Ses mots ont été accueillis par des milliers de commentaires, dont plusieurs «Heureux de vous revoir» et «Quel soulagement que vous soyez de retour Monsieur le Président»
La société mère Meta expérimente un abonnement en Australie et en Nouvelle-Zélande avant de l'introduire sur des marchés plus importants
Le service coûtera 11,99 dollars (11,30 euros) par mois aux utilisateurs qui y souscriront sur Internet et 14,99 dollars pour ceux qui passeront par les applications mobiles
Avant Meta, Twitter a déjà lancé son offre de vérification payante, qui donne accès à sa fameuse coche bleue, mais aussi à une meilleure promotion des publications, moins de publicités et la possibilité de publier des tweets plus longs
Plusieurs internautes ont d’ailleurs soupçonné Mark Zuckerberg de plagier le patron multimilliardaire de Tesla en lançant à la hâte Meta Verified
La formule, qui sera d'abord déployée en Australie et Nouvelle-Zélande cette semaine, ressemble à celle mise en place par Elon Musk sur Twitter, avec des services de vérification de l'identité et des avantages comme un «accès direct au service client»
Entre l'inflation qui rogne les budgets des annonceurs et la concurrence féroce d'applications comme TikTok, les utilisateurs ne rapportent plus autant qu'avant à Meta
«Le public doit pouvoir entendre ce que les personnalités politiques disent afin de pouvoir faire des choix éclairés»
«Mais cela ne signifie pas qu'il n'y a pas de limites à ce que les gens peuvent dire sur notre plateforme», a affirmé Nick Clegg, le responsable des affaires internationales de Meta
L'ex-dirigeant républicain avait été suspendu du réseau social pour deux ans après l'attaque menée par ses partisans contre le Capitole, le 6 janvier 2021
Facebook avait estimé que Donald Trump ne pourrait revenir que lorsque les «risques pour la sécurité du public auraient disparu»
La publication visée date de juillet 2022: elle contient une caricature de l'ayatollah Ali Khamenei avec la légende «mort au gouvernement islamique anti-femmes» et »mort à son sale leader Khamenei»
Le conseil de surveillance juge que l'incapacité de Facebook à faire respecter la liberté d'expression «a conduit à réduire au silence le discours politique visant à protéger les droits des femmes»