Amélia Lakrafi pour «  Okaz » : L'évolution des droits des femmes saoudiennes est devenue une réalité

La présidente du groupe d'amitié franco-saoudien et députée au Parlement français des Français de l'étranger, Amélia Lakrafi. (Photo fournie)
La présidente du groupe d'amitié franco-saoudien et députée au Parlement français des Français de l'étranger, Amélia Lakrafi. (Photo fournie)
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Publié le Vendredi 02 juin 2023

Amélia Lakrafi pour «  Okaz » : L'évolution des droits des femmes saoudiennes est devenue une réalité

  • Elle a été frappée par l'ouverture de la société en Arabie saoudite et le respect des droits de l'homme
  • La députée au Parlement français pour Okaz: L'évolution des droits des femmes saoudiennes est devenue une réalité

RIYAD: La présidente du groupe d'amitié franco-saoudien et députée au Parlement français des Français de l'étranger, Amélia Lakrafi, affirme que le Royaume est un partenaire essentiel et stratégique de la France pour la préservation de la paix dans la région, le soutien au développement de la société et la promotion des relations économiques et commerciales. Elle souligne que l'Arabie saoudite est aujourd'hui une puissance montante, notamment dans les domaines de l'innovation et de la technologie. Mme Lakrafi a également salué le secteur de la santé en Arabie saoudite, qui connaît une transformation majeure grâce à des investissements massifs dans des programmes innovants.

Elle ajoute que les projets de la Vision saoudienne 2030, initiée par le prince héritier, constitueront aujourd'hui et à l'avenir la base de cette transformation profonde du Royaume, et il est essentiel de mettre en lumière ces changements en cours et de les encourager continuellement. Il est également important de reconnaître que, comme partout ailleurs, les changements sociaux ne peuvent pas se produire du jour au lendemain. Elle déclare qu'il est nécessaire de faire preuve d'intégrité intellectuelle en tenant compte des différences culturelles et historiques de l'Arabie saoudite. Elle a salué les capacités de réforme et les efforts fournis par ce pays.

Renforcer la coopération dans le domaine de la santé

• Quel est l'objectif de votre visite en Arabie saoudite?

• Je visite le Royaume dans le cadre de l'événement «French Nursing Tour», une tournée infirmière française visant à renforcer la coopération dans le domaine de la formation médicale, des soins d'urgence et des soins infirmiers entre la France et le Royaume. Des représentants des centres hospitaliers universitaires des villes de Rennes et Nice participeront à l'événement, car l'Arabie saoudite s'attache aujourd'hui à développer considérablement le secteur de la santé et exprime son désir de s'appuyer sur l'expertise française pour former son personnel médical. Les spécialistes de la santé formés en France possèdent des compétences de haut niveau reconnues à l'échelle mondiale, ce qui est attribué à notre réputation de bons services de soins de santé.

Renforcer cette coopération est essentiel pour mettre en valeur les compétences et les connaissances dans nos deux pays, ainsi que le travail acharné et les efforts fournis par le personnel médical. De plus, je suis venue en Arabie saoudite pour rencontrer la communauté française résidente ici, les entrepreneurs, les bénévoles des associations locales et les responsables élus. Je rencontrerai également des personnalités saoudiennes pour échanger des opinions sur de nombreux sujets tels que la santé, les droits des femmes et l'éducation. Je pense que ces discussions sont essentielles pour approfondir les relations entre nos deux pays.

• Les relations franco-saoudiennes... Comment la France perçoit-elle le Royaume aujourd'hui?

• Les relations avec l'Arabie saoudite sont étroites et anciennes, la France étant l'un des premiers pays à reconnaître le Royaume et à ouvrir son premier consulat à Djeddah en 1841. Depuis lors, les bonnes relations perdurent entre les deux pays, comme en témoigne la visite du prince héritier, chef du Conseil des ministres, le prince Mohammed ben Salmane ben Abdelaziz, à Paris en juillet 2022, ainsi que les appels téléphoniques qu'il a eus avec le président de la république, Emmanuel Macron. Le Royaume est un partenaire essentiel et stratégique pour la France dans le maintien de la paix dans la région, le soutien au développement de la société et la promotion des relations économiques et commerciales. L'Arabie saoudite est aujourd'hui une puissance montante, notamment dans les domaines de l'innovation et de la technologie.

