Sécurité alimentaire, abris et soins de santé sont assurés par le KSRelief à travers le monde

À Mogadiscio, en Somalie, le KSRelief a distribué plus de trente tonnes de paniers alimentaires aux populations déplacées, au profit de 2 550 personnes. (SPA)
À Mogadiscio, en Somalie, le KSRelief a distribué plus de trente tonnes de paniers alimentaires aux populations déplacées, au profit de 2 550 personnes. (SPA)
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Publié le Jeudi 01 septembre 2022

Sécurité alimentaire, abris et soins de santé sont assurés par le KSRelief à travers le monde

  • Le centre a mis en œuvre 2 069 projets d’un coût de près de six milliards de dollars dans quatre-vingt-six pays à travers le monde
  • Selon un récent rapport publié par le centre, les pays et territoires qui ont le plus bénéficié des différents projets du centre sont le Yémen, la Palestine, la Syrie et la Somalie

DJEDDAH: Le Centre d’aide humanitaire et de secours du roi Salmane (KSRelief) continue de fournir de la nourriture, des abris et des soins de santé aux personnes dans le besoin à travers le monde.
Il a ainsi distribué 140 tonnes de paniers alimentaires dans le gouvernorat d’Al-Jouf, au Yémen, au profit de 7 830 personnes.
L’aide s’inscrit dans le cadre des efforts déployés par le centre pour soulager les souffrances du peuple yéménite dans le contexte de la crise humanitaire que traverse actuellement le pays.
À Mogadiscio, en Somalie, le KSRelief a également distribué plus de trente tonnes de paniers alimentaires aux populations déplacées, au profit de 2 550 personnes.
La deuxième phase de l’intervention de l’Arabie saoudite en Somalie a pour objectif de couvrir les besoins humanitaires des personnes touchées par la sécheresse, de soutenir les programmes de nutrition destinés aux enfants, de fournir de l’eau et des abris aux personnes déplacées et de mettre en œuvre des programmes d’urgence vitaux.
Au Soudan, le centre a distribué de la nourriture et fourni des abris aux familles touchées par les inondations.
L’équipe technique spécialisée du KSRelief a pu atteindre les zones isolées touchées par les inondations et livrer plus de 112 tonnes de paniers alimentaires, 120 tentes, 1 494 couvertures et 476 trousses d’abris, au profit de 5 538 personnes.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre du transport aérien de l’aide saoudienne que le centre a récemment envoyée sous les directives du roi Salmane pour soutenir le peuple soudanais, victime de pluies torrentielles qui ont affecté des villes, mais aussi des États, et qui ont entraîné de lourdes pertes humaines et matérielles.
Par ailleurs, le centre a récemment mis en place un programme médical de lutte contre la cécité et d’autres maladies oculaires au Bangladesh. Ses équipes médicales ont examiné 5 155 cas, distribué 1 513 paires de lunettes et effectué 544 interventions chirurgicales.
Le programme, qui s’inscrit dans le cadre de l'initiative Noor Saudi Arabia, a également été déployé en Érythrée du 19 au 26 août. Selon l’agence de presse saoudienne, 4 800 patients ont été examinés et 181 opérations chirurgicales se sont déroulées avec succès.
Ces initiatives font partie des efforts du centre pour aider les familles à faible revenu dans les pays en développement.
Le centre a mis en œuvre 2 069 projets d’un coût de près de 6 milliards de dollars (1 dollar = 1 euro) dans quatre-vingt-six pays à travers le monde. Depuis la création du centre, en mai 2015, ces initiatives ont été menées en coopération avec 175 partenaires locaux, régionaux et internationaux.
Ses programmes concernent la sécurité alimentaire, l’assainissement, l’hygiène, la santé, l’éducation, l’aide d’urgence, la nutrition, la protection, le redressement rapide, la logistique et les télécommunications.
Selon un récent rapport publié par le centre, les pays qui ont le plus bénéficié des différents projets du centre sont le Yémen (4,1 milliards de dollars), la Palestine (369 millions de dollars), la Syrie (334 millions de dollars) et la Somalie (216 millions de dollars).

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Le chef de la lutte antiterroriste irakienne s'entretient avec les émissaires égyptien et jordanien

M. Al-Tamimi a rencontré l'attaché militaire égyptien, le colonel Akram Sharif, et l'attaché militaire jordanien, le général de brigade Anwar Al-Bashbasha. (INA)
M. Al-Tamimi a rencontré l'attaché militaire égyptien, le colonel Akram Sharif, et l'attaché militaire jordanien, le général de brigade Anwar Al-Bashbasha. (INA)
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  • Les réunions ont porté sur le renforcement de la coopération, l'échange d'expertise et le partage des perspectives sur les questions de sécurité
  • Al-Tamimi a rencontré l'attaché militaire égyptien, le colonel Akram Sharif, et l'attaché militaire jordanien, le général de brigade Anwar Al-Bashbasha, selon un communiqué du service de lutte contre le terrorisme

DUBAI : Le chef du service irakien de lutte contre le terrorisme, le général de corps d'armée Karim Al-Tamimi, a tenu lundi des réunions séparées avec les envoyés militaires égyptien et jordanien afin de discuter des moyens de renforcer la coopération en matière de sécurité.

