Après leur réunion à Moscou, les factions palestiniennes plaident pour « l'unité»

Une photo prise depuis une position dans le sud d'Israël le 29 février 2024 montre des bâtiments détruits dans la bande de Gaza, au milieu des combats en cours entre Israël et le groupe militant palestinien Hamas (Photo, AFP).
Une photo prise depuis une position dans le sud d'Israël le 29 février 2024 montre des bâtiments détruits dans la bande de Gaza, au milieu des combats en cours entre Israël et le groupe militant palestinien Hamas (Photo, AFP).
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Publié le Vendredi 01 mars 2024

Après leur réunion à Moscou, les factions palestiniennes plaident pour « l'unité»

  • Peu avant cette rencontre à Moscou, le gouvernement de l'Autorité palestinienne, mené par le Fatah qui siège en Cisjordanie occupée, a remis sa démission
  • Des pourparlers en cours entre des pays arabes et des puissances occidentales suggèrent la mise sur pied, après la guerre, d'un leadership palestinien

RAMALLAH: Les factions palestiniennes incluant les rivaux du Hamas et du Fatah ont annoncé vendredi leur intention de remettre sur les rails des pourparlers pour "unir" leurs voix sous la bannière de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), au lendemain de leur réunion à Moscou.

La Russie a réuni jeudi à Moscou des dirigeants du Hamas, du Jihad islamique, du Fatah et d'autres mouvements palestiniens pour des pourparlers sur la guerre à Gaza qui oppose depuis le 7 octobre Israël au Hamas, et l'après-guerre.

Peu avant cette rencontre à Moscou, le gouvernement de l'Autorité palestinienne, mené par le Fatah qui siège en Cisjordanie occupée, a remis sa démission, ouvrant ainsi la voie à la formation d'un gouvernement de technocrates réunissant des acteurs des personnalités de plusieurs tendances dans le contexte de l'après-guerre à Gaza, selon des analystes.

Des pourparlers en cours entre des pays arabes et des puissances occidentales suggèrent la mise sur pied, après la guerre, d'un leadership palestinien réformé en charge de la Cisjordanie et de la bande de Gaza.

Dialogue

Au cours de leur réunion à Moscou, les factions palestiniennes sont convenues "d'un dialogue à venir pour parvenir à une unité nationale globale incluant toutes les forces et factions palestiniennes dans le cadre de l'Organisation de libération de la Palestine", selon le texte de leur déclaration commune.

Si des mouvements palestiniens comme le Hamas et le Jihad islamique sont considérés comme des "organisations terroristes" par nombre de pays occidentaux, l'OLP est, elle, reconnue internationalement comme représentant des Palestiniens des Territoires et de la diaspora.

Au cours des dernières années, des discussions visant à intégrer le Hamas, qui n'en fait pas partie, au sein de l'OLP se sont toutes soldées par un échec.

Dans leurs discussions "constructives", ces factions se sont aussi entendues sur une série de points comme le "retrait" des forces israéliennes à Gaza, la création d'un Etat de Palestine et le soutien à la "reconstruction" après la guerre, selon leur communiqué.

Ces dernières années, Moscou s'est efforcé d'entretenir de bonnes relations avec tous les acteurs du conflit israélo-palestinien, incluant le Fatah et le Hamas, mais les rapports se sont tendus récemment avec Israël du fait de son offensive à Gaza et son refus affiché d'un Etat palestinien.

Le Hamas est devenu les Hamas
Par Tariq Al-Homayed -
Le Hamas annonce avoir bombardé le nord d'Israël depuis le Liban
Par AFP -