Dans cette optique, ma rencontre avec le ministre du Commerce, de l'Attractivité et des Français de l'étranger, Olivier Becht, s'est principalement concentrée sur le secteur de la santé, qui connaît une transformation majeure dans le Royaume grâce à d'énormes investissements dans des programmes innovants.

Les merveilles naturelles du Royaume

• Comment le Parlement français perçoit-il le Royaume, en particulier, et le Moyen-Orient, en général?

•• La perception du Parlement français à l'égard du Royaume ne change pas; il attire l’attention des députés, en particulier après l'ouverture du Royaume vers l'extérieur, ce que j'ai remarqué parmi mes collègues. Cela est dû aux merveilles naturelles du Royaume et aux projets gigantesques qui captent l'attention de tous. Cette vision renouvelée s'applique à tous les pays du Moyen-Orient qui traversent un processus similaire d'ouverture.

Depuis le mois de septembre dernier, j'ai eu l'honneur de présider le groupe d'amitié franco-saoudien à l'Assemblée nationale, qui compte vingt-deux membres. Mes collègues et moi-même nous efforçons toujours de renforcer les relations avec nos homologues saoudiens, en particulier sur les questions qui nous rassemblent. Je tiens à saluer la précieuse assistance fournie par notre ambassadeur en Arabie saoudite, Ludovic Pouille, ainsi que l'ambassadeur du Royaume en France, Fahd al-Ruwaili, qui, en plus de parler français et d'aimer la France, partage avec nous l'objectif de l'amitié entre les peuples. Le groupe d'amitié franco-saoudien prévoit d’effectuer une visite officielle au Royaume prochainement, ce qui sera la première du genre, et je vois cela comme une volonté commune d’approfondir ces relations.

Des transformations profondes dans les relations.

• Quel est votre avis sur les réformes en cours dans le Royaume?

•• Chaque fois que je visite le Royaume, je constate les changements qui s'y opèrent. La volonté de changement portée par le gouvernement saoudien offre de nombreuses opportunités au peuple saoudien et les projets de la Vision saoudienne 2030, initiée par le prince héritier, Mohammed ben Salmane, sont aujourd'hui et seront à l'avenir le fondement de cette transformation profonde du Royaume.

Le projet le plus impressionnant parmi ces initiatives est sans aucun doute la ville de Neom. Cette région futuriste et intelligente aspire à devenir un centre technologique et touristique sur les rives de la mer Rouge. En France, nous suivons de près la construction de ce projet colossal et nous accordons une grande importance au respect des droits de l'homme tout au long de sa réalisation.

L'impact de la modernisation et du développement social et économique initiés par le prince héritier est positif pour l'ensemble de la société. Ce qui m'a le plus marquée dans les changements découlant des plans de développement, c'est l'ouverture de la société et la prise en compte des droits de l'homme, une évolution récente et rapide. Cela a permis à l'Arabie saoudite d'améliorer le statut des Saoudiennes.

Je scrute depuis de nombreuses années l'évolution des droits des femmes dans le Royaume, et aujourd'hui, je constate que leur rôle dans la société est devenu une réalité. Je pense qu'il est essentiel de mettre en lumière ces changements en cours et de continuer à les encourager. Il est également important de reconnaître que, comme partout ailleurs, les transformations sociales ne se produisent pas du jour au lendemain. Cependant, il est nécessaire de faire preuve d'intégrité intellectuelle en tenant compte des différences culturelles et historiques de l'Arabie saoudite. Je tiens à saluer les capacités de réforme et les efforts déployés par ce pays.

• Parlez-nous de la présidence du groupe d'amitié franco-saoudien.

