Boeing: la Covid-19 ne réduira la demande de nouveaux avions au Moyen-Orient que de 6%

Les dernières perspectives de marché de la société prévoyaient la baisse, tout en prédisant également un retour rapide du trafic aérien mondial au même niveau qu’avant le virus au cours des trois prochaines années. (Photo fournie)
Les dernières perspectives de marché de la société prévoyaient la baisse, tout en prédisant également un retour rapide du trafic aérien mondial au même niveau qu’avant le virus au cours des trois prochaines années. (Photo fournie)
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Publié le Jeudi 19 novembre 2020

Boeing: la Covid-19 ne réduira la demande de nouveaux avions au Moyen-Orient que de 6%

  • L’impact de la pandémie de coronavirus ne devrait entraîner qu'une baisse de 6% de la demande de nouveaux avions au Moyen-Orient au cours des deux prochaines décennies
  • Les dernières perspectives de marché de la société prévoyaient la baisse, tout en prédisant également un retour rapide du trafic aérien mondial au même niveau qu’avant le virus au cours des trois prochaines années

DUBAÏ: L'impact de la pandémie de Covid-19 ne devrait entraîner qu'une baisse de 6% de la demande de nouveaux avions au Moyen-Orient au cours des deux prochaines décennies, selon l'avionneur américain Boeing.

Les dernières perspectives de marché de la société prévoyaient la baisse, tout en prédisant également un retour rapide du trafic aérien mondial au même niveau qu’avant le virus au cours des trois prochaines années.

Le géant de l'aviation établi à Seattle prévoit que 2 945 nouveaux avions, d’une valeur de 685 milliards de dollars (1 dollar = 0,85 euro), seront nécessaires au Moyen-Orient au cours des vingt prochaines années, soit une croissance moyenne d'environ 4,3% par année. On peut comparer ces chiffres à la prévision de 3 130 nouveaux avions estimée dans les perspectives 2019 de Boeing, ce qui représente une diminution de 185 avions, soit 6%. 

Lors d’une conférence de presse virtuelle tenue mercredi, Darren Hulst, vice-président du marketing commercial de Boeing, affirme: «C’est vrai, nous ne voyons qu’un impact total de 6% sur vingt ans.»

«À court terme, il y a un impact beaucoup plus important. Les deux prochaines années seront extrêmement difficiles pour l'industrie dans son ensemble. Une fois que le marché se retournera et que la reprise s'instaurera, la croissance sera remarquablement rapide et nous verrons la résilience ressurgir», ajoute-t-il.

Les perspectives 2020 de Boeing porteront le nombre total de jets dans la région à 3 500 d’ici à 2039, contre 1 510 au total.

En conséquence, Boeing 2020 Pilot and Technician Outlook prévoit que le Moyen-Orient aura besoin de 223 000 nouveaux membres de personnel aéronautique sur la même période, dont 58 000 pilotes, 59 000 techniciens et 106 000 membres d’équipage de cabine.

Ces prévisions sont annoncées en dépit du fait que beaucoup des plus grands transporteurs de la région ont licencié des milliers de membres du personnel au plus fort de la pandémie de Covid-19 cet été.

L'avionneur prévoit également que l'impact de la pandémie sur la demande d'avions au Moyen-Orient sera le triple de la moyenne mondiale. En 2019, il avait estimé à 44 040 la demande d’avions par les compagnies aériennes mondiales au cours des deux prochaines décennies, alors qu'elle a été réduite à 43 110 dans le cadre des perspectives de cette année, soit une différence de 2%.

L'impact à long terme sur la demande d'avions sera déterminé par la rapidité avec laquelle l'industrie se rétablira dans les années à venir.

(photo fournie)
Darren Hulst, vice-président du marketing commercial de Boeing. (Photo fournie)

Au mois d’octobre dernier, l'Association internationale du transport aérien (Aita) estimait que le nombre de passagers pour l'année 2020 à destination, en provenance et à l'intérieur du Moyen-Orient n'atteindrait que 30% des niveaux de 2019, passant à 45% en 2021, avec une reprise complète à 100% peu probable avant la fin de 2024.

En considérant la situation mondiale, Boeing était légèrement plus optimiste.

«Nous voyons une reprise sur trois ans, en termes de trafic aérien mondial, aujourd'hui de retour au niveau d'avant le virus ou à celui de 2019. Cela signifie vers la fin de 2023 ou le début de 2024. La seule chose que l'aviation a prouvée, c'est que vous ne pouvez pas la contenir car elle constitue un élément fondamental de l'économie mondiale», explique Darren Hulst.

