La campagne de vaccination a suscité l'adhésion dans l'émirat de Dubaï, un des sept de la fédération, plus pauvre en pétrole que ses voisins et qui dépend surtout du tourisme et des services
Avec une population de 3,3 millions d'habitants constituée à 70% d'expatriés, Dubaï s'était vanté d'être une destination sûre, ensoleillée et sans quarantaine, avant qu'une hausse des cas n'oblige les autorités à sévir pour éviter de devoir fermer
Depuis le début de la pandémie, les Emirats arabes unis, riche pays du Golfe composé de sept principautés dont Dubaï et qui cherche à étendre son influence diplomatique, a largement communiqué sur son assistance humanitaire internationale
«La distribution sera particulièrement axée sur les marchés émergents, où les populations ont été durement touchées par la pandémie», ont-elles ajouté sans préciser le nombre de doses de vaccins qui seront envoyées
Comme Gil Hoffman, plus de 40 000 Israéliens se sont rendus à Dubaï en décembre, jeunes et moins jeunes, religieux et laïcs, lors de voyages rendus possibles par les accords d’Abraham
«Il n’y a rien là-bas qui ne vous fasse dire: “Waouh!”. C’est très impressionnant»
«Nous avons l’intention de proposer une expérience aéroportuaire fluide aux passagers, renforcée par un engagement à atteindre les objectifs stricts de développement durable de la TRSDC»
L’aéroport international de la mer Rouge accueillera un million de passagers par an lorsque le projet de villégiature sera achevé en 2030, avec une capacité de pointe de 900 passagers par heure