Une exposition d’art met en lumière les sens et la spiritualité pendant le ramadan

L'art s'est emparé du centre commercial de luxe Centria pendant le ramadan, avec les œuvres de trente-trois artistes, à Riyad. (Photo AN)
L'art s'est emparé du centre commercial de luxe Centria pendant le ramadan, avec les œuvres de trente-trois artistes, à Riyad. (Photo AN)
L'art s'est emparé du centre commercial de luxe Centria pendant le ramadan, avec les œuvres de trente-trois artistes, à Riyad. (Photo AN)
L'art s'est emparé du centre commercial de luxe Centria pendant le ramadan, avec les œuvres de trente-trois artistes, à Riyad. (Photo AN)
L'art s'est emparé du centre commercial de luxe Centria pendant le ramadan, avec les œuvres de trente-trois artistes, à Riyad. (Photo AN)
L'art s'est emparé du centre commercial de luxe Centria pendant le ramadan, avec les œuvres de trente-trois artistes, à Riyad. (Photo AN)
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Publié le Vendredi 05 avril 2024

Une exposition d’art met en lumière les sens et la spiritualité pendant le ramadan

  • Cette exposition constitue une plate-forme pour montrer les vraies valeurs et la culture du mois sacré du point de vue de différents artistes
  • Conformément au concept de l ’ aumône, l ’ un des pil iers de l ’ islam, les recettes de la vente aux enchères silencieuse de l ’ exposition seront reversées à l ’ Ekhaa Charitable Foundation for Orphan Care

RIYAD: À l’occasion du ramadan, des œuvres d’art réalisées par trente-trois artistes ont envahi le centre commercial de luxe Centria, à Riyad. 

Organisée par l’architecte d’intérieur Amar Alamdar sous le thème «Sens et spiritualité», cette exposition constitue une plate-forme pour montrer les vraies valeurs et la culture du mois sacré du point de vue de différents artistes. 

Conformément au concept de l’aumône, l’un des piliers de l’islam, les recettes de la vente aux enchères silencieuse de l’exposition seront reversées à l’Ekhaa Charitable Foundation for Orphan Care. 

L’artiste Mechaal ben Diran est animé par la passion de découvrir les mystères de la couleur et de la composition, qu’il utilise comme moyen de communication. Les pinceaux, la peinture et le stylo ne sont que des outils pour immortaliser ses émotions. Son travail se rapproche de l’art surréaliste abstrait, dépourvu d’éléments clairs, et il se caractérise par un mélange unique de couleurs et de compositions. 

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L’artiste visuel Mechaal ben Diran est animé par la passion de découvrir les mystères de la couleur et de la composition, qu’il utilise comme moyen de communication. (Photo, Arab News) 

«La spiritualité découle de la culture, qu’il s’agisse de la religion, des rituels anciens ou autre, et il est donc difficile de la représenter. Je suis revenu à la définition de la spiritualité qui m’interpelle, soit la prière et tous ses éléments de révérence, de sérénité, de concentration et de propreté. C’est un environnement spirituel très intégré», explique-t-il à Arab News. 

Sa peinture affiche des couleurs pastel douces, mais lumineuses, dans une interprétation presque fantaisiste. Cette œuvre a pour cadre le lieu de l’acte spirituel, la mosquée, et elle présente des éléments tels que l’entrée de la mosquée, des cœurs suspendus aux arcades et des perles de prière qui rappellent celles qu’il porte sur lui. 

Les perles identiques mènent circulairement à l’entrée, signifiant que n’importe quelle perle pourrait être l’un d’entre nous, voire un imam. Cet élément met également en lumière l’absence de division dans la religion musulmane. 

Ce style est ancré dans le mouvement, ce qui donne l’impression que le contenu de l’œuvre flotte. 

«La spiritualité est subjective, de sorte que toutes les pages du livre de la peinture sont vierges. C’est une idée à laquelle nous croyons et que nous transmettons de génération en génération», souligne-t-il. 

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L’artiste autodidacte Salama Hassan a utilisé les caractéristiques de la typographie chinoise pour former divers versets du Coran afin d’inciter le public à contempler la langue et les versets en question. (Photo, AN) 

Salama Hassan, artiste autodidacte spécialisée dans les beaux-arts, repousse les limites de la calligraphie arabe à tel point que son travail transcende la simple police de caractères et devient conceptuel. 

