Le premier suspect adhérait à une tendance dite «accélérationniste», qui vise à provoquer ou encourager des affrontements entre communautés
Il administrait des chaînes de la messagerie cryptée Telegram où il publiait des messages très violents et appelait à se préparer, en s'armant, à la guerre civile
Les suspects âgés de 43 à 69 ans, dont deux anciens militaires, avaient été placés en garde à vue mardi
Tous sont proches du Français Rémy Daillet, figure des milieux complotistes et soupçonné d'être impliqué dans le rapt d'une fillette, Mia, en avril dernier dans l'Est de la France