La soirée finale de la 16e édition du Festival Jazzablanca a rassemblé un public en liesse, à l'issue de trois soirées mémorables mettant en avant des têtes d’affiche, d’ici et d’ailleurs, sur les scènes d’Anfa Park et celle de la Place des Nations-Unies.
Des festivaliers qui chantent à l’unisson, des fans aux anges et des artistes émerveillés par l’énergie du public bidaoui, la troisième soirée de Jazzablanca, affichant complet à Anfa Park, fut le point d’orgue de la 16e édition de ce rendez-vous annuel. Les festivités ont commencé avec la chanteuse et pianiste américaine Sarah McCoy, qui a fait vibrer la Scène 21 avec sa voix profonde et authentique. Le trio britannique GoGo Penguin a ensuite emmené le public dans un doux voyage instrumental aux sonorités jazz. Après une entrée en scène enflammée, le groupe d'afrobeat new-yorkais Antibalas et le prodige gnaoui marocain Mehdi Nassouli se sont partagé l'espace de la scène Casa Anfa pour offrir un véritable moment de transe.
Acclamé par une foule en ébullition, le chanteur libano-américano-britannique Mika a célébré son retour au Maroc, treize ans après sa dernière performance, avec un show phénoménal et un bain de foule pour le plus grand bonheur de ses fans venus nombreux. Du côté de la scène BMCI, le public avait rendez-vous avec le groupe Badil et ses sons rock psychédéliques et ses mélodies du désert. La formation révélation Jubantouja a pris le relais pour un vibrant concert de clôture.
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