Sacha Jafri: l’art au service de l’humanité

Dans le cadre de la mission de Sacha Jafri, le projet vise à connecter 1 milliard de personnes dans le monde à travers l'art. (Photo Fournie)
Dans le cadre de la mission de Sacha Jafri, le projet vise à connecter 1 milliard de personnes dans le monde à travers l'art. (Photo Fournie)
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Publié le Mardi 01 septembre 2020

Sacha Jafri: l’art au service de l’humanité

  • Des dizaines de pots de peinture entourent une toile de 1 986 mètres carrés qui deviendra bientôt le plus grand tableau du monde
  • Le tableau sera découpé en 60 pièces et mis aux enchères afin de collecter plus de 30 milliards de dollars au profit des enfants les plus touchés par le virus à travers le monde

DUBAÏ: Dans une salle de bal de l'hôtel 5 étoiles Atlantis The Palm de Dubaï, l'artiste Sacha Jafri travaille intensément. Des dizaines de pots de peinture entourent une toile de 1 986 mètres carrés qui deviendra bientôt le plus grand tableau du monde, lui permettant ainsi de figurer probablement dans le livre Guinness des records.

Mais l’objectif du peintre britannique contemporain n’est pas la notoriété. Il travaille sur la toile, intitulée The Journey of Humanity, depuis mars dernier, alors qu’il était encore confiné à l’hôtel aux Émirats arabes unis, en raison de la pandémie de coronavirus (Covid-19).

En novembre prochain, le tableau sera découpé en 60 pièces et mis aux enchères à l’hôtel Atlantis The Palm afin de collecter plus de 30 milliards de dollars pour venir en aide aux enfants et aux jeunes les plus touchés par le virus à travers le monde. La vente aux enchères sera retransmise en direct dans quatorze pays.

« Il semble que nous soyons devenus un peu égocentriques en tant qu'humains… Nous avons désormais une opportunité de désapprendre tout ce que nous, en tant qu'adultes, pensons savoir, et d’accueillir une nouvelle compréhension de l'humanité, de l'humilité, de l'empathie et finalement de notre chemin réengagé à venir, à travers l'âme de nos enfants », a déclaré Jafri.

Les partenaires caritatifs de ce projet comprennent le Fonds des nations unies pour l’enfance (Unicef), l'Organisation des nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco), la Global Gift Foundation, la Dubai Cares, ainsi que le gouvernement des Émirats arabes unis.

 

Sacha Jafri est un peintre britannique. (Photo Fournie)

Dans le cadre de la mission de Sacha Jafri, le projet vise à connecter 1 milliard de personnes dans le monde à travers l'art.

« L’inspiration de ce tableau vient de l’abandon. Vous ne pouvez pas penser que c’est vous en tant qu’artiste qui le créez. Je suis dans l’abandon, l’humilité et l’apprentissage. Je me suis abandonné au moment présent et je suis convaincu que le résultat sera magnifique », a expliqué Jafri à Arab News.

Le tableau est divisé en plusieurs récits. « Je sens que les humains se sont déconnectés de l'âme de la Terre. Je pense qu'en tant qu'humanité, nous nous dirigeons vers quelque chose de bien pire que la Covid-19. Il s’agit presque d’un avertissement pour nous exhorter à changer et pour créer cette peinture The Journey of Humanity », a-t-il confié.

Dans la première section de l’œuvre, Jafri dépeint l’âme de la Terre, et ce à quoi elle pourrait ressembler. La section suivante illustre la nature, « notre plus beau cadeau ; les montagnes, les arbres, les océans, les rivières. Cette section représente la beauté de la nature », ajoute-t-il.

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Des dizaines de pots de peinture entourent une toile de 1 986 mètres carrés qui deviendra bientôt le plus grand tableau au monde, lui permettant ainsi de figurer probablement dans le livre Guinness des records. (Photo Fournie)

La troisième section symbolise l’humanité elle-même, ainsi que l’amour de la mère. « J’ai découvert que dans la vie, pour qu’un enfant puisse déployer ses ailes et réaliser ses rêves, il doit se sentir aimé, en sécurité, et courageux. » Jafri déplore malheureusement  que ce constat ne corresponde pas à la réalité : «  J’ai constaté au fil de mes voyages, dans les nombreux lieux que j’ai visités, des associations caritatives et des camps de réfugiés, que 90 % des enfants dans le monde ne se sentent ni aimés, ni en sécurité, ni courageux, que ce soit dans les pays développés, les pays en voie de développement et dans les communautés les plus riches. »

Une fois les fonds nécessaires collectés, le projet vise à fournir la connexion Internet à certaines des régions les plus éloignées et les plus pauvres du monde, ainsi qu’aux communautés dans le besoin, décimées par la pandémie de Covid-19.

