Dix personnes, endroits et choses qui tiennent leur nom du roi Charles

Découverte en 2008 parmi des spécimens recueillis pour un musée, hyloscirtus princecharlesi, la grenouille Prince Charles découverte en Equateur, a été ainsi nommée pour reconnaître le travail du prince pour défendre la protection de la forêt vierge et lutter contre la déforestation. (Photo, AFP)
Découverte en 2008 parmi des spécimens recueillis pour un musée, hyloscirtus princecharlesi, la grenouille Prince Charles découverte en Equateur, a été ainsi nommée pour reconnaître le travail du prince pour défendre la protection de la forêt vierge et lutter contre la déforestation. (Photo, AFP)
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Publié le Samedi 17 septembre 2022

Dix personnes, endroits et choses qui tiennent leur nom du roi Charles

Découverte en 2008 parmi des spécimens recueillis pour un musée, hyloscirtus princecharlesi, la grenouille Prince Charles découverte en Equateur, a été ainsi nommée pour reconnaître le travail du prince pour défendre la protection de la forêt vierge et lutter contre la déforestation. (Photo, AFP)
  • Née le 2 mai 2015, la fille de William, fils aîné de Charles, s'appelle Charlotte Elizabeth Diana, en hommage aux parents de celui qui est désormais héritier de la couronne et à la reine Elizabeth II
  • Le HMS Prince of Wales, lancé en 2017, est identique au HMS Queen Elizabeth. Les deux bâtiments sont les plus gros navires de guerre de l'Histoire britannique

LONDRES: Voici dix personnes, endroits et choses qui doivent leur nom au nouveau roi Charles III. 

L'île Prince Charles 

Inhabitée et au climat extrêmement froid, la 78e plus grande île du monde se trouve sur le territoire de Nunavut, dans le nord du Canada. Cette île d'une surface de 9 521 km2 a d'abord été découverte par un bateau remorqueur en 1932 puis redécouverte en 1948 par un escadron photo de l'armée de l'air et baptisé du nom de prince, alors nouveau né. 

La princesse Charlotte 

Née le 2 mai 2015, la fille de William, fils aîné de Charles, s'appelle Charlotte Elizabeth Diana, en hommage aux parents de celui qui est désormais héritier de la couronne et à la reine Elizabeth II. 

En vertu d'une modification de la loi sur l'ordre de succession intervenue en 2011, elle ne peut pas être dépassée par son jeune frère le prince Louis, né en 2018. 

Le glacier Prince de Galles 

Le glacier de l'Antarctique, situé dans la chaîne Reine Elizabeth, s'étend sur environ 18 kilomètres vers le nord. Il a été baptisé par une expédition néozélandaise menée en 1961-1962. 

La grenouille Prince Charles 

Découverte en 2008 parmi des spécimens recueillis pour un musée, hyloscirtus princecharlesi, une espèce de grenouille découverte en Equateur, a été ainsi nommée pour reconnaître le travail du prince pour défendre la protection de la forêt vierge et lutter contre la déforestation. 

La « Carbuncle Cup » 

La franchise du nouveau roi est resté dans les annales pour sa description en 1984 d'une proposition d'extension de la National Gallery de Londres comme un "furoncle monstrueux" ("monstruous carbuncle"), qui a conduit le musée à revoir son projet. 

La "Carbuncle Cup", ("Coupe Furoncle") est un prix d'architecture par le magazine Building Design au bâtiment le plus laid érigé au Royaume-Uni dans les 12 derniers mois. 

The Prince's Trust 

Charles a fondé l'association en 1976 avec ses 7 500 livres sterling d’indemnités de départ de la marine. Elle vise à redonner confiance et motivation à des jeunes défavorisés en leur offrant formation, parrainages et bourses. La fondation a aidé plus d'un million de jeunes à trouver leur vocation. 

Le cinéma Prince Charles 

Seule salle indépendante du Leicester Square de Londres, haut lieu des sorties du cinéma britannique, le Prince Charles Cinema accueille régulièrement des projections version karaoké de films tels que "The Sound of Music", "Grease" et "The Rocky Horror Picture Show", où les spectateurs viennent déguisés. 

