Le système d'invitations olympiques n'est pas réservé aux Palestiniens mais à tout CNO qui ne parvient pas à qualifier d'athlètes, au nom de «l'universalité olympique» permettant de rassembler toutes les nations, au delà de la seule élite sportive
Le CIO se retranche derrière sa «solution à deux Etats», puisque les CNO israélien et palestinien coexistent depuis 1995, un legs du processus de paix d'Oslo
«Ne doutez pas que la reconnaissance d'un Etat palestinien aura lieu», a déclaré mardi à Dublin le ministre des Affaires étrangères, Micheal Martin lors d'un discours devant le Parlement irlandais
En mars, les dirigeants de l'Espagne, de l'Irlande, de la Slovaquie et de Malte ont déclaré dans un communiqué commun qu'ils étaient prêts à reconnaître l'existence d'un État palestinien
Depuis 60 ans, les soldats de l'ONU, intervenus pour empêcher les affrontements entre les deux communautés qui mèneront à la division de l'île, sont chargés du maintien de la paix le long d'une ligne de démarcation de 180 kilomètres
Les pourparlers sur la réunification de l'île sont au point mort depuis 2017, et la RTCN exige désormais une solution à deux Etats
«Le refus d’accepter la solution à deux États pour les Israéliens et les Palestiniens, ainsi que le déni du droit à un État pour le peuple palestinien, sont inacceptables», a déclaré M. Guterres
Les Etats-Unis, principal allié d'Israël et soutien clef dans sa guerre contre le Hamas, ont récemment réitéré leur appui à la création d'un Etat palestinien, provoquant des dissensions avec le gouvernement du Premier ministre Benjamin Netanyahu
Après des entretiens avec le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal ben Farhane, M. Borrell a indiqué qu’il considérait le Royaume comme l’un des principaux partenaires de l’UE pour ramener la solution à deux États sur le devant de la
M. Borrell a précisé qu’il avait également discuté avec des responsables saoudiens des efforts déployés pour mettre fin aux attaques des Houthis contre les navires en mer Rouge
Selon un communiqué du palais royal à Amman, Abdallah II a réaffirmé que «la région ne connaîtrait pas la stabilité sans une solution juste à la question palestinienne et sans la réalisation d'une paix juste et globale basée sur la solution à deux États»
Il a également répété «le rejet total par la Jordanie du déplacement forcé des Palestiniens» et «des tentatives de séparer Gaza de la Cisjordanie», deux territoires qui font partie intégrante d'un futur Etat palestinien, selon lui