Noor Riyadh collabore avec des artistes saoudiens afin de lever des fonds pour une vente aux enchères caritative

Moath Alofi. (Photo fournie)
Moath Alofi. (Photo fournie)
Moath Alofi. (Photo fournie)
Moath Alofi. (Photo fournie)
Ahmed Mater. (Photo fournie)
Ahmed Mater. (Photo fournie)
Rached al-Shashai. (Photo fournie)
Rached al-Shashai. (Photo fournie)
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Publié le Mercredi 09 novembre 2022

Noor Riyadh collabore avec des artistes saoudiens afin de lever des fonds pour une vente aux enchères caritative

  • Toutes les recettes de la vente aux enchères serviront à améliorer les programmes artistiques en cours de quatre organisations caritatives
  • Les œuvres seront exposées dans l’entrepôt H04 du quartier JAX jusqu’au 19 novembre

RIYAD: La deuxième édition du festival annuel d’art et de lumière, Noor Riyadh, qui a débuté le 3 novembre, réunit quatre grands artistes saoudiens et quatre organisations caritatives afin de lever des fonds pour une vente aux enchères caritative en ligne en novembre.

Noor Riyadh a sélectionné les artistes de renom: Ahmed Mater, Moath Alofi, Rached al-Shashai et Saad al-Howede, et leur a demandé de collaborer avec les organisations caritatives Aleradah Organization, Saudi Alzheimer's Disease Association, International Rehabilitation Team et Al-Nahda, pour créer des œuvres d’art qui seront ensuite vendues aux enchères.

Toutes les recettes de la vente aux enchères serviront à améliorer les programmes artistiques en cours des organisations, qui enrichiront la vie des bénéficiaires par l’expression créative. Au total, huit œuvres d’art, deux pour chaque artiste, ont été produites en octobre au cours d’ateliers spécifiques pour les artistes et les bénéficiaires des organisations caritatives. Les œuvres réalisées présentent une grande variété de matériaux et de formes, incorporant des éléments de peinture, de sculpture et d’art lumineux.

Les œuvres seront exposées dans l’entrepôt H04 du quartier JAX jusqu’au 19 novembre, de 18h jusqu’à 1h (sauf le 9 novembre, où l’exposition sera fermée pour un événement privé).

Les œuvres d’art seront ensuite mises en vente en ligne sur la plate-forme du marché artistique saoudien Atrum, du 14 au 15 novembre. Toute personne peut s’inscrire et placer une enchère sur l’œuvre de son choix. Après la fin de la vente, la plate-forme clôturera automatiquement les enchères et les œuvres d’art iront au plus offrant. Une enchère minimale de 50 000 riyals saoudiens (1 riyal = 0,26 euro) a été fixée pour chaque lot.

«Je suis ravi de participer à cette initiative spéciale de Noor Riyadh, qui accroît la sensibilisation à ces causes caritatives importantes et qui est aussi cruciale que les nombreuses activités culturelles que propose le festival. Grâce à la vente aux enchères caritative en ligne, Noor Riyadh fait en sorte que plus de gens restent entourés d’art et enrichissent leur vie grâce aux puissantes possibilités qu’offre l’art», a déclaré M. Al-Shashai. 

L’œuvre de M. Al-Shashai, intitulée «Amenin» (qui signifie «sécurité» en arabe) comporte une lumière LED montée sur une toile et reflète la vision personnelle de l’artiste sur l’avenir du pays, une vision qui englobe l’inclusion et la participation communautaire. Pour cette initiative, l’artiste a collaboré avec l’International Rehabilitation Team, qui fournit des services de garderie aux personnes gravement handicapées.

Layan’s Vehicle, sa deuxième œuvre, est une installation multimédia d’une auto tamponneuse fendue à laquelle est fixée une lumière rose vibrante. Elle a été inspirée par une rencontre avec une jeune fille nommée Layan pendant les ateliers. Frappé par l’esprit léger de l’enfant en dépit de ses limitations physiques, Rached al-Shashai a créé l’œuvre en hommage à elle et à d’autres personnes qui restent résilientes face à l’adversité.

«J’invite tout le monde à découvrir le travail exceptionnel des créateurs dans la vente aux enchères caritative organisée par Noor Riyadh. Je suis ravi de participer à une initiative aussi utile aux côtés d’autres artistes saoudiens distingués», a lancé Ahmed Mater.