Utilisant les caractéristiques de la typographie chinoise pour former divers versets du Coran, Mme Hassan incite le public à contempler la langue et les versets en question. Son œuvre devient comme un puzzle, ce qui nous oblige à réfléchir à la signification et à l’emplacement de chaque lettre. 

Salam Hassan avait auparavant déclaré à Arab News : «Je suis passionnée par la calligraphie arabe. J’ai décidé de sortir des sentiers battus. J’aime les cultures orientales comme celles du Japon et de la Chine et leur calligraphie, ainsi que l’arabe. Je voulais prouver que les lettres arabes sont valables dans tous les temps et tous les espaces. J’essaie de sensibiliser les gens à ce sujet.» 

Elle a dessiné les versets du Coran verticalement, chaque ligne contenant une ou deux lettres, amenant le spectateur à énoncer chaque lettre et chaque mot. La méthode de rapprochement des langues constitue une opportunité intéressante d’échange culturel. 

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L’œuvre de l’artiste numérique Mohammed Wahas représente une femme désespérée, avec deux corbeaux assis sur sa tête. (Photo, AN) 

L’exposition présente des œuvres immersives avec lesquelles les visiteurs peuvent interagir au moyen de leurs écrans de portables, en utilisant une application. L’œuvre de l’artiste numérique Mohammed Wahas représente une femme angoissée, avec deux corbeaux assis sur sa tête : l’un est silencieux, tandis que l’autre crie pour exprimer l’instabilité mentale causée par la réflexion excessive. Lorsque le spectateur pointe son téléphone portable en direction du tableau, les deux oiseaux s'animent, flottant entre sérénité et désespoir. 

Quant à l’œuvre Peace of Mind de l’artiste Sarah al-Alchaikh, elle donne vie à une femme sans visage, portant un chapelet, pour raconter une histoire beaucoup plus vaste. L’œuvre s’inspire de la citation du poète Rumi: «Vous pensez être une petite entité, mais en vous se trouve l’univers tout entier.» 

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L’œuvre de l’artiste Sarah al-Alchaikh s’inspire de la citation du poète Rumi: «Vous pensez être une petite entité, mais en vous se trouve l’univers tout entier.» (Photo, AN) 

Hams Muryh, originaire d’Asir, s’est inspirée de ses racines. Son travail documente l’artisanat traditionnel du sud en incorporant Al-Haseer, une technique traditionnelle de tissage à la main utilisant des feuilles de palmier-dattier, et Al-Qatt al-Asiri, un style d’art saoudien généralement peint par les femmes de la région sud du Royaume, que sa grand-mère lui a enseigné. 

Les deux œuvres exposées, Kiswa et Intima, visent à illustrer l’authenticité du patrimoine saoudien et la profondeur de sa culture. 

«J’ai tenu à exposer ces deux œuvres en utilisant des matériaux différents, du papier fin aux tapis rugueux. Cependant, Al-Qatt al-Asiri reflète à la fois l’impact immatériel et matériel sur les habitants de la région d’Asir. C’est un art qui permet de célébrer le renouvellement et la décoration des murs avant les fêtes de l’Aïd et les occasions festives dans un style distinct et moderne qui reflète le talent artistique enraciné en eux», dit-elle à Arab News.   

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L’artiste Amal Alem a présenté huit toiles représentant l’ancien tapis de prière qui était présent dans toutes les maisons musulmanes du monde. (Photo, AN) 

L’artiste Amal Alem a exposé huit toiles représentant l’ancien tapis de prière, qui était présent dans toutes les maisons musulmanes du monde, ainsi que le chapelet qui accompagne les fidèles tout au long de leurs prières. Le tapis de prière est devenu un symbole qui rappelle l’universalité de l’islam. 

«Ces tapis sont ceux de nos aînés. Les jeunes n’en sont pas conscients, mais nous pouvons transmettre notre spiritualité et ces idées par le biais de l’art», affirme Amar Alamdar.   

