Les géants du numérique ont été à plusieurs reprises épinglés par la Commission européenne pour des pratiques jugées anti-concurrentielles
Google, Facebook et d'autres grandes plateformes sont accusées par les médias traditionnels de tirer profit de leurs contenus sans véritable rémunération de leur part
Les récentes révélations concernant les grandes entreprises technologiques, en particulier Facebook, ont intensifié la pression sur le gouvernement britannique pour qu'il réglemente ces plateformes.
Twitter et d'autres entreprises technologiques s'opposent au projet de loi, affirmant qu'il donne aux ministres trop de pouvoir pour décider de ce qui est publié en ligne
Ces pourparlers des Vingt-Sept comme ceux des eurodéputés se sont récemment accélérés, confortés notamment par les révélations de la lanceuse d'alerte de Facebook, Frances Haugen
Mme Haugen, qui doit être entendue le 8 novembre par les eurodéputés, accuse notamment Facebook d'avoir supprimé sciemment des filtres contre la désinformation pour gonfler le trafic des plateformes
Interrogé par l'AFP, Instagram, une filiale de Facebook, a affirmé ne pas disposer d'informations à ce sujet
« Ce matin, Instagram a pris la décision arbitraire de bannir mon compte officiel. Les GAFAM se sont engagés dans une lutte féroce contre les peuples qui ne veulent pas mourir », s'insurge-t-il dans un tweet
Le projet de taxe numérique de l'UE était une des nouvelles ressources prévues pour financer son plan de relance de 750 milliards d'euros
«La réussite de ce processus nécessitera une dernière impulsion de la part de toutes les parties, et la Commission s'est engagée à se concentrer sur cet effort»
L'ONG ActionAid tente d'alerter l'opinion avant la réunion vendredi du G20 sur le thème des solutions à la crise sanitaire
Les Gafam (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft) ont fait perdre aux vingt pays les plus riches au monde $32 milliards de taxes supplémentaires
La tension monte entre le fabricant de l'iPhone et plusieurs grandes sociétés.
Facebook accuse Apple "d'abuser de son pouvoir sur le marché des smartphones pour forcer les développeurs d'applications à suivre des règles de l'App Store que les propres applications d'Apple n'ont pas à suivre",