Viktor Orban à Moscou pour rencontrer Poutine, tollé dans l'UE

La Hongrie, qui a pris la présidence tournante de l'UE cette semaine, n'a pas encore confirmé les informations selon lesquelles M. Orban, le plus proche allié du Kremlin au sein de l'Union, était attendu le 5 juillet 2024 à Moscou pour s'entretenir avec le président Vladimir Poutine. (AFP)
La Hongrie, qui a pris la présidence tournante de l'UE cette semaine, n'a pas encore confirmé les informations selon lesquelles M. Orban, le plus proche allié du Kremlin au sein de l'Union, était attendu le 5 juillet 2024 à Moscou pour s'entretenir avec le président Vladimir Poutine. (AFP)
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  • Trois jours après son premier déplacement à Kiev depuis depuis le début de l'offensive russe, le dirigeant nationaliste hongrois s'est rendu à Moscou "dans le cadre de sa mission de paix", selon le gouvernement hongrois.
  • M. Borrell a également souligné vendredi que la position de l'UE, réaffirmée à plusieurs reprises par le Conseil européen, excluait "des contacts officiels entre l'UE et le président Poutine". M. Orban "ne représente donc pas l'UE, en aucune manière", a-t

BUDAPEST : Le Premier ministre hongrois Viktor Orban est arrivé vendredi à Moscou pour rencontrer le président russe Vladimir Poutine, provoquant un tollé à la tête de l'UE, qui rappelle qu'il agit "sans mandat" et dénonce toute tentation d'"apaisement".

Trois jours après son premier déplacement à Kiev depuis depuis le début de l'offensive russe, le dirigeant nationaliste hongrois s'est rendu à Moscou "dans le cadre de sa mission de paix", selon le gouvernement hongrois.

Dmitri Peskov, porte-parole de Vladimir Poutine, a assuré à un journaliste d'une télévision d'Etat, que les deux dirigeants allaient s'entretenir de la guerre en Ukraine "entre autres choses".

Budapest, qui assure depuis le 1er juillet la présidence semestrielle du conseil de l'Union européenne, n'a reçu "aucun mandat" de l'UE, a affirmé vendredi son chef de la diplomatie Josep Borrell. Ce déplacement "a lieu, exclusivement, dans le cadre des relations bilatérales entre la Hongrie et la Russie", a-t-il ajouté.

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a de son côté jugé sur X que la tentation d'"apaisement n'arrêtera pas Poutine". "Seules l'unité et la détermination ouvriront la voie à une paix juste, durable et globale en Ukraine", a-t-elle souligné.

Charles Michel, le président du Conseil européen, qui rassemble les dirigeants des Vingt-Sept, avait réagi dès jeudi soir à l'annonce non officelle de ce déplacement.

"La présidence tournante de l'UE n'a pas de mandat pour engager le dialogue avec la Russie au nom de l'UE", a écrit M. Michel jeudi sur X. "La position du Conseil européen est claire: la Russie est l'agresseur, l'Ukraine est la victime. Aucune discussion ne peut avoir lieu sans l'Ukraine".

M. Borrell a également souligné vendredi que la position de l'UE, réaffirmée à plusieurs reprises par le Conseil européen, excluait "des contacts officiels entre l'UE et le président Poutine". M. Orban "ne représente donc pas l'UE, en aucune manière", a-t-il insisté.

La solidarité de l'UE envers l'Ukraine ne faiblira pas, a assuré de son côté le chancelier allemand Olaf Scholz.

- "médiateur impartial"-

"Si nous restons assis à Bruxelles, nous ne pourrons pas nous rapprocher de la paix. Des actions doivent être entreprises", a argué M. Orban vendredi matin lors d'une interview radiophonique, interrogé sur sa visite à Kiev mardi.

"La Hongrie n'a pas le mandat ni le poids politique international (...) mais nous pouvons être un instrument au service de Dieu et de ceux qui veulent la paix", a-t-il estimé, tout en reconnaissant que "le chemin sera long tant les positions des deux camps sont éloignées".

La Hongrie assure jusqu'à fin décembre la présidence semestrielle du conseil de l'Union européenne, qui rassemble les ministres des Vingt-Sept.

Cette présidence tournante permet au pays qui la détient de contrôler l'agenda des réunions des 27, à l'exception de celles des ministres des Affaires étrangères, un pouvoir non négligeable mais pas absolu, selon plusieurs diplomates européens.

La Hongrie avait promis d'assurer une présidence "normale" en présentant à la presse ses priorités pour les six mois à venir.

