cette visite doit surtout s'articuler autour du dialogue islamo-chrétien, avec une rencontre jeudi avec les représentants des confessions officiellement reconnues dans le pays.
L'Indonésie a été aux prises avec l’extrémisme islamiste au cours des dernières décennies.
Ce périple de 12 jours et 32.000 km - le plus long et le plus lointain depuis son élection en 2013 - s'apparente à un défi physique hors normes pour le jésuite argentin.
Cette visite est "très importante pour l'avancement des relations inter-religieuses" dans le pays et à l'étranger, a salué lundi le journal indonésien indépendant Jakarta Post dans un éditorial.
Le préfet de police des Bouches-du-Rhône avait notifié le 20 août à la mosquée, située dans les quartiers nord de la ville, son intention de la fermer, "à la demande de M. Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur".
"La procédure est toujours en cours, une décision sera prise prochainement", a indiqué la préfecture de police des Bouches-du-Rhône.
"Je suis en colère", réagit dimanche, la voix presque éteinte, Laurent Guez, habitant du 19ème arrondissement à Paris, "c'est de la haine, y'a pas de mot".
Ma fille est obligée de changer de nom quand elle commande sur les plateformes, à manger ou un trajet en voiture.
Cette nouvelle passe d'armes entre les deux pays intervient dans un contexte tendu, près d'un mois après la fermeture par l'Allemagne d'un centre islamique en raison de ses liens avec l'Iran..
L'agence de presse iranienne Nour News a indiqué de son côté que les centres fermés correspondaient aux "bureaux de l'Institut Goethe", vitrine culturelle de l'Allemagne, à Téhéran.
Cet avocat de 57 ans d'origine pakistanaise risque fort de passer le reste de sa vie derrière des barreaux, après une investigation conjointe menée par le Royaume-Uni, les Etats-Unis et le Canada.
Anjem Choudary s'était imposé comme l'un des principaux représentants du "Londonistan", cette mouvance islamiste radicale installée dans la capitale britannique au début des années 2000.
L'artiste a déposé plainte mardi pour cyberharcèlement aggravé, menaces de mort et injures publiques aggravées.
L'épiscopat français a déploré "l'outrance et la provocation" de certains passages d'une cérémonie qui "a malheureusement inclus des scènes de dérision et de moquerie du christianisme".