L'établissement a d'abord été un théâtre, avant de se muer en cinéma porno, détenant le record de longévité à l'affiche pour "Emmanuelle". 

Le HMS Prince of Wales 

Le porte-avions, lancé en 2017, est identique au HMS Queen Elizabeth. Les deux bâtiments sont les plus gros navires de guerre de l'Histoire britannique. 

Le navire de 65 000 tonnes peut transporter 36 avions de chasse F-35B et quatre hélicoptères Merlin. Il a dû être immobilisé fin août en raison de problèmes techniques, notamment "des dégâts importants" à l'hélice de propulsion, et renvoyé à Portsmouth. 

Locomotive N° 2007 Prince of Wales 

La locomotive à vapeur la plus puissante de Grande-Bretagne doit entrer en service en 2025. 

Ce projet de 6 millions de livres sterling, financé par des fonds publics, recrée une locomotive des années 1930. 

Charles a été un fervent défenseur du projet et la locomotive a été baptisée pour marquer son 65e anniversaire. 

Le Trek royal, au Népal 

Le Trek royal a été nommé ainsi après que Charles et son entourage ont exploré cet itinéraire en 1980. 

Ce parcours qui relie Pokhara à la région de l'Annapurna peut prendre de quatre à neuf jours et monte jusqu'à 2 200 mètres. 

Il existe aussi un belvédère nommé "Charles Point" dans le sud-est du Népal, d'où l'on bénéficie d'un panorama impressionnant sur l'Everest. 


Anthony Hopkins enchante Riyad avec une symphonie onirique

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
Anthony a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad. (Photo Fournie)
Anthony a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad. (Photo Fournie)
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  • Présentée par Morgan Freeman, l'icône hollywoodienne se penche sur le langage universel de la musique
  • Un concert en Arabie Saoudite : un honneur inimaginable, dit Hopkins

RIYADH : Dans un mélange captivant d'art et d'humanité, l'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé "La vie est un rêve", dans le cadre des festivités de la Saison de Riyad.

Présenté par son collègue acteur Morgan Freeman, Hopkins a commencé son discours par la salutation arabe "As-salamu alaykum", donnant ainsi le ton du respect culturel et de l'unité.

Hopkins a partagé ses réflexions sur la vie et l'art, s'inspirant des mots d'Edgar Allan Poe : "J'ai toujours cru que tout ce que nous voyons ou semblons être n'est qu'un rêve à l'intérieur d'un rêve".

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)

Il a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad.

C'est avec une grande humilité et une immense gratitude que je présente ma pièce, "La vie est un rêve", dans le cadre de la Saison de Riyad", a-t-il déclaré.

Se remémorant sa vie, il a décrit le chemin parcouru depuis le "fils d'un simple boulanger" du sud du pays de Galles jusqu'à un compositeur et un acteur de renommée mondiale.

"Pour moi, ma vie est un profond mystère", a-t-il déclaré. "Il est impossible de comprendre ou de s'attribuer le mérite des bénédictions qui m'ont été accordées. C'est pourquoi je crois que la vie est un rêve, et cette pièce, "Life is a Dream", m'a été inspirée par mon enfance rêveuse dans le sud du pays de Galles, par ma mère qui m'a merveilleusement soutenu et par mon père, qui était plus grand que nature et qui a travaillé sans relâche tout au long de sa vie.

Hopkins a invoqué la philosophie de Ralph Waldo Emerson, soulignant que la musique et l'art sont des connecteurs spirituels.

"La musique et l'art sont des chemins vers Dieu, le principal moyen de relier toutes les âmes humaines. Emerson a compris que toucher une âme, c'est toucher toutes les âmes et je crois moi aussi que la musique a un pouvoir de transformation", a-t-il déclaré.

