 17 000 personnes sont toujours portées disparues depuis la fin de la guerre civile.

Depuis 2010, la photographe et vidéaste Dalia Khamissy documente avec sa caméra les témoignages de leurs familles, à la recherche désespérée de traces de leurs proches, à travers le projet The Missing of Lebanon. La vidéo est projetée sur un mur blanc de la galerie, témoin et vestige d’un «passé qui n’arrive pas tout à fait à passer, un passé qui occupe notre présent et qui risque de mettre en danger notre futur proche», comme le disait Lokman Slim. «À défaut de faire un retour sur le passé proche, conflictuel, violent et sanglant du Liban, nous allons tout droit vers le pire», prévenait l’archiviste dans les locaux d’Umam, à Haret Hreik, dans la banlieue sud de Beyrouth, en 2013.

En effet, à ce jour aucun travail de mémoire d’envergure nationale n’a été fait au Liban concernant la guerre civile qui a déchiré le pays de 1975 à 1990, la loi d’amnistie de 1991 scellant ainsi l’amnésie collective.


La plateforme encourage les enfants à la découverte du patrimoine culturel saoudien

Platform offers interactive content on historic landmarks, renowned cultural figures and vibrant art forms. (MoC)
Platform offers interactive content on historic landmarks, renowned cultural figures and vibrant art forms. (MoC)
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  • Cette initiative s'inscrit dans le cadre plus large du programme pour les enfants du ministère, qui vise à nourrir la fierté nationale en permettant aux enfants d'explorer leur patrimoine culturel.

RIYAD : le ministère de la Culture a lancé la plateforme numérique Child's Culture afin de susciter l'intérêt des enfants pour le riche patrimoine culturel de l'Arabie saoudite.

La plateforme offre un contenu interactif sur les sites historiques, les figures culturelles renommées et les formes d'art vibrantes, a rapporté dimanche l'agence de presse saoudienne (Saudi Press Agency).

Les jeunes explorateurs peuvent se plonger dans différentes sections, telles que Monuments culturels, qui présente des sites patrimoniaux emblématiques, Luminaires culturels, qui présente des personnalités saoudiennes influentes, et Recommandations culturelles, qui propose des mises à jour hebdomadaires sur les expériences culturelles.

La section « Puzzle Game » met les joueurs au défi d'assembler des fragments de peintures provenant de différentes régions pour révéler un chef-d'œuvre complet.

Pour les apprenants auditifs, la plateforme propose le podcast Tawela, dont le contenu est conçu pour capter l'imagination du jeune public.

La plateforme offre également une variété d'activités de formation pour nourrir les talents culturels des enfants. Il s'agit notamment de « Be Creative with Your Handwriting with Arabic Poetry », qui propose des leçons d'écriture pour les jeunes apprenants d'arabe ; « Let's Discover Culture Together », un livre de coloriage qui initie les enfants aux concepts culturels par le biais de l'art ; et « The Little Writer », qui guide les enfants en matière d'écriture et de composition.

Cette initiative s'inscrit dans le cadre plus large du programme pour enfants du ministère, qui vise à nourrir la fierté nationale en offrant aux enfants une passerelle accessible et attrayante pour explorer leur patrimoine culturel.

Grâce à son contenu innovant et interactif, la plateforme favorise la connaissance, le développement des compétences et une profonde appréciation de la culture et de l'identité saoudiennes.

La plateforme est accessible à l'adresse suivante  https://www.moc.gov.sa/en/Modules/Pages/Child-Culture

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


À Alger, des regrets pour l'absence du roman de Kamel Daoud au Salon du livre

Des personnes visitent le 27e salon international du livre à Alger, le 8 novembre 2024. (Photo AFP)
Des personnes visitent le 27e salon international du livre à Alger, le 8 novembre 2024. (Photo AFP)
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  • Pour sa 27^e édition qui se tient depuis mercredi et jusqu'au 16 novembre, ce salon accueille un peu plus d'un millier d'éditeurs représentant 40 pays dont 290 éditeurs algériens. Ils sont venus présenter plus de 300 000 livres.
  • Selon l'écrivaine Samia Chabane, 64 ans interdire Houris en Algérie, « ça fait quand même autodafé. Ça nous fait revenir des siècles en arrière. Ça ne donne pas les outils aux gens pour pouvoir dire : il a raison, il n'a pas raison. »

