Depuis l’explosion du 4 août 2020 dans le port de Beyrouth, l’Agence française de développement (AFD) participe activement au soutien des populations les plus vulnérables. « Pour faire davantage, les autorités libanaises doivent engager les réformes nécessaires », explique Anne Isambert, directrice adjointe de l’AFD au Liban.
La Croix : Juste après l’explosion dans le port de Beyrouth, le 4 août 2020, la France s’est engagée à soutenir activement le Liban. Qu’a fait l’AFD durant ces deux ans ?
Anne Isambert : La mission première de l’AFD est de financer des projets de développement. Nous n’avons pas de mandat sur le volet humanitaire.
"Depuis l’explosion du 4 août 2020 dans le port de #Beyrouth, l’AFD participe activement au soutien des populations les + vulnérables"
— Agence Française de #Développement (AFD) ?? ?? (@AFD_France) August 26, 2022
A lire dans @LaCroix: l'itw de notre Dir Adjointe au #Liban, Anne Isambert https://t.co/D85rAl1SCU @antoinedabbundo @AFD_MidEast @AmbaFranceLiban