Visiblement, les choses changent et l’espoir fait vivre : « La formation d’un nouveau gouvernement pourrait entraîner une baisse de 400 points du coût de couverture du risque de défaut des obligations souveraines, après avoir franchi la barre des 840 points », estime l’expert en économie et en marché financier Moez Hadidane. Le doute fait ainsi place à l’espoir. Il est vrai que les grandes idées amènent les grands changements et les grandes évolutions.
Il n’en demeure pas moins que l’impératif d’un possible redressement, après la nomination de Najla Bouden à La Kasbah, impose de nouvelles obligations. Mais aussi et surtout une véritable prise de conscience de la part de ceux qui sont concernés de près ou de loin par les affaires du pays. Une manière de se réhabiliter, de se racheter ?
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