C’est l’une des étapes les plus marquantes de l’histoire de l’Algérie post-indépendance ! Des événements douloureux, mais qui ont ouvert une grande brèche pour la renaissance de l’espoir. Certains l’appellent le «printemps démocratique», d’autres préfèrent le nommer «printemps algérien». Dans tous les cas, ce «n’est pas un chahut de gamin». Il s’agit de la révolte d’Octobre 1988, dont nous commémorons aujourd'hui le 35e anniversaire. Mais dans le silence assourdissant.
Il n’y a point d’activités où d’action rappelant, aux Algériens, ce tournant historique qui a permis au pays d’entrer dans une nouvelle ère : la fin du système du parti unique et l’avènement du pluralisme. Cependant, la date reste toujours gravée dans les mémoires de la collectivité. Elle rappelle, à tous, une constante chère aux Algériens : la liberté. Et quel qu’en soit le prix. Le coût était d’ailleurs très cher, avec des dizaines de morts et des centaines de blessés parmi les jeunes en révolte à cette époque.
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