Parmi les œuvres de M. Mater, on peut citer Hope, qui comprend des bouchons de pistolets en plastique transformés en une installation murale délivrant un message d’aspiration et d’unité. La série Guncaps de l’artiste, réalisée en 2012, utilisait les bouchons de pistolets en plastique pour redéfinir leur symbolisme, le faisant passer du négatif au positif.

Dans une autre œuvre, M. Mater se réapproprie des anneaux de munitions et élimine leurs associations avec la violence, les remplaçant par des expressions édifiantes de culture et d’artisanat apportées par les participants. Pour cette initiative, l’artiste a collaboré avec l’organisation Aleradah, qui soutient les personnes douées vivant avec un handicap.

«L’art a toujours été un cadre de discussion et un pont pour communiquer. Grâce à Noor Riyadh, le pont a été prolongé», a souligné Moath Alofi. L’ariste, qui a collaboré avec la Saudi Alzheimer’s Disease Association, s’est penché sur la façon dont cette maladie affecte à la fois les patients et leurs proches. Dans A Novel Light, Alofi rend hommage aux soignants en s’inspirant de leurs expériences et en transformant leurs histoires en symboles émouvants.

Sa deuxième œuvre, Hands on Memory, a été réalisée dans un esprit de partage et de coopération, les empreintes de mains des participants remplissant une toile sur laquelle a été superposée une lampe néon en forme de main. Pour l’artiste, la main représente un outil humain qui a favorisé notre développement mais qui nous permet aussi de manier la créativité et la connexion.

De son côté, Saad al-Howede explique: «En tant qu’artiste, je me base sur l’expérience humaine. J’essaye de donner tout ce que je peux pour aider les gens et les participants de cette initiative à obtenir le soutien dont ils ont besoin et à transmettre leurs leçons de vie.»

Dans son œuvre The High Sky, d’imposantes sculptures lumineuses représentant des fleurs évoquent des talents sous-estimés qui pourraient s’épanouir s’ils étaient reconnus dans une société ouverte et inclusive. L’esthétique de l’œuvre s’inspire d’un dessin de l’un des participants de l’organisation caritative Al-Nahda, qui vise à autonomiser les bénéficiaires.

Quant à Ascent, il s’agit d’une œuvre basée sur le dessin d’un autre participant, que l’artiste a utilisé comme fond pour de nombreux tubes lumineux qui illuminent divers symboles de diversité et d’harmonie dans la société.

Noor Riyadh et la vente aux enchères caritative en ligne font partie d’une initiative plus vaste, Riyadh Art, qui gère de nombreux programmes visant à améliorer le paysage artistique et culturel de la ville grâce à des projets artistiques publics, des événements, des expositions et des ateliers.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Anthony Hopkins enchante Riyad avec une symphonie onirique

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
Anthony a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad. (Photo Fournie)
Anthony a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad. (Photo Fournie)
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  • Présentée par Morgan Freeman, l'icône hollywoodienne se penche sur le langage universel de la musique
  • Un concert en Arabie Saoudite : un honneur inimaginable, dit Hopkins

RIYADH : Dans un mélange captivant d'art et d'humanité, l'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé "La vie est un rêve", dans le cadre des festivités de la Saison de Riyad.

Présenté par son collègue acteur Morgan Freeman, Hopkins a commencé son discours par la salutation arabe "As-salamu alaykum", donnant ainsi le ton du respect culturel et de l'unité.

Hopkins a partagé ses réflexions sur la vie et l'art, s'inspirant des mots d'Edgar Allan Poe : "J'ai toujours cru que tout ce que nous voyons ou semblons être n'est qu'un rêve à l'intérieur d'un rêve".

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)

Il a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad.

C'est avec une grande humilité et une immense gratitude que je présente ma pièce, "La vie est un rêve", dans le cadre de la Saison de Riyad", a-t-il déclaré.

Se remémorant sa vie, il a décrit le chemin parcouru depuis le "fils d'un simple boulanger" du sud du pays de Galles jusqu'à un compositeur et un acteur de renommée mondiale.

"Pour moi, ma vie est un profond mystère", a-t-il déclaré. "Il est impossible de comprendre ou de s'attribuer le mérite des bénédictions qui m'ont été accordées. C'est pourquoi je crois que la vie est un rêve, et cette pièce, "Life is a Dream", m'a été inspirée par mon enfance rêveuse dans le sud du pays de Galles, par ma mère qui m'a merveilleusement soutenu et par mon père, qui était plus grand que nature et qui a travaillé sans relâche tout au long de sa vie.

