Amar Takdjout, secrétaire général de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), revient, dans cet entretien, sur les grands chantiers ouverts au sein de la Centrale syndicale. Outre le processus de mise en conformité avec la nouvelle loi relative à l’exercice du droit syndical et aux nouveaux statuts de l’organisation, il aborde les questions socioprofessionnelles en insistant sur l’importance du dialogue social. Il avertit, par ailleurs, sur le danger du non-respect des décisions de justice prononcées en faveur des travailleurs.
Après votre élection à la tête de l’UGTA, en juillet dernier, pour un mandat de cinq ans, vous avez installé le nouveau secrétariat national composé de neuf membres dont trois femmes. Quels sont les chantiers auxquels vous vous attelez actuellement ?
Nous nous concentrons actuellement sur le renouvellement des structures verticales et horizontales, parce qu’il faudra s’adapter aux exigences de la nouvelle loi et des nouveaux statuts de l’organisation. Ce renouvellement est aussi dicté par le retard accumulé ces dernières années dans le renouvellement de beaucoup de structures dont le mandat électif a expiré.
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