L'homme d'affaires de 50 ans a promis un gouvernement d'experts pour enrayer l'effondrement économique
«Plus on tarde, plus le bateau coule. Si le Liban ne mène pas les réformes qu'il convient de mener, alors c'est le pays lui-même qui risque la dislocation»
Les protestations anti-gouvernementales avaient débuté à l'automne 2019, à Beyrouth en raison d'un projet gouvernemental visant à taxer les appels via l'application Whatsapp
Trois chefs du gouvernement ont démissionné depuis le début du mouvement il y a un an mais les principales personnalités politiques occupent toujours le pouvoir