La dernière fois que les talibans étaient maîtres de l'Afghanistan, les réseaux sociaux n'existaient pas encore
Depuis leur retour au pouvoir, les géants américains Facebook et Twitter sont partagés entre l'interdiction des comptes liés aux "«Organisations terroristes» et l'intérêt public d'information
Des rotations sans contrôle aérien digne de ce nom, sans approvisionnement possible en kérosène sur place et avec des décollages périlleux
Les décisions laissées à la responsabilité de l'équipage, les contrôleurs se contentant de donner des informations ponctuée d'un «à vos risques et périls»...
Après le 11/9, il avait incarné le nouveau visage de l'Afghanistan avec son aura de modernisateur et sa figure unificatrice à bien des égards
Il a en vain supplié Washington de concentrer ses efforts sur le Pakistan, pour convaincre Islamabad de cesser d'apporter son soutien aux dirigeants talibans