Il y a à peine un peu plus d’une semaine, on le disait politiquement mort, lui, son gouvernement et ses partisans de droite. Esseulé, Netanyahu n’avait plus de soutien à l’extérieur, ses alliés le critiquaient durement. En interne, il est contesté, honni, sa population réclamait sa démission. Il avait le monde entier contre lui, mais il s’ingéniait à user de tous les stratagèmes politiques et diplomatiques pour se maintenir en place et… pour continuer à tuer.
Il faut signaler qu’auparavant, il avait tout essayé pour se refaire une virginité, les lamentations permanentes auprès de ses parrains occidentaux évoquant les soi-disant preuves des enfants israéliens assassinés et les mensonges sur des femmes violées. Rien n’y fait, l’opinion internationale s’était forgé l’idée que c’est un bonimenteur et qu’il use de subterfuges pour amadouer les opinions.
Aujourd’hui, il bombarde encore Gaza sans scrupule, ni peur d’être taxé d’assassin, l’opinion publique a les yeux tournés vers les risques d’escalade et leurs conséquences. Netanyahu se dit persécuté par les forces de la région qui veulent exterminer son pays, il relève la tête fort de ses convictions (meurtrières).
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