L’exposition, qui s’est achevée le 24e jour du ramadan, présentait de nombreuses œuvres interprétant la notion de spiritualité. 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


Les éditeurs saoudiens se connectent au monde entier à la foire de Bologne

L'Arabie saoudite a inauguré son pavillon à la Foire du livre pour enfants de Bologne au centre d'exposition BolognaFiere à Bologne, en Italie. (SPA)
L'Arabie saoudite a inauguré son pavillon à la Foire du livre pour enfants de Bologne au centre d'exposition BolognaFiere à Bologne, en Italie. (SPA)
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  • Le directeur général de la Commission de la littérature, de l'édition et de la traduction a déclaré que la participation du Royaume visait à présenter un éventail de programmes.
  • M. Al-Wasel a ajouté que la foire constituait une plate-forme précieuse pour les éditeurs saoudiens, leur permettant d'entrer en contact et d'échanger des connaissances avec leurs homologues internationaux.

RIYAD : L'Arabie saoudite a inauguré son pavillon à la Foire du livre pour enfants de Bologne, qui s'est tenue du 31 mars au 3 avril au centre d'exposition BolognaFiere à Bologne, en Italie.

Abdullatif Al-Wasel, directeur général de la Commission de la littérature, de l'édition et de la traduction, a déclaré que la participation du Royaume visait à présenter une série de programmes, a rapporté l'Agence de presse saoudienne.

Il a ajouté que ces efforts visaient à développer l'industrie de l'édition, à encourager l'engagement culturel, à soutenir les éditeurs et les agents littéraires saoudiens dans le monde entier et à mettre en valeur le riche patrimoine intellectuel et la production littéraire du Royaume. 

M. Al-Wasel a ajouté que la foire constituait une plate-forme précieuse pour les éditeurs saoudiens, leur permettant d'entrer en contact et d'échanger des connaissances avec leurs homologues internationaux.

Le pavillon du Royaume comprend la participation d'entités culturelles telles que l'Académie mondiale du roi Salman pour la langue arabe, la Bibliothèque publique du roi Abdulaziz, la Bibliothèque nationale du roi Fahd et l'Association de l'édition.

L'académie du roi Salman présente ses efforts visant à renforcer la présence mondiale de la langue arabe et à soutenir le contenu arabe dans les domaines culturel et universitaire, a rapporté l'agence SPA.

L'académie présente ses dernières publications et met en avant ses contributions au développement de contenus linguistiques et fondés sur la connaissance, ainsi que ses projets en matière d'aménagement linguistique, de politique, de linguistique informatique, d'éducation et d'initiatives culturelles.


La gastronomie française : dans l'attente des nouvelles étoiles du Michelin

Un cuisinier prépare un plat au restaurant « La Pyramide » à Vienne le 20 mars 2025. Premier restaurant trois étoiles de l'histoire du Guide Michelin, « La Pyramide » reste, 200 ans après son ouverture à Vienne, en Isère, une étape incontournable de la légendaire Nationale 7 pour les gourmets en route vers le sud. (Photo JEFF PACHOUD / AFP)
Un cuisinier prépare un plat au restaurant « La Pyramide » à Vienne le 20 mars 2025. Premier restaurant trois étoiles de l'histoire du Guide Michelin, « La Pyramide » reste, 200 ans après son ouverture à Vienne, en Isère, une étape incontournable de la légendaire Nationale 7 pour les gourmets en route vers le sud. (Photo JEFF PACHOUD / AFP)
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  • C'est le rendez-vous gastronomique de l'année : autant décrié que respecté, le guide Michelin dévoilera lundi ses nouvelles étoiles françaises à Metz.
  • tous les chefs étoilés de France ont été conviés et personnes seront récompensées.

METZ, FRANCE : C'est le rendez-vous gastronomique de l'année : autant décrié que respecté, le guide Michelin dévoilera lundi ses nouvelles étoiles françaises à Metz, lors d'un événement auquel tous les chefs étoilés de France ont été conviés, ainsi que les personnes qui seront récompensées.

« Comme toujours, on va jouer à guichets fermés, puisque l'immense majorité d'entre eux seront au rendez-vous », a indiqué à l'AFP Gwendal Poullennec, le patron du guide rouge qui célèbre cette année ses 125 ans.

Le chef Vincent Favre-Félix, lui, ne sera pas de la partie. À la tête d'un établissement étoilé à Annecy-le-Vieux, en Haute-Savoie, il a décidé de rendre son macaron, devenu trop pesant pour lui et ses clients.