Humanity Inspired est l’un des premiers projets du genre à être approuvé par plus de 100 personnalités publiques mondiales. (Photo Fournie)

Le projet permettra également la mise en place de centres d'éducation et de santé durables, plus efficaces, équipés d'un accès Internet pour un apprentissage en ligne ultérieur, ainsi que du matériel médical, des soins de santé, des vaccins et des installations sanitaires, dans l'espoir d'améliorer la vie de 10 millions d'enfants. « L’objectif est de donner à ceux qui en ont le plus besoin une véritable opportunité de changer le monde qui les entoure », ajoute Jafri.

Atlantis The Palm a créé un site Web au travers duquel les enfants des quatre coins du monde peuvent soumettre leurs œuvres. Jafri les imprime ensuite et s’en inspire pour sa toile. « Ces œuvres ne sont pas entachées par la vie des adultes ; elles sont le reflet de l’émotion pure », dit-il.

Le tableau est divisé en plusieurs récits. (Photo Fournie)

Humanity Inspired est l’un des premiers projets du genre à être approuvé par plus de 100 personnalités publiques mondiales telles que: le joueur de cricket indien, Virat Kohli ; l’actrice américaine, Eva Longoria ; l’auteur indo-américain, Deepak Chopra ; le top-modèle américain, Brooklyn Beckham ; la présidente de la fondation Virgin Unite, Holly Branson ; le comédien britannique, David Walliams ; le footballeur français, Kylian Mbappe ; la maquilleuse irako-américaine, Huda Kattan ; le musicien américain, Nile Rodgers et la chanteuse belgo-canadienne, Lara Fabian.

Chacune des 100 célébrités a soutenu Jafri à distance lorsqu’il peignait durant le confinement et a encouragé le reste du monde à s’impliquer.

« J’espère que mon travail agira comme un électrochoc, enflammera et inspirera l'esprit, élèvera l'âme, éveillera quelque chose qui sommeille en nous, et préservera la beauté, la pureté et la magie de l'enfant qui vit en nous tous pour toujours, confie Jafri. Avec cette toile, The Journey of Humanity, j’aspire à transformer l’humanité afin de peindre collectivement le monde d’une couleur différente, avec un message d’espoir et une nouvelle aube devant nous. »

Ce texte est la traduction d'un article paru sur ArabNews.com


Des artistes français présentent une expérience artistique envoûtante à Djeddah

Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
Les œuvres d’art immersives sont réalisées à partir des données biométriques de la danseuse Jeanne Morel, recueillies pendant qu’elle effectuait des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur. (Photo fournie)
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  • «C’est un réel plaisir d’être ici, en particulier à Hayy Jameel, où nous mêlons l’art et la science pour créer une expérience sensorielle sans équivalent»
  • «Nous abordons les données non comme de simples codes, mais comme des sensations, ce qui nous permet de caractériser l’expérience et de la partager»

DJEDDAH: L’artiste Paul Marlier et la danseuse Jeanne Morel présentent une exposition d’art numérique interactive baptisée «ETH3R» au centre culturel de Djeddah, Hayy Jameel.

Les deux créateurs français exposent des œuvres immersives réalisées à partir des données biométriques de Jeanne Morel recueillies pendant qu’elle effectue des mouvements dans des environnements extrêmes, y compris en apesanteur.

Ce mélange unique de technologie et de créativité a captivé le public en raison de la réflexion qu’il offre sur la réalité et du contraste saisissant qu’il présente avec la nature souvent banale de la vie quotidienne.

Dans une interview accordée à Arab News, Paul Marlier évoque le processus créatif qui est à l’origine de cette œuvre numérique. Il explique également comment ces productions sont inspirées par les données humaines et scientifiques qu’il a recueillies.

«C’est un réel plaisir d’être ici, en particulier à Hayy Jameel, où nous mêlons l’art et la science pour créer une expérience sensorielle sans équivalent», déclare-t-il. «Cette expérience représente l’ADN du monde, la danse de nos âmes.»