Hopkins a invoqué la philosophie de Ralph Waldo Emerson, soulignant que la musique et l'art sont des connecteurs spirituels.

"La musique et l'art sont des chemins vers Dieu, le principal moyen de relier toutes les âmes humaines. Emerson a compris que toucher une âme, c'est toucher toutes les âmes et je crois moi aussi que la musique a un pouvoir de transformation", a-t-il déclaré.

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)

"J'ai toujours rêvé d'être compositeur, mais je n'ai jamais su comment. Pourtant, donner ce concert en Arabie saoudite, berceau de l'islam, où le prophète Mahomet a reçu ses messages et où se trouvent les villes saintes de La Mecque et de Médine, est un honneur inimaginable".

Abordant les défis mondiaux, M. Hopkins a souligné l'importance de l'unité et de la paix.

"Je ne peux imaginer un meilleur endroit qu'ici pour nous rassembler, surmonter nos différences et envisager un monde de paix, d'équilibre et d'amour", a-t-il déclaré.

"À 87 ans, je comprends parfaitement que la mort est inévitable. Mais le thème de ce concert est que la vie est un long adieu à tout ce que nous aimons, un adieu prolongé, mais rempli de pardon et d'émerveillement".

M. Hopkins a conclu en remerciant l'équipe qui a rendu ce concert possible, en particulier Rakan Al-Harthi, directeur général de Sela, son producteur musical Stephen Barton, le chef d'orchestre Matthew Freeman et le Royal Philharmonic Orchestra. Il a terminé son discours par "Shukran".

Grâce à cet événement, Hopkins a non seulement mis en valeur ses talents musicaux, mais il a également laissé une impression durable sur la Saison de Riyad, en soulignant le pouvoir unificateur de l'art et de la musique dans la promotion de la tolérance, de l'amour et de la compréhension entre les cultures.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com

   

Le mouvement Slow Food s'implante à AlUla

AlUla dévoile le centre d'art culinaire de Dadan, qui célèbre le mouvement slow food, la durabilité et les traditions culinaires. (Photo Fournie)
AlUla dévoile le centre d'art culinaire de Dadan, qui célèbre le mouvement slow food, la durabilité et les traditions culinaires. (Photo Fournie)
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  • Le Centre d'art culinaire Dadan est un centre d'éco-gastronomie qui allie patrimoine et système alimentaire durable.
  • Le marché fermier de Dadan, qui met en valeur les richesses agricoles de la ville tous les week-ends avec un éventail de produits frais et saisonniers, est l'un des sites incontournables d'AlUla.

RIYADH : grâce à l'ouverture du Centre d'art culinaire Dadan, la ville d'AlUla accueille un nouveau foyer du mouvement slow food. Ce centre célèbre l'agriculture durable, les traditions alimentaires locales et les repas réfléchis.

Ce mouvement mondial vise à favoriser un lien plus profond entre les consommateurs et leurs sources de nourriture, en prônant l'utilisation d'ingrédients saisonniers et locaux, et en soutenant tous les membres de la communauté, des valeurs qui ont guidé le développement d'AlUla en tant que destination durable.

Le Centre des arts culinaires Dadan est un centre mondial d'éco-gastronomie qui allie l'héritage de l'oasis verdoyante d'AlUla aux valeurs contemporaines d'un système alimentaire équitable et durable.

Situé près du site historique de Dadan, le centre propose des repas, des ateliers interactifs et la possibilité de rencontrer les agriculteurs d'AlUla, le tout dans un cadre naturel d'exception.

Le marché fermier de Dadan, qui met en valeur les richesses agricoles de la ville tous les week-ends avec un éventail de produits frais et saisonniers, est l'un des sites incontournables d'AlUla.

Les familles locales, dont les moyens de subsistance sont étroitement liés à l'agriculture de l'oasis, présentent leurs produits et invitent les visiteurs à découvrir les saveurs authentiques d'AlUla. Les visiteurs peuvent savourer des plats préparés selon des méthodes traditionnelles ou choisir des produits frais à déguster sur l'aire de pique-nique, adoptant ainsi la philosophie « de l'oasis à la table » qui est au cœur de la mission du centre. Chaque achat soutient directement les agriculteurs locaux.