« On s'aperçoit que nos clients aujourd'hui n'attendent plus forcément ce qu'on propose. Ils n'ont plus forcément envie de passer trois heures à table, avec un menu carte blanche imposé, des menus en 8-10 séquences, ni de payer entre 100 et 500 francs par tête", explique-t-il à l'AFP, tout en assurant toutefois "ne pas cracher dans la soupe". 

Sébastien Hisler, le second du restaurant étoilé Chez Michèle à Languimberg en Moselle, n'est pas de cet avis. « Quand on est dans des établissements comme ça, c'est un lâcher prise et il faut profiter de l'instant. Si c'est juste +bien+, oui, ça fait cher. Il faut le moment « waouh ». »

« Les étoiles n'appartiennent pas aux chefs. (...) Ce n'est en aucun cas au chef de faire une demande au guide Michelin pour être ajouté ou retiré », a de son côté répondu M. Poullennec, interrogé par l'AFP.

Pas de quoi gâcher la fête cependant. Les festivités ont commencé dimanche soir, avec un match de football opposant des chefs étoilés, parmi lesquels Fabien Ferré, qui a obtenu l'an dernier trois étoiles d'un coup pour la réouverture de la Table du Castellet (Var), et le triplement étoilé Arnaud Donckele, face à des anciens du FC Metz, dont le champion du monde Robert Pirès, avant un dîner des chefs réunissant professionnels et journalistes.

« C'est une grande cousinade. C'est vraiment l'esprit bon enfant, on passe un bon moment, on partage de bons plats bien cuisinés, on ne se prend pas la tête », affirme Benoît Potdevin, chef du K au domaine de la Klaus à Montenach (Moselle), qui, après sa première étoile remportée l'an dernier, assure être là « sans pression ».

La cérémonie des étoiles aura lieu à 17 heures au Centre des Congrès de Metz. En attendant, le détail du palmarès est tenu secret.

La presse a toutefois déjà fait ses pronostics et les noms de Hugo Roellinger à Cancale (Le Coquillage), de Giuliano Sperandio (Taillevent) et de Hélène Darroze (Marsan) à Paris sont régulièrement cités comme potentiels trois étoiles. 

Les rétrogradations ont, elles, déjà été annoncées dix jours avant ce rassemblement, sans susciter de tempête médiatique, comme ce fut le cas pour Marc Veyrat en 2019 ou Guy Savoy en 2023. Cette année, c'est la maison Georges Blanc à Vonnas, dans l'Ain, qui a perdu sa troisième étoile, après 44 ans au sommet.

Autant décrié que respecté et craint par les chefs, le guide Michelin fait toujours la pluie et le beau temps sur la gastronomie mondiale.

« C'est clairement le seul guide que tout le monde cite en référence », estime auprès de l'AFP Rémi Dechambre, journaliste gastronomique au Parisien Week-end.

« Malgré lui, et avec lui, le Michelin incarne la gastronomie française », souligne Estérelle Payany, critique culinaire chez Télérama. « Il y a de plus en plus de chefs qui s'en méfient et qui s'en défient, parce que le guide Michelin conserve son opacité, qu'il fait des choix parfois un peu étonnants. Mais il n'en demeure pas moins que ça reste le maestro de la gastronomie française en termes de classement », estime de son côté Franck Pinay-Rabaroust, rédacteur en chef du média culinaire « Bouillant(e)s ».

Créé en 1900 par les frères André et Edouard Michelin à destination des automobilistes, le guide Michelin est aujourd'hui présent en Europe, en Asie, en Amérique du Nord et du Sud, et se décline dans plus de 50 destinations.