«ETH3R présente des tableaux, mais aussi des installations dynamiques qui sont dérivées des données biométriques de ma femme, Jeanne Morel, qui danse dans des environnements divers et extrêmes, des profondeurs de l’océan jusque dans les hautes altitudes où s’entraînent les astronautes», poursuit-il.

Paul Marlier a fusionné ces données scientifiques sur la physiologie humaine avec d’autres informations comme la qualité de l’air, l’imagerie satellite et même des faits relatifs à la mer Rouge. «Ces œuvres d’art sont des empreintes émotionnelles qui rappellent des moments de grâce. Il s’agit d’un véritable travail de collaboration.»

Expliquant le processus, il précise: «Jeanne, équipée de capteurs semblables à un pinceau, est le catalyseur. Ses émotions lorsqu’elle danse sont traduites grâce à des codes en art numérique tel qu’on peut le voir dans les peintures. Nous explorons les thèmes de la fragilité, de la spiritualité et de l’unité inhérente entre l’homme et la nature – la danse universelle.»

«Nous abordons les données non comme de simples codes, mais comme des sensations, ce qui nous permet de caractériser l’expérience et de la partager. En recueillant une multitude d’informations de cette danseuse singulière, nous nous efforçons de matérialiser l’essence de la grâce», souligne Paul Marlier.

«La danse est le moyen d’exprimer ses émotions les plus profondes, de manière parfois plus simple qu’avec des mots», explique pour sa part Jeanne Morel.

«C’est l’allégorie de la vie. Elle me permet de rester vivante, connectée aux mouvements du monde. Nos corps sont constamment en train de danser, de bouger, sur cette terre qui elle-même danse autour du soleil et reste en équilibre grâce à la gravité», ajoute la danseuse.

À propos de leur première visite dans le Royaume, Paul Marlier livre cette observation: «Les gens sont très accueillants ici. La spiritualité et la poésie sont très présentes.»

«Nous admirons la spiritualité et l’ouverture d’esprit de ce pays pour tout ce qui touche l’art, notamment l’art numérique», ajoute son épouse.

«Observer des œuvres d’art qui dépassent les frontières a été un voyage envoûtant qui a captivé nos sens et a suscité l’émerveillement face à la fusion de l’art et de la technologie. Les démonstrations en direct et la danse ont été incroyablement relaxantes. Cela nous a permis de nous évader sereinement dans un autre monde, imaginaire», confie Walid Harthi, un passionné d’art.

L’exposition se tient jusqu’au 11 mai.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


A la Fondation Vuitton, «  L'Atelier Rouge  » de Matisse comme un manifeste

L'exposition s'ouvre par une phrase de Matisse expliquant à son mécène russe, Sergueï Chtchoukine, qu'il a fait "quelque chose de nouveau". (AFP).
L'exposition s'ouvre par une phrase de Matisse expliquant à son mécène russe, Sergueï Chtchoukine, qu'il a fait "quelque chose de nouveau". (AFP).
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  • "L'Atelier rouge" (1911) est exposé à partir de samedi à la Fondation Vuitton à Paris, où il pourrait livrer quelques-uns de ses secrets
  • L'assiette peinte par Matisse en 1907 figurant à l'avant-plan de "L'Atelier rouge" provient, elle, de la collection du MoMA comme le tableau lui-même, acquis par le musée new-yorkais en 1949

PARIS: Comme un manifeste, il a inspiré d'innombrables peintres abstraits américains, ce qu'Henri Matisse ne savait pas lorsqu'il l'a peint: "L'Atelier rouge" (1911) est exposé à partir de samedi à la Fondation Vuitton à Paris, où il pourrait livrer quelques-uns de ses secrets.

L'exposition réunit en effet pour la première fois toutes les œuvres présentes dans ce tableau, une quinzaine de toiles et de sculptures qui se trouvaient dans l'atelier de l'artiste à Issy-les-Moulineaux, en région parisienne.

Certaines sont célèbres, comme "Le Jeune Marin II" (1906), exposé en France pour la première fois depuis 31 ans. D'autres moins, comme "La Corse, le vieux moulin" (1898).

L'assiette peinte par Matisse en 1907 figurant à l'avant-plan de "L'Atelier rouge" provient, elle, de la collection du MoMA comme le tableau lui-même, acquis par le musée new-yorkais en 1949 et qui fait partie de ses œuvres les plus prestigieuses, selon Ann Temkin, sa conservatrice en chef.

