Le comité de politique monétaire, organe de décision de la Fed, se réunit mardi et mercredi. Une hausse des taux d'un demi-point de pourcentage, ou 50 points de base, semble acquise
En cause : l'inflation. Elle avait entamé en avril un timide ralentissement, laissant espérer que le pire était passé
Ce contexte d'incertitude place la BCE devant un choix cornélien. Ne pas relever les taux risquerait d'alimenter un peu plus les tendances inflationnistes
Les relever trop vite pourrait précipiter la récession, en pesant sur la capacité d'emprunt des ménages et des entreprises
«Les milliardaires arrivent à Davos pour célébrer une incroyable poussée de leurs fortunes», a dénoncé lundi Gabriela Bucher, directrice générale au sein de l'ONG internationale
«On est en train de revenir sur des décennies de progrès concernant l'extrême pauvreté, avec des millions de personnes confrontées à l'augmentation impossible du coût pour simplement rester en vie», a déploré Gabriela Bucher
La réunion sera largement dominée par la guerre en Ukraine et son lot de conséquences dont la crise alimentaire mondiale
Il y a un «risque fortement accru de fragmentation géo-économique», soulignent les responsables du FMI, lui opposant les bienfaits de la mondialisation
Le frère du gouverneur de la Banque centrale du Liban Riad Salamé a été libéré jeudi contre une caution d'environ 3,5 millions d'euros, un record au Liban
Raja Salamé avait été arrêté le 17 mars sur ordre de la procureure générale du Mont- Liban, Ghada Aoun, et un mandat d'arrêt avait été émis à son encontre pour des crimes de «blanchiment d'argent, et d'enrichissement illicite»
La Berd table désormais sur une contraction brutale de 30% de l'économie ukrainienne cette année au lieu de 20% attendus en mars, au tout début de l'offensive russe
Quant à la Russie, la contraction attendue de 10% est équivalente à celle observée par les «pays occidentaux au plus fort de la pandémie de covid, donc c'est sévère», selon une économiste
Le résultat du groupe s'établit à 842 millions d'euros sur les trois premiers mois de l'année, soit une progression de 3,4% sur un an, pour un produit net bancaire (PNB)
«Ce premier trimestre confirme la solidité et la résilience de notre modèle d'affaires», salue dans un communiqué le directeur général de Société Générale