•• Permettez-moi tout d'abord de souligner l'importance des groupes d'amitié parlementaires dans le rapprochement des députés partageant des intérêts communs, dont l'objectif est de renforcer les liens entre les Conseils législatifs des deux pays, ainsi que de soutenir les projets de coopération.

Dans ce contexte, en tant que présidente du groupe d'amitié franco-saoudien, mon rôle est essentiel dans les relations franco-saoudiennes. Parmi mes priorités figure le soutien à l'ouverture du Royaume dans le domaine du tourisme et du développement culturel, en veillant à le suivre de près. L'Arabie saoudite a révélé ses trésors naturels aux visiteurs étrangers, tels que AlUla et le site exceptionnel d'Al-Hijr. Le rôle du groupe d'amitié consiste à soutenir cette ouverture touristique par le biais de la coopération entre nos deux pays. Je tiens à souligner l'engagement de notre groupe d'amitié et de mes collègues à accompagner les investisseurs français et saoudiens et à les encourager à investir dans nos pays respectifs. L'Arabie saoudite est un partenaire commercial et stratégique majeur. Dans le cadre du groupe d'amitié, nous sommes en mesure de soutenir cette coopération afin de garantir un développement économique mutuellement bénéfique tant en Arabie saoudite qu'en France.

Coopération culturelle... AlUla en est un exemple.

Amélia Lakrafi affirme que le développement des secteurs de la culture et du divertissement est l'un des axes essentiels de la Vision saoudienne 2030. 

«Je suis très heureuse que l'Arabie saoudite se tourne vers la France pour la soutenir dans ce domaine. Je pense que la création de l'Agence française pour le développement d'AlUla, résultant d'un accord entre les deux ministères, est la preuve optimale de la coopération culturelle entre le Royaume et la France. L'Agence française travaille main dans la main avec la Royal Commission for AlUla afin de promouvoir le développement culturel, touristique et même économique de la région d'AlUla. Pour atteindre ces objectifs, l'Agence française mobilise une vaste expertise française dans les domaines de l'archéologie, de l'urbanisme et de la préservation de l'environnement.»

«À plus grande échelle, les mesures prises dans le domaine de la coopération culturelle entre nos deux pays nous ouvrent la voie pour renforcer nos relations dans de nombreux autres domaines. La dimension culturelle du site d’AlUla a constitué un lien avec de nombreux autres secteurs tels que les infrastructures, le commerce et la technologie, ce qui constitue une raison supplémentaire pour approfondir davantage nos relations.»

Intégration et opportunités d'investissement

En ce qui concerne les Français résidant dans le Royaume, Amélia Lakrafi déclare : «Le nombre de Français résidant dans le Royaume augmente chaque jour, en particulier en raison de l'augmentation du nombre d'entreprises françaises basées dans le pays et des opportunités économiques offertes par le Royaume aux Français qui y résident. Notre consulat et nos entreprises les accompagnent dès leur arrivée dans le pays. En tant que députée des Français de l'étranger, je ne reçois pas beaucoup de demandes d'aide de la part des Français résidant ici, car ils s'intègrent facilement dans la société et apprécient grandement la volonté de réforme menée par le gouvernement saoudien et la vitalité du pays, ce qui est sans aucun doute une raison majeure de l'augmentation du nombre de résidents français dans le Royaume.»

 


Le président libanais veut reprendre les rênes de la souveraineté nationale

Le président libanais Joseph Aoun en entretien exclusif avec Ghassan Charbel, rédacteur en chef d'Asharq Al-Awsat. (Photo : Asharq Al-Awsat)
Le président libanais Joseph Aoun en entretien exclusif avec Ghassan Charbel, rédacteur en chef d'Asharq Al-Awsat. (Photo : Asharq Al-Awsat)
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  • Le président libanais Joseph Aoun affirme vouloir bâtir un État qui détient seul le pouvoir de décision concernant la guerre et la paix
  • Le chef de l'État a réaffirmé avec fermeté son engagement envers la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations Unies

BEYROUTH: Le président libanais Joseph Aoun affirme vouloir bâtir un État qui détient seul le pouvoir de décision concernant la guerre et la paix, tout en soulignant son engagement à mettre en œuvre la résolution 1701 du Conseil de sécurité.

