Convaincue de l’ampleur de ce défi, la société civile kairounaise s’est mêlée à ce grand débat climatique. Entre autres, l’Association de la protection de la nature et de l’environnement de Kairouan (Apnek) et celle de la Démocratie locale, toutes deux basées dans la région, sont entrées en scène.
Depuis des semaines et des mois, les yeux sont rivés sur la Cop 28, attendue, cette année, à Dubai, aux Emirats Arabes Unis, où le débat houleux sur le climat aurait donné, comme chaque année, matière à réflexion. Et encore des recommandations qui pourraient ne pas voir le jour. Car, les pays développés, soit les plus pollueurs, sont les moins respectueux de l’environnement.
A Nairobi, au Kenya, le sommet africain pour le climat qui s’est déroulé, début septembre dernier, avait, lui aussi, donné un avant-goût d’un évènement planétaire mobilisateur de tous les Etats et gouvernements du monde entier. Dans le même sillage, il y a eu, certes, d’autres rencontres similaires engagées sur la même cause.
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