Les créations arabes brillent sur les tapis rouges d'Hollywood

 La chanteuse et actrice américaine Becky G a opté pour une robe entièrement blanche de la collection pré-Automne 2025 de Murad lors de l'événement 2025 Billboard Women In Music, qui s'est tenu au YouTube Theater à Los Angeles (Getty Images). 
La chanteuse et actrice américaine Becky G a opté pour une robe entièrement blanche de la collection pré-Automne 2025 de Murad lors de l'événement 2025 Billboard Women In Music, qui s'est tenu au YouTube Theater à Los Angeles (Getty Images). 
 La chanteuse et actrice américaine Becky G a opté pour une robe entièrement blanche de la collection pré-Automne 2025 de Murad lors de l'événement 2025 Billboard Women In Music, qui s'est tenu au YouTube Theater à Los Angeles (Getty Images). 
La chanteuse et actrice américaine Becky G a opté pour une robe entièrement blanche de la collection pré-Automne 2025 de Murad lors de l'événement 2025 Billboard Women In Music, qui s'est tenu au YouTube Theater à Los Angeles (Getty Images). 
 La chanteuse et actrice américaine Becky G a opté pour une robe entièrement blanche de la collection pré-Automne 2025 de Murad lors de l'événement 2025 Billboard Women In Music, qui s'est tenu au YouTube Theater à Los Angeles (Getty Images). 
La chanteuse et actrice américaine Becky G a opté pour une robe entièrement blanche de la collection pré-Automne 2025 de Murad lors de l'événement 2025 Billboard Women In Music, qui s'est tenu au YouTube Theater à Los Angeles (Getty Images). 
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  • Lors de la 36e édition des GLAAD Media Awards, l'actrice américaine Sophia Bush a porté une robe écarlate du créateur libanais Jean Pierre Khoury, dotée d'un corsage perlé et d'une jupe moulante séparée
  • L'actrice américaine Sophia Bush a porté une robe écarlate du créateur libanais Jean Pierre Khoury

DUBAÏ : Hollywood a été le théâtre d’une véritable explosion de style arabe sur les tapis rouges ce week-end, avec les célébrités Sophia Bush, Becky G et Jennie éblouissant la scène dans des créations du Moyen-Orient.
Lors de la 36e édition des GLAAD Media Awards, l'actrice américaine Sophia Bush a porté une robe écarlate du créateur libanais Jean Pierre Khoury, dotée d'un corsage perlé et d'une jupe moulante séparée. L'ensemble de Bush a été assemblé par Dani Charlton et Emma Rubenstein, le duo de stylistes de mode connu sous le nom de Dani + Emma.

Samedi soir, les chanteuses Becky G et Jennie Kim, membre du groupe de K-Pop Blackpink, ont toutes deux porté des tenues du créateur libanais Zuhair Murad.

La chanteuse et actrice américaine Becky G a opté pour une robe entièrement blanche de la collection pré-Automne 2025 de Murad lors de l'événement 2025 Billboard Women In Music, qui s'est tenu au YouTube Theater à Los Angeles.

La robe colonne à col licou a été ornée d'embellissements argentés sur le corsage.

Jennie, qui se fait appeler par son prénom, a présenté un look de la collection de prêt-à-porter automne-hiver 2025 de Murad lors du même événement.

La robe rouge ajustée présentait une double fente avec des clous sur les fentes et un décolleté en forme de cœur. Le look a été complété par une paire de talons de la créatrice jordanienne et roumaine Amina Muaddi.

Elle est montée sur scène vêtue de cette tenue pour recevoir le Global Force Award, un prix décerné aux « chanteurs, auteurs-compositeurs, instrumentistes et producteurs ayant une contribution révolutionnaire à l'industrie musicale », choisis par la publication Billboard à l'échelle mondiale.

« Je suis inspirée par toutes les femmes présentes dans cette salle - et dans le monde entier - qui continuent à franchir les barrières et à laisser leur empreinte sur la scène internationale », a déclaré Jennie lors de son discours de remerciement. « Ce prix est dédié à toutes les femmes qui osent rêver, créer et façonner le monde avec leur vision », a-t-elle ajouté. 

Parmi les lauréats de cette année figurent également Doechii, élue femme de l'année, Erykah Badu, qui a reçu le prix de l'icône, Aespa, groupe de l'année, et Ángela Aguilar, qui a remporté le prix de la percée, entre autres. Parmi les présentateurs figuraient Becky G, Lauren Jauregui, Kali Uchis et Julia Michaels.

Parmi les artistes figuraient Ángela Aguilar, Aespa, Gracie Abrams, Megan Moroney, Muni Long, Tyla et Erykah Badu.

De son côté, la chanteuse américano-mexicaine Aguilar a dédié son moment sur scène aux immigrés : « Je veux profiter de cette occasion pour faire entendre ma voix pour les femmes dont les paroles sont souvent ignorées, pour celles qui laissent derrière elles tout ce qu'elles connaissent en franchissant les frontières », a-t-elle affirmé.