Les gagnants du concours de décoration intérieure pour la fête nationale illuminent la région de Dhahran

Le complexe de Saudi Aramco à Dhahran a organisé un concours de décoration pour la fête nationale, auquel ont participé les occupants de plus de 50 maisons (Photo fournie)
Le complexe de Saudi Aramco à Dhahran a organisé un concours de décoration pour la fête nationale, auquel ont participé les occupants de plus de 50 maisons (Photo fournie)
Le complexe de Saudi Aramco à Dhahran a organisé un concours de décoration pour la fête nationale, auquel ont participé les occupants de plus de 50 maisons (Photo fournie)
Le complexe de Saudi Aramco à Dhahran a organisé un concours de décoration pour la fête nationale, auquel ont participé les occupants de plus de 50 maisons (Photo fournie)
Le complexe de Saudi Aramco à Dhahran a organisé un concours de décoration pour la fête nationale, auquel ont participé les occupants de plus de 50 maisons (Photo fournie)
Le complexe de Saudi Aramco à Dhahran a organisé un concours de décoration pour la fête nationale, auquel ont participé les occupants de plus de 50 maisons (Photo fournie)
Short Url
Publié le Mardi 28 septembre 2021

Les gagnants du concours de décoration intérieure pour la fête nationale illuminent la région de Dhahran

Le complexe de Saudi Aramco à Dhahran a organisé un concours de décoration pour la fête nationale, auquel ont participé les occupants de plus de 50 maisons (Photo fournie)
Le complexe de Saudi Aramco à Dhahran a organisé un concours de décoration pour la fête nationale, auquel ont participé les occupants de plus de 50 maisons (Photo fournie)
Le complexe de Saudi Aramco à Dhahran a organisé un concours de décoration pour la fête nationale, auquel ont participé les occupants de plus de 50 maisons (Photo fournie)
  • Les familles ont relevé le défi et se sont surpassées pour décorer leurs maisons de manière créative
  • Les visiteurs de la communauté de Dhahran et d’ailleurs ont afflué vers le complexe pour admirer les nombreuses décorations et expositions impressionnantes créées par les résidents

DHAHRAN: Les célébrations de la 91e fête nationale saoudienne se sont poursuivies cette semaine avec des festivités dans les écoles, les maisons, les centres commerciaux et d’autres emplacements dans tout le Royaume. 

De nombreux quartiers ont fêté l’anniversaire de la fondation de la nation, qui est célébré le 23 septembre de chaque année, de manière spectaculaire, en décorant les résidences et les commerces de lumières, de drapeaux et d’ornements verts et blancs, couleurs traditionnelles de l’Arabie saoudite. 

L’un des plus anciens quartiers résidentiels connus du Royaume, le complexe de Saudi Aramco à Dhahran, est allé plus loin en organisant un concours de décoration pour la fête nationale, auquel ont participé les occupants de plus de 50 maisons. 

Les familles ont relevé le défi et se sont surpassées pour décorer leurs maisons de manière créative. Par exemple, des lumières scintillaient aux fenêtres, de grands drapeaux saoudiens flottaient sur les toits des maisons et des tables recouvertes du tissu traditionnel Sadu offraient aux visiteurs un assortiment de dattes, de café arabe et de douceurs traditionnelles. 

Einas al-Ashgar et son mari, Marthad Ba-Abbad, qui travaillent tous deux pour Saudi Aramco, vivent dans le complexe avec leur fille de six ans, Joori. Ils ont eu l’idée de commencer par décorer leur maison de façon modeste, puis de créer une exposition interactive captivante inspirée de la mère d’Einas al-Ashgar, Munirah al-Sinani, propriétaire d’une des maisons les plus connues de la région, qui est devenue un musée. 

Aidés par leurs amis et leur famille, Einas et Marthad ont décoré leur jardin avec des objets et des symboles traditionnels saoudiens, notamment des mannequins en tenue saoudienne, qu’ils décrivent comme des symboles d’unité à travers la diversité. Avec l’aide de leur amie Amal Nabty, ils ont trouvé un slogan arabe pour leur exposition, qui se traduit par «L’Arabie saoudite est plus belle avec son peuple». 

«Cette diversité est ce qui fait la beauté de l’Arabie saoudite, de son patrimoine du passé jusqu’à son avenir prometteur», estime Mme Al-Ashgar. 