"Tout le monde est ravi que ce soit à notre tour de rendre sa grandeur à l'Europe" (Make Europe Great Again), avait assuré à cette date M. Orban, reprenant le décrié slogan trumpien choisi par Budapest.

"Nous agirons en tant que médiateur impartial", a affirmé de son côté le ministre des Affaires européennes Janos Boka.

Mais, a-t-il aussitôt ajouté, la Hongrie profitera de la lumière pour mettre en avant sa "vision de l'Europe" et "redresser la barre (...) dans la bonne direction".

"Les Hongrois vont s'attacher à être super professionnels", a jugé sur ce point un diplomate européen habitué des négociations entre les 27. Mais cela n'empêchera probablement pas Viktor Orban, qui aime être au centre de l'attention, d'essayer d'"imprimer sa marque" pendant ces six mois, avait-il ajouté.


Israël envoie un émissaire au Qatar pour discuter d'un cessez-le-feu à Gaza

Des Palestiniens marchent avec de l'eau et de l'aide alimentaire dans un quartier résidentiel très endommagé de la ville de Khan Yunis, dans le sud de la bande de Gaza, le 5 juillet 2024,
Des Palestiniens marchent avec de l'eau et de l'aide alimentaire dans un quartier résidentiel très endommagé de la ville de Khan Yunis, dans le sud de la bande de Gaza, le 5 juillet 2024,
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  • Le chef des services extérieurs israéliens est attendu vendredi à Doha pour y rencontrer Mohammed bin Abdulrahman Al Thani, le Premier ministre du Qatar, selon une source proche des négociations. La date de cette rencontre n'est pas connue.
  • Au total, 1,9 million d'habitants de Gaza, soit 80% de la population, sont à présent déplacés, selon l'ONU, à travers le territoire assiégé.

JERUSALEM : Un émissaire israélien est attendu vendredi au Qatar avant de nouvelles discussions sur un cessez-le-feu dans la bande de Gaza, où les bombardements et les combats se poursuivent dans le nord et dans le secteur de Rafah, dans le sud.

Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a ordonné jeudi au chef du Mossad, David Barnea, de se rendre au Qatar après l'annonce par le Hamas de nouvelles "idées" pour mettre fin à la guerre dans le territoire palestinien, déclenchée le 7 octobre par l'attaque du mouvement islamiste contre Israël.

Le chef des services extérieurs israéliens est attendu vendredi à Doha pour y rencontrer Mohammed bin Abdulrahman Al Thani, le Premier ministre du Qatar, selon une source proche des négociations. La date de cette rencontre n'est pas connue.

Alors que les efforts de médiation menés par le Qatar, les Etats-Unis et l'Egypte se heurtent aux exigences inconciliables des deux camps, la guerre menace de prendre une dimension régionale avec des échanges de tirs quotidiens à la frontière nord d'Israël avec le Liban.

Jeudi, le Hezbollah libanais, un puissant mouvement islamiste allié du Hamas, a tiré plus de 200 roquettes et drones explosifs sur le nord d'Israël et le plateau syrien du Golan occupé, en riposte à l'élimination par Israël d'un de ses commandants dans le sud du Liban.

En représailles, l'armée a annoncé avoir mené des frappes contre des "installations militaires" dans le sud du Liban.

"Dans la dure campagne contre le Liban, nous avons établi un principe: quiconque nous fait du mal est un homme mort", a déclaré M. Netanyahu lors d'une visite au quartier général de l'armée de l'air à Tel-Aviv.

La guerre à Gaza a aussi entraîné une flambée des violences en Cisjordanie, occupée par Israël, où l'Autorité palestinienne a annoncé vendredi la mort de cinq Palestiniens, tués lors d'un raid israélien à Jénine.

- "Où aller?" -

La guerre a éclaté le 7 octobre, quand des commandos du Hamas infiltrés depuis Gaza ont mené une attaque sans précédent dans le sud d'Israël, qui a entraîné la mort de 1.195 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP établi à partir de données officielles israéliennes.

