La déception, nourrie du refus de LFI de qualifier le Hamas de «terroriste», a grandi lorsque Jean-Luc Mélenchon a estimé que la marche était le "rendez-vous" des "amis du soutien inconditionnel au massacre"
La critique de la politique d'Israël joue désormais un rôle central, expliquait lors de cette même convention le politologue Brice Teinturier
Le film assume son point de vue, centré sur la nostalgie d'un enfant, qui a vu son monde disparaître: «Je raconte une Algérie où il faisait bon vivre ensemble malgré la guerre qui frappait à la porte», dit le réalisateur
«Ce n'est pas un film qui dit que c'était mieux avant, mais un film dédié aux générations qui n'ont pas connu ça, l'histoire d'un déchirement mais sans rancoeur, ni esprit de vengeance», assure-t-il
"J'appelle l'ensemble de nos adhérents et de nos électeurs à venir se joindre à cette marche", a déclaré l'ancienne candidate d'extrême droite à la présidentielle sur RTL
"Il est temps que le peuple français (...) exprime son rejet absolument total de l'augmentation spectaculaire des actes visibles, en fait, d'antisémitisme", a estimé Marine Le Pen
Abou Zayed, seul des quatre suspects de l'attentat aux mains de la justice française, avait demandé début octobre son placement sous le statut de témoin assisté
Au total, six personnes ont été tuées et 22 blessées le 9 août 1982 dans l'explosion d'une grenade dans le restaurant Jo Goldenberg, puis dans une fusillade dans le quartier juif historique du Marais
Des photos prises sur place ont montré de longues files de jeunes gens menottés, portant des sweat-shirts noirs sur lesquels étaient imprimées en blanc les expressions «Not In Our Name» (pas en notre nom) et «Cease Fire Now» (cessez le feu maintenant)
Des images ont montré le terminal bondé de protestataires brandissant des banderoles sur lesquelles on pouvait lire «Les Palestiniens doivent être libres» et «Pleurer les morts, se battre comme un diable pour les vivants»