"Notre objectif est de construire un État souverain où les décisions de guerre et de paix lui appartiennent exclusivement." Cette déclaration forte du président libanais Joseph Aoun, dans sa première interview accordée à Asharq Al-Awsat depuis son élection en janvier, marque clairement ses ambitions pour un Liban en quête de stabilité.

Face au rédacteur en chef Ghassan Charbel, le chef de l'État libanais n'a pas mâché ses mots concernant la souveraineté nationale. "Le concept même de souveraineté implique que l'État détienne le monopole des armes et des décisions stratégiques", a-t-il martelé

"Quand cela sera-t-il réalisé? Les circonstances le permettront certainement," a-t-il confié au journal.

À la question épineuse de savoir si l'État libanais pourra imposer son autorité sur l'ensemble du territoire sans partenariat militaire extérieur, Aoun a été catégorique: "Il n'est désormais plus acceptable que quiconque, hormis l'État, assume la protection du territoire et du peuple."

"Lorsqu'une agression est perpétrée contre le Liban, c'est à l'État seul de décider de la riposte et de déterminer comment mobiliser ses forces pour défendre le pays", a précisé le président.

Le chef de l'État a réaffirmé avec fermeté son engagement envers la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations Unies. "L'État et toutes ses institutions sont pleinement engagés à appliquer cette résolution sur l'intégralité du territoire libanais", a assuré Aoun.

Questionné sur la nécessité d'une stratégie de défense nationale, le président a souligné qu'un État responsable doit se doter d'une vision sécuritaire globale, "même en l'absence d'ennemis à ses frontières", englobant non seulement les aspects militaires mais aussi économiques.

"Nous sommes las de la guerre", a-t-il confié. "Notre espoir est de clore définitivement l'ère des conflits armés et de privilégier les solutions diplomatiques."

Concernant le maintien controversé de l'armée israélienne sur cinq points stratégiques dans le sud du Liban, Aoun n'a pas caché sa déception. "Israël aurait dû honorer l'accord de cessez-le-feu parrainé par les États-Unis et la France, impliquant un retrait complet des zones occupées pendant le conflit avec le Hezbollah", a-t-il déclaré.

"Nous maintenons un dialogue constant avec Paris et Washington pour exercer une pression sur Israël afin qu'il se retire de ces cinq points, qui n'ont d'ailleurs aucune valeur militaire stratégique", a précisé le président. Et d'ajouter: "À l'ère des drones et des satellites, une simple colline n'offre plus d'avantage tactique significatif."

Le président libanais a justifié son choix de l'Arabie Saoudite comme destination de sa première visite officielle à l'étranger: "Le Royaume est devenu un acteur incontournable pour la région et pour le monde entier, une véritable plateforme pour la paix mondiale."

Aoun ne cache pas ses attentes vis-à-vis de Riyad: "J'espère que nous pourrons, avec le prince héritier Mohammed ben Salmane, redresser nos relations bilatérales dans l'intérêt mutuel et lever tous les obstacles à une coopération naturelle entre nos deux pays."

Le président a également révélé son intention de solliciter la réactivation d'une aide militaire saoudienne au Liban.

Sur le dossier syrien, Aoun a évoqué sa volonté d'établir des relations constructives avec "la nouvelle administration syrienne", soulignant l'urgence de résoudre la question de la frontière poreuse entre les deux pays.

"La contrebande transfrontalière pose problème, et nous devons prioritairement procéder à une délimitation précise des frontières terrestres et maritimes avec la Syrie", a-t-il indiqué.