Dans l’exposition de sa famille, l’évolution du Royaume était représentée par une toile décorative représentant la façade d’une habitation traditionnelle saoudienne et une grande bannière illustrant les mégaprojets futuristes en cours dans le cadre de la Vision 2030. 

Les visiteurs de la communauté de Dhahran et d’ailleurs ont afflué vers le complexe pour admirer les nombreuses décorations et expositions impressionnantes créées par les résidents. Mme al-Ashgar et son mari leur ont servi du café arabe et des biscuits arabes traditionnels, alors qu’une musique adaptée à la fête nationale jouait en arrière-plan. 

La famille a été récompensée pour ses efforts qui consistaient notamment à s’habiller avec les vêtements traditionnels de la province Ach-Charqiya. Elle a reçu le premier prix du concours de décoration, pour un effort familial qui s’est transformé en un événement communautaire et dont les voisins s’inspireront certainement pour trouver des idées encore plus originales pour le concours de l’année prochaine. 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


La diva libanaise Fairouz souffle ses 90 bougies

La diva libanaise Fairuz se produit lors d'un rare concert à Beyrouth le 7 octobre 2010. (AFP)
La diva libanaise Fairuz se produit lors d'un rare concert à Beyrouth le 7 octobre 2010. (AFP)
Short Url
  • Dernière légende vivante de la chanson arabe, Fairouz a soufflé jeudi ses 90 bougies alors que son pays, le Liban qu'elle a tant célébré, est plongé dans une guerre meurtrière entre le Hezbollah et Israël
  • Les internautes ont enflammé la Toile en diffusant les chansons de la diva, rare symbole d'unité nationale dans le pays divisé, alors que les médias de tous bords lui rendaient hommage

BEYROUTH: Dernière légende vivante de la chanson arabe, Fairouz a soufflé jeudi ses 90 bougies alors que son pays, le Liban qu'elle a tant célébré, est plongé dans une guerre meurtrière entre le Hezbollah et Israël.

Les internautes ont enflammé la Toile en diffusant les chansons de la diva, rare symbole d'unité nationale dans le pays divisé, alors que les médias de tous bords lui rendaient hommage.

En 2020, le président français Emmanuel Macron, en visite à Beyrouth, s'était rendu au domicile de Fairouz et l'avait décorée de la Légion d'honneur.

"A celle qui incarne l'âme de cette région avec dignité, un bel anniversaire", a-t-il écrit jeudi sur son compte Instagram.

"La voix de Fairouz est mon pays", a pour sa part écrit sur Facebook le célèbre compositeur libanais Marcel Khalifé.

Après s'être produite pendant plus d'un demi-siècle de Beyrouth à Las Vegas, en passant par Paris et Londres, la star n'apparait plus en public depuis plus d'une décennie.

"Quand vous regardez le Liban aujourd'hui, vous voyez qu'il ne ressemble aucunement au Liban que je chante", regrettait la diva dans une interview au New York Times en 1999, en allusion aux décennies de guerres et de destructions.

Au plus fort de la guerre civile, elle avait chanté "Je t'aime, Ö Liban, mon pays" ("Bhebbak ya Lebnane"), une chanson devenue iconique.

Fairouz a exalté son Liban natal mais également l'amour, la liberté et la Palestine.

Elle a donné vie aux paroles de grands poètes arabes --les Libanais Gibrane Khalil Gibrane, Saïd Akl ou l'Egyptien Ahmed Chawki--, tandis que ses chants patriotiques se sont incrustés dans la mémoire des Libanais et du reste du monde arabe.

Nouhad Haddad de son vrai nom, elle est née en 1934 dans une modeste famille chrétienne qui habitait le quartier de Zokak el-Blatt, visé lundi par une frappe israélienne.

Engagée à la radio, le compositeur Halim al-Roumi, impressionné, lui donne son surnom.

Dans les années 1950, elle épouse le compositeur Assi Rahbani qui, avec son frère Mansour, révolutionne la chanson et la musique arabe traditionnelles en mêlant morceaux classiques occidentaux, russes et latino-américains à des rythmes orientaux, sur une orchestration moderne.

C'est après ses premiers concerts au Festival international de Baalbeck, au milieu des ruines de ce site libanais antique près duquel s'abattent actuellement les bombes israéliennes, que la carrière de Fairouz s'envole.

Adulée par les aînés, elle devient l'icône des jeunes lorsque son fils Ziad, enfant terrible de la musique libanaise, lui composera des chansons influencées par des rythmes de jazz.