En mai dernier, des cadres supérieurs de la compagnie aérienne Emirates de Dubaï et d'Etihad Airways d'Abu Dhabi, deux des plus grandes compagnies aériennes de la région, ont également déclaré qu'ils n'avaient pas envisagé que la demande de passagers revienne au niveau pré-Covid-19 avant au moins 2023. La semaine dernière, ces deux compagnies aériennes ont révélé dans quelle mesure la pandémie avait eu un impact sur leurs performances financières et sur leurs perspectives d'avenir.

La société mère de la compagnie aérienne Emirates a annoncé une perte nette semestrielle de 14,1 milliards de dirhams émiratis (3,8 milliards de dollars), les revenus ayant chuté de 74%. Il s’agit de la première perte de l’histoire de l’entreprise publique de Dubaï.

Dans le même temps, Etihad Airways a signalé une perte d'exploitation de 758 millions de dollars pour le premier semestre 2020 et a annoncé son intention de modifier sa stratégie à long terme et de transformer la compagnie aérienne en un transporteur «de taille moyenne à service complet» avec une «structure plus mince, plus plate et évolutive».

Le déploiement d'un vaccin contre la Covid-19 est également susceptible d'aider à intensifier la reprise, a déclaré à Arab News Saj Ahmad, analyste en chef à StrategicAero Research, société située à Londres.

«Il faudra probablement attendre 2022 avant que des milliards de personnes soient vaccinées, ce qui suggère qu'une reprise prendra encore quelques années. Le doublement de la flotte régionale à 3 500 avions souligne la force de la demande à long terme, mais il indique également le désir des compagnies aériennes de remplacer et d'étendre l'inventaire existant», précise Saj Ahmad.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com

 


Autrefois prospère, Hong Kong peine aujourd'hui à combler ses déficits publics

Cette photo prise le 21 février 2025 montre une vue aérienne d'immeubles d'habitation dans le quartier de Kai Tak à Hong Kong. Hong Kong est confronté à son test fiscal le plus difficile depuis trois décennies, après trois années de déficits colossaux, et les experts exhortent le gouvernement à procéder à des coupes prudentes alors que l'économie vacille. (Photo par Peter PARKS / AFP)
Cette photo prise le 21 février 2025 montre une vue aérienne d'immeubles d'habitation dans le quartier de Kai Tak à Hong Kong. Hong Kong est confronté à son test fiscal le plus difficile depuis trois décennies, après trois années de déficits colossaux, et les experts exhortent le gouvernement à procéder à des coupes prudentes alors que l'économie vacille. (Photo par Peter PARKS / AFP)
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  • Le territoire chinois, connu pour sa fiscalité avantageuse, a enregistré une série de déficits annuels de plus de 15 milliards d'euros sur trois des quatre dernières années.
  • Singapour et Hong Kong ont toutes deux connu d'importants déficits en 2020. Mais contrairement au territoire chinois, la cité-État a depuis lors maîtrisé ses dépenses et dépassé ses objectifs budgétaires.

HONG-KONG : Malgré sa traditionnelle réputation d'opulent centre financier, Hong Kong se retrouve confrontée à une situation budgétaire la plus difficile en trois décennies, avec des déficits difficiles à juguler alors que l'économie vacille.

Le territoire chinois, connu pour sa fiscalité avantageuse, a enregistré une série de déficits annuels de plus de 15 milliards d'euros sur trois des quatre dernières années, sans toutefois atteindre les 252 milliards de dollars hongkongais (30,9 milliards d'euros) de l'exercice fiscal 2020-2021, en pleine pandémie de Covid-19.

La dernière série de déficits à Hong Kong remontait à la période post-crise financière asiatique de la fin des années 1990.

Avant de dévoiler son prochain budget mercredi, Paul Chan, le secrétaire aux Finances de la région administrative spéciale (RAS) de Chine, a déclaré être convaincu que Hong Kong renouera avec les excédents d'ici environ trois ans, à mesure que les dépenses publiques se stabiliseront.

Mais pour Anthony Cheung, ancien secrétaire aux Transports et au Logement, la situation n'est « pas seulement due aux cycles économiques » provoqués par la pandémie de Covid-19 : « Si l'on compare Hong Kong à d'autres économies de la région, comme Singapour, ces dernières s'en sortent beaucoup mieux. »

Singapour et Hong Kong ont toutes deux connu d'importants déficits en 2020. Mais contrairement au territoire chinois, la cité-État a depuis lors maîtrisé ses dépenses et dépassé ses objectifs budgétaires.

- Crise foncière -

Victime de la crise qui touche ses promoteurs immobiliers, Hong Kong se retrouve face à une équation délicate pour réduire ses dépenses, alors que la Chine, dont la croissance ralentit, est confrontée à des tensions commerciales croissantes avec les États-Unis de Donald Trump.

La Loi fondamentale de Hong Kong, qui fait office de Constitution, impose au gouvernement local de « s'efforcer d'atteindre l'équilibre budgétaire », vestige de la période coloniale britannique durant laquelle le marché a pu rester pratiquement à l'abri de l'intervention de l'État.

