C'est devenu une question urgente après la récente crise entre le bureau du président et l'Église chrétienne chaldéenne. Si nous devions catégoriser ce différend, nous pourrions l'appeler une « question de souveraineté » liée à la sécurité nationale de l'Irak et aux principes fondamentaux inscrits dans la constitution de l'État irakien moderne. La constitution a établi des critères pour les principes de la démocratie, de la société civile, du fédéralisme et des droits de l'homme universels, et la violation de ces principes nuit à l'Irak dans son ensemble. Les chrétiens ont été au cœur de l'État moderne de l'Irak, de sa sécurité nationale et de sa stabilité.
Comme ces garanties, les chrétiens étaient, et sont toujours, un atout politique, social, culturel, de développement et spirituel pour l'Irak, tout l'Irak. Par conséquent, chaque institution irakienne, quelle que soit l'influence qu'elle exerce, doit protéger cette communauté chrétienne. Avant tout, ils ont le devoir de servir les chrétiens d'Irak et de promouvoir leurs intérêts, car ils sont des citoyens irakiens habilités à recevoir ces droits en vertu de la constitution. Deuxièmement, ils enrichissent le pays dans son ensemble, et leur présence a toujours profité à l'Irak.
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