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)

"J'ai toujours rêvé d'être compositeur, mais je n'ai jamais su comment. Pourtant, donner ce concert en Arabie saoudite, berceau de l'islam, où le prophète Mahomet a reçu ses messages et où se trouvent les villes saintes de La Mecque et de Médine, est un honneur inimaginable".

Abordant les défis mondiaux, M. Hopkins a souligné l'importance de l'unité et de la paix.

"Je ne peux imaginer un meilleur endroit qu'ici pour nous rassembler, surmonter nos différences et envisager un monde de paix, d'équilibre et d'amour", a-t-il déclaré.

"À 87 ans, je comprends parfaitement que la mort est inévitable. Mais le thème de ce concert est que la vie est un long adieu à tout ce que nous aimons, un adieu prolongé, mais rempli de pardon et d'émerveillement".

M. Hopkins a conclu en remerciant l'équipe qui a rendu ce concert possible, en particulier Rakan Al-Harthi, directeur général de Sela, son producteur musical Stephen Barton, le chef d'orchestre Matthew Freeman et le Royal Philharmonic Orchestra. Il a terminé son discours par "Shukran".

Grâce à cet événement, Hopkins a non seulement mis en valeur ses talents musicaux, mais il a également laissé une impression durable sur la Saison de Riyad, en soulignant le pouvoir unificateur de l'art et de la musique dans la promotion de la tolérance, de l'amour et de la compréhension entre les cultures.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com

   

Le mouvement Slow Food s'implante à AlUla

AlUla dévoile le centre d'art culinaire de Dadan, qui célèbre le mouvement slow food, la durabilité et les traditions culinaires. (Photo Fournie)
AlUla dévoile le centre d'art culinaire de Dadan, qui célèbre le mouvement slow food, la durabilité et les traditions culinaires. (Photo Fournie)
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  • Le Centre d'art culinaire Dadan est un centre d'éco-gastronomie qui allie patrimoine et système alimentaire durable.
  • Le marché fermier de Dadan, qui met en valeur les richesses agricoles de la ville tous les week-ends avec un éventail de produits frais et saisonniers, est l'un des sites incontournables d'AlUla.

RIYADH : grâce à l'ouverture du Centre d'art culinaire Dadan, la ville d'AlUla accueille un nouveau foyer du mouvement slow food. Ce centre célèbre l'agriculture durable, les traditions alimentaires locales et les repas réfléchis.

Ce mouvement mondial vise à favoriser un lien plus profond entre les consommateurs et leurs sources de nourriture, en prônant l'utilisation d'ingrédients saisonniers et locaux, et en soutenant tous les membres de la communauté, des valeurs qui ont guidé le développement d'AlUla en tant que destination durable.

Le Centre des arts culinaires Dadan est un centre mondial d'éco-gastronomie qui allie l'héritage de l'oasis verdoyante d'AlUla aux valeurs contemporaines d'un système alimentaire équitable et durable.

Situé près du site historique de Dadan, le centre propose des repas, des ateliers interactifs et la possibilité de rencontrer les agriculteurs d'AlUla, le tout dans un cadre naturel d'exception.

Le marché fermier de Dadan, qui met en valeur les richesses agricoles de la ville tous les week-ends avec un éventail de produits frais et saisonniers, est l'un des sites incontournables d'AlUla.

Les familles locales, dont les moyens de subsistance sont étroitement liés à l'agriculture de l'oasis, présentent leurs produits et invitent les visiteurs à découvrir les saveurs authentiques d'AlUla. Les visiteurs peuvent savourer des plats préparés selon des méthodes traditionnelles ou choisir des produits frais à déguster sur l'aire de pique-nique, adoptant ainsi la philosophie « de l'oasis à la table » qui est au cœur de la mission du centre. Chaque achat soutient directement les agriculteurs locaux.

Le restaurant Diyar du centre, nommé d'après le mot arabe signifiant « maison », offre une expérience gastronomique inoubliable. Chaleureux et accueillant, il surplombe les montagnes majestueuses et sert des plats préparés à partir d'ingrédients provenant de sources durables et cultivés localement. Sous la direction du chef primé Sergio Rama, il redéfinit l'hospitalité en transformant des repas simples en une célébration de la communauté et du patrimoine.