Après sa rétrocession à la Chine en 1997, Hong Kong a continué à maintenir les impôts à un faible niveau et a rempli ses caisses grâce aux recettes foncières.

Cependant, les promoteurs immobiliers rencontrent des difficultés depuis plusieurs années et Hong Kong n'a perçu que 2,4 milliards d'euros de recettes foncières en 2021, contre un pic de plus de 20 milliards en 2018.

Selon Yang Liu, professeur associé de finance à l'université de Hong Kong, ce déclin représente « la majorité de la baisse des revenus » de la ville. « Nous avons un marché foncier très inactif et des prix de l'immobilier en baisse », souligne-t-il auprès de l'AFP.

Hong Kong dispose encore d'une bonne quantité de réserves et sa dette publique reste faible par rapport à la plupart des économies du monde, ce qui lui permet d'emprunter facilement sur les marchés.

- Moins de fonctionnaires ? -

Mais les déficits accumulés ces dernières années ont alimenté le débat sur la manière de dépenser moins.

Le budget que doit dévoiler le secrétaire aux Finances devrait afficher un déficit inférieur à 100 milliards de dollars de Hong Kong (12,25 milliards d'euros).

Edmund Wong, membre du Conseil législatif de Hong Kong, a mis en garde contre une baisse des salaires des fonctionnaires, qui, selon lui, pourrait inciter les employeurs du secteur privé à faire de même.

Il a néanmoins exhorté le gouvernement à réduire ses dépenses, estimant auprès de l'AFP que des coupes « considérables » dans les effectifs de fonctionnaires sont possibles « à long terme ».

Les autorités ont indiqué qu'elles poursuivraient un plan massif d'infrastructures dans le nord de Hong Kong, mais ont renoncé à un autre projet de création d'îles artificielles.

Les déficits pourraient également amener Hong Kong à reconsidérer ses sources de revenus, bien que les discussions passées concernant l'élargissement de la taxation des biens et services n'aient pas abouti.

Pour dynamiser son économie, Hong Kong cherche des opportunités dans la région du Moyen-Orient et d'Asie du Sud-Est.

Mais selon l'ex-ministre Cheung, la richesse du territoire dépend du regard que les investisseurs portent sur son statut de plaque tournante de l'économie régionale et mondiale.

La réputation internationale de Hong Kong a souffert de la répression des manifestations pro-démocratie en 2019 par Pékin, qui a imposé une loi sur la sécurité nationale l'année suivante.

« Nous devons continuer à présenter Hong Kong comme une ville qui accueille toutes sortes de points de vue et de personnes, tant qu'elles restent dans les limites de la législation sur la sécurité nationale », plaide M. Cheung. 


Trump renforce les restrictions sur les investissements chinois dans des secteurs jugés stratégiques

L'administration américaine accuse Pékin d'« exploiter de plus en plus les ressources américaines pour développer et moderniser ses dispositifs militaires, de renseignement et autres appareils de sécurité ». (Photo AFP)
L'administration américaine accuse Pékin d'« exploiter de plus en plus les ressources américaines pour développer et moderniser ses dispositifs militaires, de renseignement et autres appareils de sécurité ». (Photo AFP)
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  • Ce mémo a pour objectif « de promouvoir les investissements étrangers tout en protégeant les intérêts de la sécurité nationale des États-Unis, en particulier contre les menaces posées par des adversaires étrangers tels que la Chine »
  • Le CFIUS est un panel chargé d'évaluer les conséquences pour la sécurité nationale des États-Unis des rachats d'entreprises américaines par des groupes étrangers.

WASHINGTON : Donald Trump a signé un mémo visant à freiner les investissements chinois dans des secteurs stratégiques américains, dont la technologie et les infrastructures critiques, une initiative fermement dénoncée samedi par Pékin qui la juge « discriminatoire ».

Ce mémo a pour objectif « de promouvoir les investissements étrangers tout en protégeant les intérêts de la sécurité nationale des États-Unis, en particulier contre les menaces posées par des adversaires étrangers tels que la Chine », a précisé vendredi soir la Maison-Blanche sur son site.

L'administration américaine accuse Pékin d'« exploiter de plus en plus les ressources américaines pour développer et moderniser ses dispositifs militaires, de renseignement et autres appareils de sécurité ».

La Maison-Blanche accuse également « certains adversaires étrangers », dont la Chine, d'investir dans des entreprises américaines afin « d'obtenir des technologies de pointe et de la propriété intellectuelle ».

Le nouvel exécutif américain compte solliciter la Commission aux investissements étrangers aux États-Unis (CFIUS) afin « de restreindre les investissements chinois dans les secteurs stratégiques américains tels que la technologie, les infrastructures critiques, la santé, l'agriculture, l'énergie, les matières premières et autres », ajoute la Maison-Blanche.

