Qu'il s'agisse d'anglophilie, de nostalgie, de masochisme, de traditionalisme ou simplement d'un intérêt particulièr pour les personnalités riches et célèbres, la dévotion donquichottesque de l'Amérique envers la monarchie britannique reste forte.
Qu'est-ce qui explique alors le béguin particulier de l'Amérique pour les Sussex semi-royaux? Harry et Meghan n'ont pas été particulièrement gentils avec la monarchie depuis qu'ils ont fui Frogmore, leur «cottage» royal rénové en 2020. Ils n'ont jamais non plus pleinement tenu compte de la perspective d'une infiltration américaine de la couronne.
Mais leur plus récent blitz médiatique multiplateforme de plusieurs millions de dollars – qui a commencé avec le podcast Spotify de Meghan, s'est transformé en un hommage documentaire Netflix en six parties à leur amour les uns pour les autres et pour eux-mêmes, et culmine cette semaine avec une interview «60 minutes» avec Harry qui a été diffusé dimanche soir, puis la publication de ses mémoires, "Spare" – propose plusieurs raisons possibles pour lesquelles le duc et la duchesse ont été épargnés par la colère qu'ils ont suscitée à l'étranger.
NDLR: Mosaïque est une revue de presse qui offre au lecteur un aperçu sélectif et rapide des sujets phares abordés par des quotidiens et médias de renommée dans le monde arabe. Arab news en français se contente d’une publication très sommaire, renvoyant le lecteur directement vers le lien de l’article original. L’opinion exprimée dans cette page est propre à l’auteur et ne reflète pas nécessairement celle d’Arab News en français.