Aujourd'hui, 1er septembre, le Liban voit s'achever le mandat de son président. Il est vrai que l'article 73 de la Constitution libanaise laisse au président du Parlement le soin de choisir un jour ce mois-ci pour tenir une session parlementaire pour élire un nouveau président, et il attendra probablement son heure dans l'espoir d'une décision du Conseil constitutionnel qui pourrait modifier la composition du Parlement.
Ce n'est un secret pour personne, car les détails de conversations confidentielles continuent de fuiter et la propagande promouvant la fraude électorale bat son plein ! De la même manière concernant le déroulement de l'enquête sur l'explosion du port, Hassan Nasrallah a prédict que deux ou trois députés allaient changer cette fois-ci !
Jusque-là, l'article 75 de la constitution stipule que « la Chambre réunie pour élire le président de la république est considérée comme un corps électoral et non comme une assemblée législative. Elle doit procéder, sans mise discussion sur tout autre sujet, à l'élection du chef de l'Etat.
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