Le Festival de Fès des Musiques Sacrées du Monde poursuit son épopée spirituelle. Dimanche, le public avait rendez-vous avec l'artiste d’origine syrienne, Naïssam Jalal, la création Tatra-Safar ainsi que la Tariqa Squaliya. Le lendemain, la scène du Jardin Jnan Sbil a vu se succéder Crystal Winds, Khadija El Afrit et la Tariqa Hamdouchiya.
Dimanche, la flûtiste, compositrice et chanteuse, Naïssam Jalal a fait du Jardin Jnan Sbil un cocon intimiste le temps de sa performance. Chacune de ses performances est singulière, créant des connexions entre les différentes cultures musicales.
Elle déconstruit les frontières et invente un langage singulier qui invite vers des horizons multiples. A l’occasion du Festival de Fès des musiques Sacrées de Fès, elle fait découvrir au public : “Healing Rituals”. La musique, presque murmurée, se manifeste comme un véritable rituel, puisant son inspiration dans les cultures traditionnelles et leurs pratiques pour accompagner la vie et apaiser les souffrances. “Je suis très heureuse de participer à ce festival qui porte aujourd'hui un vrai sens dans le monde arabe.
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