Cette fois, l'accusation ne peut pas être lancée contre « les restes de Saddam Hussein » et ne peut pas non plus être associée à ISIS ou au « Grand Satan ». L'histoire est une fabrication de ce que Muqtada al-Sadr appelle « les forces d'aucun État ». Les empreintes digitales sont claires.
La tentative d'assassinat contre Mustafa Al-Kadhimi n'était pas surprenante. L'homme se tenait dans l'œil du cyclone. Il ne peut pas être considéré comme innocent. Il a fait quelque chose qui mérite sévère punition. Il est le leader du coup d'État, qui vise à restaurer les capacités de l'État irakien.
La mission n'est ni facile ni simple. Personne ne s'attendait à ce que les forces hostiles baissent leurs armes et qu’elles abandonnent leurs privilèges et leur cupidité.
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