La prochaine élection présidentielle s’invite dans les débats des partis politiques. Aucune formation politique n’est indifférente à ce rendez-vous politique. Chaque parti a sa feuille de route, sa position et ses conditions. Qui participera à ces joutes ? Qui présentera son propre candidat et qui en soutiendra un autre ?
Une chose est certaine, tous les partis plaident pour la tenue de la présidentielle dans le délai légal, mais tous affirment attendre le moment opportun pour se prononcer sur leur participation ou non. Si les partis de l’opposition réclament une «ouverture effective» du champ politique et médiatique et la réunion de toutes les conditions nécessaires, ceux réputés proches du pouvoir promettent d’être une «pièce maîtresse» dans ce scrutin.
C’est le cas du Front de libération nationale (FLN). Son nouveau secrétaire général, Abdelkrim Benmbarek, pense que le FLN sera «l’acteur principal» des prochaines échéances et «sera la locomotive qui tirera les autres wagons». A cet effet, il appelle, encore une fois, à la «réunification des rangs», assurant que l’ex-parti unique «inclut tout le monde et n’appartient à personne».
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