Le CFIUS est un panel chargé d'évaluer les conséquences pour la sécurité nationale des États-Unis des rachats d'entreprises américaines par des groupes étrangers.

« Cette façon de faire des États-Unis élargit abusivement le concept de sécurité nationale, est discriminatoire et portera gravement atteinte à la confiance des entreprises chinoises désirant investir aux États-Unis », a dénoncé samedi un porte-parole du ministère chinois du Commerce.

Dans un communiqué, il a exhorté Washington à « respecter les lois de l'économie de marché et à cesser de politiser et d'instrumentaliser les questions économiques et commerciales ».

« La Chine suivra de près l'évolution de la situation aux États-Unis et prendra les mesures nécessaires pour défendre ses droits et intérêts légitimes », a-t-il conclu.

Cette décision du président américain intervient alors que les deux plus grandes économies du monde sont déjà en proie à des tensions commerciales.

Début février, Donald Trump a imposé 10 % de droits de douane supplémentaires, en plus de ceux déjà existants, sur les produits en provenance de Chine. Toutefois, il a estimé mercredi qu'un accord commercial avec Pékin était « possible ».


Lucid dévoile le Lucid Air Sapphire unique en son genre lors de la réunion de la Saudi Cup

Lucid a dévoilé son Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, conçu et fabriqué exclusivement pour le vainqueur de la course la plus riche du monde, la Saudi Cup 2025. (AN Photo/Huda Bashatah)
Lucid a dévoilé son Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, conçu et fabriqué exclusivement pour le vainqueur de la course la plus riche du monde, la Saudi Cup 2025. (AN Photo/Huda Bashatah)
Lucid a dévoilé son Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, conçu et fabriqué exclusivement pour le vainqueur de la course la plus riche du monde, la Saudi Cup 2025. (AN Photo/Huda Bashatah)
Lucid a dévoilé son Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, conçu et fabriqué exclusivement pour le vainqueur de la course la plus riche du monde, la Saudi Cup 2025. (AN Photo/Huda Bashatah)
Lucid a dévoilé son Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, conçu et fabriqué exclusivement pour le vainqueur de la course la plus riche du monde, la Saudi Cup 2025. (AN Photo/Huda Bashatah)
Lucid a dévoilé son Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, conçu et fabriqué exclusivement pour le vainqueur de la course la plus riche du monde, la Saudi Cup 2025. (AN Photo/Huda Bashatah)
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  • ce véhicule exclusif est plus qu'un simple symbole de triomphe ; il représente une célébration du leadership du Royaume en matière de durabilité, d'innovation et d'excellence mondiale. » a déclaré Faisal Sultan, vice-président de Lucid Middle East.
  • Le véhicule sera offert au vainqueur de la Coupe d'Arabie saoudite.

RIYADH : Lucid a dévoilé sa Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, exclusivement conçue et construite pour le vainqueur de la course la plus lucrative du monde, la Saudi Cup 2025.

Faisal Sultan, vice-président de Lucid Middle East, a déclaré : « Présenté comme une récompense spéciale au vainqueur de la Saudi Cup, ce véhicule exclusif est plus qu'un simple symbole de triomphe ; il représente une célébration du leadership du Royaume en matière de durabilité, d'innovation et d'excellence mondiale. »

Lors de son discours, qui a eu lieu le premier jour de la Saudi Cup à l'hippodrome King Abdulaziz de Riyad, M. Sultan a ajouté : « J'ai également le privilège de présenter une création qui illustre l'apogée de ce que Lucid peut réaliser : Le premier Lucid Air Sapphire unique au monde ».

Le véhicule est doté d'une finition lavande, d'un système à trois moteurs et d'une dynamique de conduite offrant une puissance de 1 234 chevaux, ainsi que des freins en carbone-céramique.

M. Sultan a déclaré que le dévoilement de ce véhicule était le résultat du partenariat entre Lucid et la Saudi Cup.

Le vainqueur de la course de la Saudi Cup, qui aura lieu le 22 février, recevra 20 millions de dollars, ainsi que le véhicule.

M. Sultan a également dévoilé le dernier modèle de Lucid, le Lucid Gravity SUV, et a ajouté : « Les débuts du Lucid Gravity SUV à la Saudi Cup reflètent la vision commune de Lucid et son soutien à la vision audacieuse du Royaume pour l'avenir.

« Il est particulièrement approprié que ce véhicule révolutionnaire soit maintenant disponible dans ce pays, une nation qui se tient à la pointe de l'innovation et de la durabilité grâce à la Vision 2030. »

La Saudi Cup est un événement équestre de deux jours qui réunit certains des meilleurs jockeys du monde sur l'hippodrome King Abdulaziz, dont la cagnotte s'élève à plus de 38 millions de dollars.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com