Une autre façon d'en savoir plus sur AlUla et ses habitants est de participer aux ateliers du centre, qui enseignent les pratiques durables et les traditions locales. 

Qu'il s'agisse d'apprendre les principes fondamentaux de la cuisine de la ferme à la table, de maîtriser les arts de la saumure et de la fermentation ou d'explorer les multiples utilisations du moringa dans les huiles et les savons, les participants acquièrent des connaissances pratiques sur de multiples pratiques artisanales et alimentaires.

Grâce au centre d'art culinaire Dadan, AlUla invite le monde à redécouvrir le plaisir d'une cuisine saine et traditionnelle dans son oasis intemporelle.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


« Unstoppable » : Une sortie attendue mais réjouissante

"Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome dans le rôle de Robles, Jennifer Lopez dans celui de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans celui de son beau-père Rick. (Fourni)
"Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome dans le rôle de Robles, Jennifer Lopez dans celui de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans celui de son beau-père Rick. (Fourni)
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  • Le film "Unstoppable" raconte l'histoire réelle d'Anthony Robles, un lutteur américain qui a remporté le championnat national de lutte universitaire de 125 livres (57 kg) en 2011 bien qu'il soit né avec une seule jambe
  • Le problème avec les films de sport (ou du moins les bons), c'est qu'il faut vraiment s'appuyer sur tous les clichés et embrasser toutes les expressions qui font chavirer le cœur

LONDRES : Il est facile d'oublier qu'il arrive parfois que l'on attende simplement une dose de bonnes vibrations d'un film — et peu de genres s'y prêtent mieux que le biopic sportif.

Le film "Unstoppable" raconte l'histoire réelle d'Anthony Robles, un lutteur américain qui a remporté le championnat national de lutte universitaire de 125 livres (57 kg) en 2011 bien qu'il soit né avec une seule jambe.

Réalisé par William Goldenberg (scénariste et monteur de renom, qui fait ici ses débuts en tant que réalisateur), "Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome ("Moonlight", "When They See Us") dans le rôle de Robles, avec Jennifer Lopez dans le rôle de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans le rôle de son beau-père Rick.

Déjà talentueux lutteur au lycée, Robles rate la bourse d'études dont il rêvait, mais choisit de payer pour aller à l'université d'État de l'Arizona et gagner une place dans l'équipe de lutte de l'établissement.

Malgré le comportement abusif de Rick à la maison, Robles continue de gagner la confiance de ses coéquipiers. Soutenu par la foi inébranlable de sa mère et de son entraîneur au lycée (joué par Michael Pena), il se montre non seulement digne de sa place, mais aussi un athlète capable de performer sur la scène nationale.

Le problème avec les films de sport (ou du moins les bons), c'est qu'il faut vraiment s'appuyer sur tous les clichés et embrasser toutes les expressions qui font chavirer le cœur. Parce que, si vous le faites - et si le film a un casting décent qui fait un travail sérieux - le résultat en vaut la peine.

C'est le cas de "Unstoppable", un film aussi déterminé que son protagoniste du monde réel. Bien sûr, il y a quelques éléments de l'histoire qui sont évoqués puis abandonnés. Bien sûr, la montée en puissance de l'épreuve de force est plus que prévisible.

Mais ce film bénéficie de l'excellente performance de Jerome (aidé par des effets et des cascades absolument parfaits, qui voient Robles lui-même exécuter certaines séquences de lutte), et d'une distribution secondaire immensément talentueuse.

Lopez, Cannavale et Peña jouent tous très bien leur rôle, mais Don Cheadle mérite également des éloges pour son interprétation en tant qu'entraîneur et mentor de Robles à l'université.

S'agit-il de l'exploration la plus sophistiquée du monde de la lutte universitaire ? Non. Mais s'agit-il d'un film chaleureux et décent qui vous fera du bien ? Absolument.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com