En Russie, l'annonce de la mobilisation a provoqué un afflux d’hommes en âge de combattre souhaitant quitter le pays, sans qu'aucun chiffre ne soit disponible
D’autres ont choisi de prendre les rues, sous un seul slogan : «Non à la guerre!», «Pas de mobilisation!»
Sous le feu des critiques internationales, la Russie s'est aussi retrouvée au banc des accusés au Conseil de sécurité
Sur le front diplomatique, c'est le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken qui a mené la charge au Conseil de sécurité, refusant de rencontrer Sergueï Lavrov
Le vaisseau, avec l'Américain Frank Rubio de la Nasa et les Russes Sergueï Prokopiev et Dmitri Peteline de l'agence spatiale russe Roscosmos, s'est amarré à l'ISS
Cette mission russo-américaine intervient alors que les relations sont au plus bas entre les Occidentaux et la Russie
« Ce n'est pas du bluff», a mis en garde Poutine dans une rare adresse à la nation lors de laquelle il a dépeint l'Occident comme un ennemi cherchant à « détruire» la Russie
Les pays occidentaux ont vu dans l'annonce d'une mobilisation un « aveu de faiblesse» face aux récentes contre-offensives ukrainiennes