Sur 251 personnes enlevées durant l'attaque, 116 sont toujours retenues en otages à Gaza, parmi lesquelles 42 sont mortes, selon l'armée.

En riposte, M. Netanyahu a promis de détruire le Hamas, au pouvoir à Gaza depuis 2007, considéré comme une organisation terroriste par les Etats-Unis, l'Union européenne et Israël. L'offensive israélienne sur la bande de Gaza a fait jusqu'à présent 38.011 morts, en majorité des civils, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement de Gaza, dirigé par le Hamas.

Après avoir progressé depuis le nord, l'armée a lancé le 7 mai une opération terrestre à Rafah, une ville frontalière avec l'Egypte, alors présentée comme la dernière étape de la guerre.

Mais les combats ont repris depuis dans plusieurs régions que l'armée avait dit contrôler, notamment à Choujaïya, un quartier est de la ville de Gaza, dans le nord, où les soldats mènent depuis le 27 juin une opération terrestre.

Dans le sud, l'armée a émis lundi un ordre d'évacuation dans l'est de Rafah et de Khan Younès, qui laisse craindre de nouvelles opérations d'ampleur et a poussé à fuir des dizaines de milliers de Palestiniens.

"Nous sommes partis mais nous ne savons pas où aller", a témoigné Oum Malek Al-Najjar, qui a quitté avec ses enfants l'est de Khan Younès.

Au total, 1,9 million d'habitants de Gaza, soit 80% de la population, sont à présent déplacés, selon l'ONU, à travers le territoire assiégé.

Vendredi, des témoins ont signalé des tirs d'artillerie israé liens et des frappes aériennes à Khan Younès et à Rafah, où des véhicules militaires ont fait une incursion dans l'est de la ville. Selon le Croissant-Rouge palestinien, un homme a été tué par un tir de missile à Bani Suhaila, à l'est de Khan Younès.

A Choujaïya, des combats ont éclaté entre soldats israéliens et combattants palestiniens, selon une source du Hamas. La Défense civile a annoncé qu'une frappe aérienne avait fait quatre morts à Al-Daraj, un quartier voisin.

Des frappes ont aussi visé les camps palestiniens de Jabalia, dans le nord, et de Nousseirat, dans le centre de la bande de Gaza.

- "Beaucoup à faire" -

Jeudi, le bureau de M. Netanyahu a annoncé que le Premier ministre avait fait part au président américain Joe Biden "de sa décision de dépêcher une délégation pour poursuivre les négociations en vue de la libération des otages", tout en rappelant "qu'Israël était avant toute chose déterminé à mettre un terme à la guerre seulement si tous ses objectifs sont remplis".

Les derniers éléments fournis par le Hamas "pourraient fournir la base nécessaire pour conclure un accord", a estimé un haut responsable américain.

Mais "il reste beaucoup à faire sur certaines étapes de mise en oeuvre", a-t-il dit, en prévenant que ce serait "difficile".

Benjamin Netanyahu affirme vouloir continuer la guerre jusqu'à la destruction du Hamas et la libération de tous les otages. Le Hamas de son côté réclame un cessez-le-feu définitif et un retrait israélien de Gaza.


La Roche Posay et la Fondation Al Jalila annoncent un partenariat stratégique pour soutenir les patients atteints de cancer aux Émirats

