Depuis leur prise de pouvoir il y a une semaine, les militants islamistes tentent de convaincre la population qu'ils ont changé, affirmant que leur politique sera moins brutale que lorsqu'ils étaient à la tête du pays de 1996 à 2001
Terrifiées, des milliers de familles cherchent pourtant toujours à fuir et la situation demeure des plus chaotiques à l'aéroport de Kaboul, où les États-Unis et leurs alliés n'arrivent pas à faire face au flot de personnes qui continuent d'affluer
De nombreuses personnes disant avoir travaillé pour des structures françaises ou des membres de la société civile ont demandé à être exfiltrées, alors que la situation à Kaboul est tendue
Sur le front diplomatique, il a répété attendre que les talibans remplissent certaines conditions avant de pouvoir prétendre à une reconnaissance internationale, «faute de quoi, l'Afghanistan deviendrait un Etat-paria»
Des rotations sans contrôle aérien digne de ce nom, sans approvisionnement possible en kérosène sur place et avec des décollages périlleux
Les décisions laissées à la responsabilité de l'équipage, les contrôleurs se contentant de donner des informations ponctuée d'un «à vos risques et périls»...
« Nous n'avons pas du tout à rougir car nous sommes l'un des pays qui accueillent le plus d'Afghans et qui leur donnent le plus de protection », a souligné la présidence
Dans le contexte de crise liée au retour des talibans au pouvoir, « la France est très attentive à la situation des Afghans » mais « cela n'empêche pas d'être très ferme face aux trafics et aux réseaux qui profitent de la misère et de la peur »
La réunion a été convoquée par Jens Stoltenberg après la décision des Etats-Unis d'évacuer leurs diplomates et leurs autres ressortissants d'Afghanistan
« L'évacuation » a été au cœur des discussions, avec les options et les adaptations militaires requises pour procéder à ces départs d'Afghanistan, a précisé l'une des sources diplomatiques
Les colons d'Eviatar sont allés à l'encontre du droit international mais aussi du droit de l'Etat hébreu qui n'avait pas donné son autorisation pour une nouvelle colonie
Tzvi Succot, à la tête de la cinquantaine de familles installées à Eviatar, a évoqué sur Twitter un « moment triste mais plein d'espoir »
D'après un accord annoncé par les colons et confirmé par le ministère de l'Intérieur, les colons doivent quitter dans les prochains jours Eviatar, mais leurs mobile-homes resteront sur place et seront occupés par l'armée
Environ 50 familles israéliennes vivent à Eviatar, une colonie dite « sauvage », c'est-à-dire installée sans autorisations officielles israéliennes depuis le mois dernier près de la ville palestinienne de Naplouse, en Cisjordanie occupée