Certains experts pensent que l'accent politique passera de l'immigration et de la lutte contre l'extrémisme à la Palestine et au resserrement des liens avec le Golfe.
Le message clair et net des élections est que le soutien de la communauté musulmane de Grande-Bretagne ne peut plus être considéré comme acquis.
Les principales demandes portent sur l'abrogation de la loi sur l'immigration clandestine et de la loi sur la nationalité et les frontières.
Les législations successives, inapplicables et cruelles, ont en fait éteint le droit de demander l'asile au Royaume-Uni, créant une "perma-backlog" de dizaines de milliers de personnes qui ne cesse de croître.
Le parti devra faire face à un électorat blasé et impatient de changement, dans un contexte sombre de malaise économique, de méfiance croissante à l'égard des institutions et d'effritement du tissu social.
Les experts sont divisés sur la question de savoir si un changement de politique britannique peut à lui seul mettre un terme aux attaques des Houthis contre le transport maritime.
Les perturbations des routes commerciales de la mer Rouge ont augmenté les coûts de transport et retardé l'approvisionnement du Royaume-Uni.
A travers le pays s'exprime le ras-le-bol face aux listes d'attente interminables dans le système public de santé, ou encore les nids de poule, devenus symbole des maux du Royaume-Uni
Surfant sur une légère embellie de la situation économique après une crise du coût de la vie, le chef du gouvernement a fait le pari de convoquer les élections à l'été plutôt qu'à l'automne
L'Arabie saoudite a suscité un vif intérêt de la part des investisseurs britanniques pour son secteur des énergies renouvelables et ses infrastructures durables.
Les discussions ont porté sur l'importance de la coopération entre l'Arabie saoudite et la Grande-Bretagne en matière de développement d'infrastructures durables, sur la progression vers des émissions nettes nulles.
A trois semaines du vote, les plus de 20 points d'avance du Labour sur les conservateurs dans les sondages semblent ouvrir un boulevard pour remporter une majorité confortabl
Keir Starmer a, lui, fustigé le "chaos" laissé par les Tories au pouvoir depuis 2010, période marquée par une grande instabilité politique et économique