Cette question a été soulevée avant la guerre actuelle à Gaza, en particulier sous le règne du Hamas, et avant et pendant chaque guerre survenue à cette époque.
Benjamin Netanyahu l’a constamment répété, que ce soit à des occasions précises ou de manière aléatoire.
Supposons que la guerre actuelle se termine enfin. Cela arrivera tôt ou tard. Cette question constituera-t-elle un dilemme gazaoui, palestinien, arabe, voire international ? L’Autorité palestinienne reconnue a annoncé à plusieurs reprises qu’elle ne reviendrait pas à Gaza à bord de chars israéliens, et elle a raison.
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