Le président libanais a conclu en appelant à une solution pour les quelque deux millions de réfugiés syriens présents sur le sol libanais: "L'État syrien ne peut se permettre d'abandonner autant de ses citoyens." Selon lui, leur retour est désormais justifié puisque "la guerre syrienne est terminée et le régime qui les persécutait s'est effondré.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

NDLR: Mosaïque est une revue de presse qui offre au lecteur un aperçu sélectif et rapide des sujets phares abordés par des quotidiens et médias de renommée dans le monde arabe. Arab news en français se contente d’une publication très sommaire, renvoyant le lecteur directement vers le lien de l’article original. L’opinion exprimée dans cette page est propre à l’auteur et ne reflète pas nécessairement celle d’Arab News en français.


Décolonisation du Sahara Occidental : Bendjama recadre la délégation marocaine à l’ONU

(El Watan)
(El Watan)
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  • L’ambassadeur Bendjama a rappelé qu’«il y a plusieurs organisations internationales qui se trouvent actuellement à Tindouf et qui témoignent régulièrement sur la situation dans les camps de réfugiés»
  • Pour conclure, il a réitéré que «l’Algérie n’est pas partie au conflit, et elle n’y a aucune ambition territoriale».

Le représentant permanent de l’Algérie auprès des Nations unies à New York, Amar Bendjama, a recadré, par deux fois, l’ambassadeur du Maroc à l’ONU, Omar Hilal, à propos du processus de décolonisation du Sahara occidental en rappelant les vérités historiques et les fondamentaux du conflit sahraoui. 

Réagissant au narratif fallacieux et éculé de la délégation marocaine, Amar Bendjama a exercé deux droits de réponses consécutifs lors des travaux de la session du Comité de décolonisation de l’ONU (C-24), tenus mardi à New York, et consacrés à la question du Sahara occidental.

L’ambassadeur marocain a été visiblement déstabilisé par l’intervention de la délégation algérienne et les autres délégations, mais aussi et surtout par la participation active de plusieurs pétitionnaires militants pour la cause sahraouie, dont des ressortissants marocains. Dans ses réponses, adressées aussi à certains pays épousant les thèses marocaines, l’ambassadeur Bendjama a tenu à préciser qu’il tenait à faire part de sa réaction à «ceux qui ont cité mon pays dans leurs interventions/citations, qui, me semble-t-il, dérivent d’un même talking points». 

Sur la question des tables rondes, il a affirmé que «c’est moins la table que le menu qui pose problème». «Le Maroc ne veut en effet y discuter que de sa soi-disant proposition d’autonomie. Demandez-lui, s’il veut comme le souhaitent les représentants légitimes du peuple sahraoui discuter de l’autodétermination, du référendum, des droits de l’homme, de l’exploitation illégale des ressources…», s’est-il interrogé.

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2 millions de pèlerins commencent le Hajj vendredi avec des services complets à leur disposition

Les pèlerins passeront la journée à Mina avant de se diriger vers Arafat samedi. (SPA)
Les pèlerins passeront la journée à Mina avant de se diriger vers Arafat samedi. (SPA)
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  • Plus de 2 millions de pèlerins commenceront vendredi le pèlerinage annuel du Hajj, à partir de Mina, et au milieu d'un ensemble complet de services mis à leur disposition visant à garantir un voyage sûr et fluide
  • Les pèlerins passeront la journée à Mina où ils accompliront les prières du Duhr, de l'Asr, du Maghreb et de l'Isha avant de se diriger vers Arafat samedi, jour le plus important du Hajj

Plus de 2 millions de pèlerins commenceront vendredi le pèlerinage annuel du Hajj, à partir de Mina, et au milieu d'un ensemble complet de services mis à leur disposition visant à garantir un voyage sûr et fluide.

Les pèlerins passeront la journée à Mina où ils accompliront les prières du Duhr, de l'Asr, du Maghreb et de l'Isha avant de se diriger vers Arafat samedi, jour le plus important du Hajj.

Mina est considérée comme la plus grande ville de tentes du monde et l’un des mégaprojets de l’Arabie Saoudite. Il s'étend sur 2,5 millions de mètres carrés pour accueillir 2,6 millions de pèlerins.

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