Plus de 30 manifestants du Hirak arrêtés en Algérie ont été condamnés à des peines de prison ferme
«Visiblement, le pouvoir a décidé d'en finir avec le Hirak pacifique», a déclaré lundi Saïd Salhi, vice-président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'Homme
Le pays est secoué par une vague de manifestations et une campagne de désobéissance civile depuis le putsch qui a renversé Aung San Suu Kyi le 1er février
Face à ce vent de fronde largement pacifique, les autorités ont intensifié l'usage de la force, dispersant parfois les rassemblements à balles réelles
Recouvert par une fine couche de neige, le centre de Moscou a pris à certains endroits des allures de citadelle assiégée avec la police anti-émeute déployée en masse
Devant se réunir à l'origine devant le siège des services de sécurité (FSB), les groupes de manifestants se sont dirigés vers le centre de détention où est enfermé Alexeï Navalny, mais sans y parvenir pour la plupart, avant de rejoindre à nouveau le centr
Cette lourde sentence a été confirmée par l'un des avocats, Me Moumen Chadi
De nombreux opposants et militants du "Hirak" ont été arrêtés, jugés et condamnés en Algérie dans un climat de répression à l'encontre des opposants, des médias indépendants et des blogueurs