Message of Love: un concert évènement à Dubaï au profit du Liban

Short Url
  • Avec les prestations de Tania Kassis, Joseph Attieh, DJ Rodge, Michel Fadel et Anthony Touma, le concert présentera une panoplie de succès populaires tels que « Lebnan Rah Yerja3 »
  • Le présentateur Wissam Breidy sera également de la partie, dans le cadre d'une apparition spéciale

DUBAI: Message of Love, en collaboration avec One Lebanon, est un concert qui rassemble des stars libanaises pour une soirée mémorable de musique dédiée au Liban.
Avec les prestations de Tania Kassis, Joseph Attieh, DJ Rodge, Michel Fadel et Anthony Touma, le concert présentera une panoplie de succès populaires tels que « Lebnan Rah Yerja3 », « Watani », « Elle s'appelait Beirut » et « Waynik Beirut », ainsi que des chansons libanaises qui réchauffent le cœur et qui trouveront un écho profond auprès du public.

Le présentateur Wissam Breidy sera également de la partie, dans le cadre d'une apparition spéciale.

 


Spike Lee présidera le jury du Festival international du film de la mer Rouge

Le cinéaste Spike Lee, lauréat d'un Oscar et connu pour des films comme "Malcom X" et "BlacKkKlansman", présidera cette année le jury de la compétition des longs métrages du Festival international du film de la mer Rouge. (AFP)
Le cinéaste Spike Lee, lauréat d'un Oscar et connu pour des films comme "Malcom X" et "BlacKkKlansman", présidera cette année le jury de la compétition des longs métrages du Festival international du film de la mer Rouge. (AFP)
Short Url
  • Le cinéaste Spike Lee, connu pour des films comme "Malcom X" et "BlacKkKlansman", présidera cette année le jury de la compétition des longs métrages du Festival international du film de la mer Rouge
  • La quatrième édition du festival aura lieu à Djeddah, en Arabie saoudite, du 5 au 14 décembre, dans la vieille ville de Djeddah, Al Balad

DUBAÏ: Le cinéaste Spike Lee, connu pour des films comme "Malcom X" et "BlacKkKlansman", présidera cette année le jury de la compétition des longs métrages du Festival international du film de la mer Rouge.

La quatrième édition du festival aura lieu à Djeddah, en Arabie saoudite, du 5 au 14 décembre, dans la vieille ville de Djeddah, Al Balad.

La compétition Red Sea: Features présentera les plus grandes réalisations d'un large éventail de cinéastes de la région arabe, d'Asie et d'Afrique. Seize longs métrages ont été sélectionnés pour présenter les œuvres les plus convaincantes, uniques et impressionnantes de l'année écoulée. Les gagnants seront sélectionnés par Lee et le reste du jury pour recevoir les très convoités Yusr Awards.

En 2023, le Yusr d'or du meilleur long métrage a été décerné à "In Flames", réalisé par Zarrar Khan.

Lee participera également au volet In Conversation du festival, qui accueille des sommités du secteur venues du monde entier pour partager leurs points de vue et avoir des discussions constructives sur leurs pratiques, leurs passions et leurs histoires.

Jomana Al Rashid, présidente de la Red Sea Film Foundation, a déclaré dans un communiqué: "En vue de notre quatrième édition, nous sommes honorés d'accueillir le légendaire Spike Lee en tant que président du jury du festival cette année. Spike est un réalisateur pionnier dont l'œuvre emblématique a eu un impact durable sur le cinéma en tant que média et sur la culture en général. Son énergie, sa perspicacité et son engagement sincère en faveur de la créativité et des nouvelles voix font de lui le candidat idéal pour diriger notre jury cette année - nous avons hâte qu'il s'engage avec les talents naissants de notre compétition".
 
Lee a ajouté: "Ayant eu la chance d'expérimenter directement l'incroyable réalisation de films, l'atmosphère et la créativité du Festival international du film de la mer Rouge en 2022, c'est un privilège de revenir cette année en tant que président du jury. En plus de créer un creuset où les cultures se rassemblent pour célébrer notre importante forme d'art, il est vital de continuer à mettre en avant les jeunes cinéastes émergents qui trouvent leur voix dans l'industrie, et il est passionnant de voir des réalisateurs débutants de toute la région arabe, d'Asie et d'Afrique dans le cadre de la compétition de cette année. J'ai hâte de me plonger dans le programme et de prendre des décisions qui, j'en suis sûr, seront très difficiles à prendre aux côtés des éminents membres du jury".

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com