Le restaurant Diyar du centre, nommé d'après le mot arabe signifiant « maison », offre une expérience gastronomique inoubliable. Chaleureux et accueillant, il surplombe les montagnes majestueuses et sert des plats préparés à partir d'ingrédients provenant de sources durables et cultivés localement. Sous la direction du chef primé Sergio Rama, il redéfinit l'hospitalité en transformant des repas simples en une célébration de la communauté et du patrimoine.

Une autre façon d'en savoir plus sur AlUla et ses habitants est de participer aux ateliers du centre, qui enseignent les pratiques durables et les traditions locales. 

Qu'il s'agisse d'apprendre les principes fondamentaux de la cuisine de la ferme à la table, de maîtriser les arts de la saumure et de la fermentation ou d'explorer les multiples utilisations du moringa dans les huiles et les savons, les participants acquièrent des connaissances pratiques sur de multiples pratiques artisanales et alimentaires.

Grâce au centre d'art culinaire Dadan, AlUla invite le monde à redécouvrir le plaisir d'une cuisine saine et traditionnelle dans son oasis intemporelle.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


« Unstoppable » : Une sortie attendue mais réjouissante

"Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome dans le rôle de Robles, Jennifer Lopez dans celui de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans celui de son beau-père Rick. (Fourni)
"Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome dans le rôle de Robles, Jennifer Lopez dans celui de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans celui de son beau-père Rick. (Fourni)
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  • Le film "Unstoppable" raconte l'histoire réelle d'Anthony Robles, un lutteur américain qui a remporté le championnat national de lutte universitaire de 125 livres (57 kg) en 2011 bien qu'il soit né avec une seule jambe
  • Le problème avec les films de sport (ou du moins les bons), c'est qu'il faut vraiment s'appuyer sur tous les clichés et embrasser toutes les expressions qui font chavirer le cœur

LONDRES : Il est facile d'oublier qu'il arrive parfois que l'on attende simplement une dose de bonnes vibrations d'un film — et peu de genres s'y prêtent mieux que le biopic sportif.

Le film "Unstoppable" raconte l'histoire réelle d'Anthony Robles, un lutteur américain qui a remporté le championnat national de lutte universitaire de 125 livres (57 kg) en 2011 bien qu'il soit né avec une seule jambe.

Réalisé par William Goldenberg (scénariste et monteur de renom, qui fait ici ses débuts en tant que réalisateur), "Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome ("Moonlight", "When They See Us") dans le rôle de Robles, avec Jennifer Lopez dans le rôle de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans le rôle de son beau-père Rick.

Déjà talentueux lutteur au lycée, Robles rate la bourse d'études dont il rêvait, mais choisit de payer pour aller à l'université d'État de l'Arizona et gagner une place dans l'équipe de lutte de l'établissement.

Malgré le comportement abusif de Rick à la maison, Robles continue de gagner la confiance de ses coéquipiers. Soutenu par la foi inébranlable de sa mère et de son entraîneur au lycée (joué par Michael Pena), il se montre non seulement digne de sa place, mais aussi un athlète capable de performer sur la scène nationale.

Le problème avec les films de sport (ou du moins les bons), c'est qu'il faut vraiment s'appuyer sur tous les clichés et embrasser toutes les expressions qui font chavirer le cœur. Parce que, si vous le faites - et si le film a un casting décent qui fait un travail sérieux - le résultat en vaut la peine.

C'est le cas de "Unstoppable", un film aussi déterminé que son protagoniste du monde réel. Bien sûr, il y a quelques éléments de l'histoire qui sont évoqués puis abandonnés. Bien sûr, la montée en puissance de l'épreuve de force est plus que prévisible.

Mais ce film bénéficie de l'excellente performance de Jerome (aidé par des effets et des cascades absolument parfaits, qui voient Robles lui-même exécuter certaines séquences de lutte), et d'une distribution secondaire immensément talentueuse.

Lopez, Cannavale et Peña jouent tous très bien leur rôle, mais Don Cheadle mérite également des éloges pour son interprétation en tant qu'entraîneur et mentor de Robles à l'université.

S'agit-il de l'exploration la plus sophistiquée du monde de la lutte universitaire ? Non. Mais s'agit-il d'un film chaleureux et décent qui vous fera du bien ? Absolument.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com