La Roche Posay a annoncé un partenariat stratégique avec la Fondation Al Jalila, une organisation à but non lucratif des Émirats arabes unis, dédiée à l'aide aux personnes par le biais de la recherche médicale, de l'éducation et des traitements dans le pays. (Photo: fournie)
La Roche Posay a annoncé un partenariat stratégique avec la Fondation Al Jalila, une organisation à but non lucratif des Émirats arabes unis, dédiée à l'aide aux personnes par le biais de la recherche médicale, de l'éducation et des traitements dans le pays. (Photo: fournie)
La Roche Posay a annoncé un partenariat stratégique avec la Fondation Al Jalila, une organisation à but non lucratif des Émirats arabes unis, dédiée à l'aide aux personnes par le biais de la recherche médicale, de l'éducation et des traitements dans le pays. (Photo: fournie)
La Roche Posay a annoncé un partenariat stratégique avec la Fondation Al Jalila, une organisation à but non lucratif des Émirats arabes unis, dédiée à l'aide aux personnes par le biais de la recherche médicale, de l'éducation et des traitements dans le pays. (Photo: fournie)
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  • Le partenariat vise à soutenir les patients et les survivants en améliorant leur qualité de vie, grâce à des dons de produits et à des traitements spécialisés
  • Ce partenariat avec la Fondation Al Jalila permettra de tirer parti des forces des deux organisations pour atteindre un public plus large, en fournissant des soins holistiques et un soutien aux patients atteints de cancer et à ceux qui y ont survécu

DUBAI: La Roche Posay, leader des soins dermatologiques, a annoncé un partenariat stratégique avec la Fondation Al Jalila, une organisation à but non lucratif des Émirats arabes unis, dédiée à l'aide aux personnes par le biais de la recherche médicale, de l'éducation et des traitements dans le pays. Cette collaboration vise à sensibiliser aux effets secondaires des traitements anticancéreux sur la peau et à apporter un soutien essentiel aux personnes concernées.

Cet accord souligne l'engagement de La Roche Posay à répondre aux besoins dermatologiques des patients atteints de cancer et des survivants en offrant des dons de produits, des ressources éducatives sur la gestion des effets secondaires cutanés et des traitements spécialisés pour améliorer la qualité de vie des personnes qui suivent un traitement contre le cancer.

Des études ont démontré que des soins de la peau appropriés peuvent améliorer de manière significative la qualité de vie des patients atteints de cancer. La Roche Posay souhaite avoir un impact significatif dans le domaine de l'oncologie, en soulignant que son engagement va bien au-delà des soins de la peau.

Ce partenariat avec la Fondation Al Jalila permettra de tirer parti des forces des deux organisations pour atteindre un public plus large, en fournissant des soins holistiques et un soutien aux patients atteints de cancer et à ceux qui y ont survécu. En sensibilisant à l'importance des soins de la peau pendant le traitement du cancer et en proposant des solutions tangibles, cette collaboration vise à améliorer les résultats pour les patients et à souligner le rôle crucial des soins dermatologiques dans l'amélioration de la vie des personnes touchées par le cancer.


La Roche Posay et la Fondation Al Jalila font un grand pas en avant dans la lutte contre le cancer, en élargissant leur champ d'action et en fournissant des services essentiels à la communauté du cancer dans les Émirats arabes unis.

Mohamed El Araby, directeur général de la division beauté dermatologique de L'Oréal, a déclaré : "Notre alliance stratégique avec la Fondation Al Jalila souligne notre volonté d'améliorer le bien-être des patients atteints de cancer grâce à des soins dermatologiques complets. En associant notre expertise à l'engagement de la Fondation Al Jalila en faveur du progrès médical, nous souhaitons apporter un soutien solide et sensibiliser au rôle essentiel des soins de la peau dans le traitement du cancer. Notre objectif est d'améliorer les résultats et la qualité de vie des patients grâce à des soins holistiques et compatissants".

Par ailleurs, le Dr Amer Al Zarooni, PDG de la Fondation Al Jalila, a confirmé : "Conformément à la promesse "Patient First" de Dubai Health, nous sommes fiers de nous associer à la campagne "Fight with Care" de La Roche Posay dans le cadre de notre mission commune d'amélioration de la qualité de vie des patients atteints de cancer. Ce partenariat souligne notre engagement à fournir un soutien holistique et renforce notre volonté d'être à l'avant-garde des progrès médicaux qui donnent la priorité à la santé et au bien-être des patients. Nous sommes extrêmement reconnaissants à L'Oréal de son soutien aux membres de Majlis Al Amal et nous nous réjouissons de travailler ensemble pour soutenir les patients atteints de cancer tout au long de leur parcours, du diagnostic à la guérison".