ALGER : Des visiteurs, des auteurs et des éditeurs ont regretté l'absence au Salon international du livre d'Alger du roman Houris de Kamel Daoud, lauréat du prix Goncourt, après l'interdiction faite à sa maison d'édition, Gallimard, d'y présenter ses ouvrages.

Pour sa 27^e édition qui se tient depuis mercredi et jusqu'au 16 novembre, ce salon accueille un peu plus d'un millier d'éditeurs représentant 40 pays dont 290 éditeurs algériens. Ils sont venus présenter plus de 300 000 livres.

L'interdiction de participer au Salon d'Alger a été notifiée aux éditions Gallimard début octobre, alors que « Houris », le roman de M. Daoud sur les violences de la « décennie noire », la guerre civile qui a ravagé le pays entre 1992 et 2002, était déjà vu comme l'un des grands favoris du Goncourt.

Le livre n'a pas pu être édité en Algérie, où il tombe sous le coup d'une loi interdisant tout ouvrage sur cette période sanglante qui a fait au moins 200 000 morts, selon des chiffres officiels. Il circule d'ailleurs déjà largement sous le manteau.

Rencontrée par l'AFP au salon du livre, l'écrivaine Samia Chabane, 64 ans, se dit « contre l'interdiction de quelque livre que ce soit ». « Je préfère que les gens se fassent leur propre opinion et lisent le livre par eux-mêmes », dit l'auteure d'une récente autobiographie intitulée Récits d'Alger et d'ailleurs, l'histoire d'une femme libre.

Selon elle, interdire Houris en Algérie, « ça fait quand même autodafé. Ça nous fait revenir des siècles en arrière. Ça ne donne pas les outils aux gens pour pouvoir dire : il a raison, il n'a pas raison. »

Mme Chabane, qui assure « avoir tout lu de Kamel Daoud, un grand écrivain », n'a pas voulu se plonger dans Houris, car elle « ne veut pas revivre les horreurs de ces années de sang ».

- « Premier Algérien de l'histoire » -

Makdoud Oulaid, un chirurgien de 63 ans, a lu le roman. Pour lui, l'attribution du prix Goncourt à M. Daoud, souvent critiqué en Algérie pour sa proximité avec le président français Emmanuel Macron, est davantage « liée à la situation politique » qu'aux qualités de l'ouvrage.

Les relations entre Paris et Alger, en dents de scie depuis l'indépendance de l'Algérie en 1962, sont de nouveau très tendues après que la France a apporté fin juillet un soutien renforcé à un plan d'autonomie du Maroc sur le Sahara occidental, où l'Algérie soutient les indépendantistes du Polisario.

Alger a perçu ce revirement français comme une trahison, retirant immédiatement son ambassadeur à Paris et annonçant d'autres représailles.

Sofiane Hadjadj, un éditeur algérien de 51 ans fondateur de la maison d'édition Barzakh, qui avait publié en Algérie en 2013 le premier roman de M. Daoud, Meursault, contre-enquête, n'a pas vraiment voulu commenter l'interdiction de Houris.

« C'est un Salon international du livre, organisé par le ministère de la Culture. Donc nous devons nous conformer à un certain nombre de règles. Il y a des lois qui encadrent l'édition du livre. C'est tout à fait normal".

Hassina Hadj Sahraoui, une directrice de publication de 62 ans, regrette l'absence du livre en Algérie et souligne qu'il s'agit du premier Algérien de l'histoire à recevoir le Goncourt, considéré comme la plus importante récompense de la littérature francophone.

« Nous avons Assia Djebar (écrivaine décédée en 2015) qui a remporté de nombreux prix et a été membre de l'Académie française, et maintenant nous avons Kamel Daoud, qui lui succédera peut-être un jour », souligne-t-elle.