Al-Tamimi a rencontré l'attaché militaire égyptien, le colonel Akram Sharif, et l'attaché militaire jordanien, le général de brigade Anwar Al-Bashbasha, selon un communiqué du service de lutte contre le terrorisme.

Les réunions ont porté sur le renforcement de la coopération, l'échange d'expertise et le partage de perspectives sur les questions de sécurité entre les trois pays.


Le ministre saoudien des Affaires étrangères discute des négociations entre les États-Unis et l'Iran avec son homologue iranien

 Une photo fournie par le ministère saoudien des Affaires étrangères montre le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faisal bin Farhan (R), rencontrant le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, à Riyad, le 9 octobre 2024. (AFP)
Une photo fournie par le ministère saoudien des Affaires étrangères montre le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faisal bin Farhan (R), rencontrant le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, à Riyad, le 9 octobre 2024. (AFP)
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  • Le ministre saoudien des Affaires étrangères Faisal ben Farhane a discuté avec son homologue iranien Abbas Araghchi des derniers développements dans les pourparlers entre les Etats-Unis et l'Iran lors d'un appel téléphonique
  • Le prince Faisal a reçu lundi un appel téléphonique de M. Araghchi au cours duquel ils ont discuté du troisième cycle de négociations entre les Etats-Unis et l'Iran, qui s'est tenu samedi à Mascate, la capitale d'Oman

RIYADH : Le ministre saoudien des Affaires étrangères Faisal ben Farhane a discuté avec son homologue iranien Abbas Araghchi des derniers développements dans les pourparlers entre les Etats-Unis et l'Iran lors d'un appel téléphonique, a déclaré le ministère saoudien des Affaires étrangères le 28 avril.

Le prince Faisal a reçu lundi un appel téléphonique de M. Araghchi au cours duquel ils ont discuté du troisième cycle de négociations entre les Etats-Unis et l'Iran, qui s'est tenu samedi à Mascate, la capitale d'Oman.

Les ministres ont également discuté des liens bilatéraux et des questions d'intérêt commun, a ajouté le communiqué du ministère.


CIJ: le représentant palestinien affirme qu'Israël utilise le blocage de l'aide comme «arme de guerre»

Selon les Nations unies, environ 500.000 Palestiniens ont été déplacés depuis la fin du cessez-le-feu de deux mois. (AFP)
Selon les Nations unies, environ 500.000 Palestiniens ont été déplacés depuis la fin du cessez-le-feu de deux mois. (AFP)
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  • "Toutes les boulangeries de Gaza soutenues par les Nations unies ont été contraintes de fermer leurs portes. Neuf Palestiniens sur 10 n'ont pas accès à l'eau potable"
  • "Les locaux des Nations unies et d'autres agences internationales sont vides"

LA HAYE: Le représentant de l'Etat de Palestine a affirmé lundi à la Cour internationale de justice (CIJ) qu'Israël utilisait le blocage de l'aide humanitaire comme "arme de guerre" à Gaza.

"La faim est ici. L'aide humanitaire est en train d'être utilisée comme une arme de guerre", a déclaré devant les juges de la CIJ Ammar Hijazi, représentant de l'État de Palestine auprès des organisations internationales.

La Cour internationale de justice, située à La Haye (Pays-Bas), a ouvert une semaine d'audiences consacrées aux obligations humanitaires d'Israël envers les Palestiniens, plus de 50 jours après l'instauration d'un blocus total sur l'aide entrant dans la bande de Gaza ravagée par la guerre.

38 autres pays présenteront leurs dépositions devant un pannel de 15 juges.

Israël ne participe pas aux audiences mais son allié américain fera une déposition mercredi.

"Toutes les boulangeries de Gaza soutenues par les Nations unies ont été contraintes de fermer leurs portes. Neuf Palestiniens sur 10 n'ont pas accès à l'eau potable", a déclaré M. Hijazi.

"Les locaux des Nations unies et d'autres agences internationales sont vides", a-t-il ajouté.

Israël contrôle tous les flux d'aide internationale, vitale pour les 2,4 millions de Palestiniens de la bande de Gaza frappés par une crise humanitaire sans précédent, et les a interrompus le 2 mars dernier, quelques jours avant l'effondrement d'un fragile cessez-le-feu après 15 mois de combats incessants.

Selon les Nations unies, environ 500.000 Palestiniens ont été déplacés depuis la fin du cessez-le-feu de deux mois.

En décembre, l'Assemblée générale des Nations unies avait adopté à une large majorité une résolution, présentée par la Norvège, demandant à la CIJ de rendre un avis consultatif "à titre prioritaire et de toute urgence".

La résolution demande à la CIJ de clarifier ce qu'Israël est tenu de faire concernant la présence de l'ONU, de ses agences, d'organisations internationales ou d'Etats tiers pour "assurer et faciliter l'acheminement sans entrave des fournitures urgentes essentielles à la survie de la population civile palestinienne".

Les avis consultatifs de la CIJ ne sont pas juridiquement contraignants, mais celui-ci devrait accroître la pression diplomatique sur Israël.

Le chef de l'Agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), Philippe Lazzarini, avait dénoncé vendredi "une famine provoquée par l'homme et motivée par des raisons politiques".