Zuhair Murad habille Jennifer Lopez et Sara Sampaio lors d'événements à Hollywood

Jennifer Lopez a foulé le tapis rouge dans une robe de la ligne Couture printemps/été 2024 de Zuhair Murad. (AFP)
Jennifer Lopez a foulé le tapis rouge dans une robe de la ligne Couture printemps/été 2024 de Zuhair Murad. (AFP)
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  • La mannequin et actrice portugaise Sara Sampaio, ainsi que l'actrice américaine Jessica Alba et l'icône de la pop Jennifer Lopez, ont toutes opté pour des looks de Zuhair Murad lors de divers événements.
  • Le couturier originaire de Ras Baalbek et la chanteuse-actrice entretiennent une relation de longue date ; Mme Lopez ayant porté les créations du couturier lors d'innombrables événements et cérémonies de remise de prix.

DUBAI : Le créateur libanais Zuhair Murad a eu une semaine chargée à Hollywood, habillant trois stars pour leur passage sur le tapis rouge.

La mannequin et actrice portugaise Sara Sampaio, ainsi que l'actrice américaine Jessica Alba et l'icône de la pop Jennifer Lopez, ont toutes opté pour des looks de Zuhair Murad lors de divers événements.

Alba et Sampaio ont toutes deux arboré des tenues Resort 2025 lors du gala Baby2Baby à Los Angeles.
Alba et Sampaio ont toutes deux arboré des tenues Resort 2025 lors du gala Baby2Baby à Los Angeles.

Alors que la mannequin Sampaio portait une robe noire à fente au niveau des cuisses, l'actrice Alba a foulé le tapis rouge dans une robe diaphane brodée de paillettes sur toute la longueur.

L'actrice oscarisée, productrice et philanthrope Charlize Theron a reçu le Giving Tree Award lors de la soirée annuelle de financement de l'organisation. Selon Baby2Baby, cet honneur est décerné à « une personnalité publique qui a fait preuve d'un engagement exceptionnel pour améliorer la vie des enfants dans le besoin ».

L'actrice oscarisée, productrice et philanthrope Charlize Theron a reçu le Giving Tree Award lors de la soirée annuelle de financement de l'organisation.
L'actrice oscarisée, productrice et philanthrope Charlize Theron a reçu le Giving Tree Award lors de la soirée annuelle de financement de l'organisation.

Theron a rejoint les lauréats précédents, dont Salma Hayek Pinault, Kim Kardashian, Kerry Washington, Jennifer Garner, Gwyneth Paltrow, Jessica Alba, Kate Hudson, Amy Adams, Drew Barrymore, Chrissy Teigen et Vanessa Bryant. Elle a accessoirisé sa tenue avec des bijoux de la marque indienne de luxe Sabyasachi.

Samedi soir, lors de la première de « Wicked » à Los Angeles, Lopez a foulé le tapis rouge dans une robe de la ligne Couture printemps/été 2024 de Zuhair Murad.
Le couturier originaire de Ras Baalbek et la chanteuse-actrice entretiennent une relation de longue date ; Mme Lopez ayant porté les créations du couturier lors d'innombrables événements et cérémonies de remise de prix.

Le couturier originaire de Ras Baalbek et la chanteuse-actrice entretiennent une relation de longue date ; Mme Lopez ayant porté les créations du couturier lors d'innombrables événements et cérémonies de remise de prix.

Elle s'est déjà exprimée sur son affinité pour les créations de Murad, décrivant le couturier comme « probablement son créateur préféré » lors d'une interview accordée à Venture Lifestyle.

Mme Lopez a assisté à la première hollywoodienne de « Wicked », la comédie musicale très attendue de Jon M. Chu.

La distribution principale de la première partie était également présente, notamment le duo de choc Ariana Grande (qui incarne Glinda, la bonne sorcière) et Cynthia Erivo (qui joue Elphaba), ainsi que Jonathan Bailey, Michelle Yeoh, Jeff Goldblum et Ethan Slater.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com