Des documents d'archives inédits et d'autres œuvres éclairent le contexte de création de ce "tableau-énigme", selon l'expression de la commissaire générale Suzanne Pagé, telles que "La Fenêtre bleue" (1913) du MoMA et "Grand Intérieur rouge" (1948) du Musée d'art moderne du Centre Pompidou.

Révélation

L'exposition s'ouvre par une phrase de Matisse expliquant à son mécène russe, Sergueï Chtchoukine, qu'il a fait "quelque chose de nouveau".

"Chtchoukine lui a passé commande, a acheté d'innombrables tableaux, dont +La Danse+ et +L'Atelier rose+, mais, cette fois, il refuse", raconte Mme Pagé.

"Dans sa première phase, les murs de l'atelier étaient bleus avec des rayures vertes, le sol rose et le mobilier ocre, représentant un intérieur avec une perspective traditionnelle".

"Matisse l'a laissé reposer pendant un mois et il va le recouvrir entièrement de rouge vénitien très rapidement avec une technique très fébrile", développe-t-elle.

Matisse "ne l'explique pas très bien lui-même. Il a eu une révélation". Le tableau fera "fonction de manifeste pour tous les artistes américains expressionnistes et la génération suivante, du type Mark Rothko puis Ellsworth Kelly. La représentation y est abolie au profit de l'abstraction", ajoute Mme Pagé.

A l'époque, souligne-t-elle, "tout le monde a pensé que Matisse tombait dans une espèce d'errance".

Montré à Londres, il y reçoit un accueil très froid, comme à New York, Boston et Chicago plus tard, au prestigieux Armory Show. Il finira dans un club privé londonien avant d'être revendu à un galeriste new-yorkais en 1940, puis d'entrer au MoMA en 1949.

Tableau « osé »

"L'histoire de l'art n'aurait pas été la même sans lui. C'est l'un des tableaux les plus osés de Matisse, qu'il a fait à l'aube de ses 40 ans, et c'est un moment d'expérimentation dans son travail qui a le plus influencé l'histoire de l'art du reste du XXe siècle", assure Mme Temkin.

"Lorsqu'il est arrivé au MoMA en 1949, c'était au moment où les artistes commençaient à utiliser de très grands formats avec des tableaux plein de couleurs. On raconte que la femme de Rothko se plaignait de le voir aller tout le temps voir +L'Atelier rouge+ au MoMA, ce à quoi il aurait répondu que, sans lui, elle n'aurait pas la maison dans laquelle elle vivait, façon de dire qu'il n'aurait pas eu lui-même la carrière qu'il a eue", confie-t-elle.

Parallèlement à Matisse, la fondation présente une exposition consacrée justement à un artiste américain de l'abstraction, Ellsworth Kelly (1923-2015), la plus grande de cette ampleur organisée à Paris où il vécut plusieurs années, intitulée "Formes et Couleurs", en collaboration avec le Glenstone Museum (Potomac, Maryland).

Connu pour ses œuvres monochromes, à mi-chemin entre peinture et sculpture, Ellsworth Kelly a aussi conçu pour la Fondation Vuitton le décor de son auditorium, juste avant de mourir.


La French touch pour un voyage de renouveau et de bien-être à Dubaï

Le Retreat Palm Dubai MGallery vous propose une expérience unique (fournie)
Le Retreat Palm Dubai MGallery vous propose une expérience unique (fournie)
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  • La journée commence par un petit déjeuner et une activité de poterie; c’est le point de départ d’une journée entièrement consacrée au bien-être holistique
  • Situé sur les rives de Palm Jumeirah, à Dubaï, l’hôtel bénéficie d'une vue imprenable sur le golfe Arabique

DUBAÏ: Le Retreat Palm Dubai MGallery propose à ses clients un véritable voyage avec le programme intitulé «MGallery Memorable Moments», récemment dévoilé.

Le MGallery fait partie de la chaîne hôtelière française Sofitel Hotels, basée à Paris.

Conçu pour offrir une journée inoubliable de relaxation et de rajeunissement, le MGallery offre aux touristes et aux résidents des Émirats arabes unis une expérience inoubliable de bien-être, loin de l'agitation de la ville et de la vie quotidienne.

La journée commence par un petit-déjeuner et une activité de poterie; c’est le point de départ d’une journée entièrement consacrée au bien-être holistique. Qu'il s'agisse de s'immerger dans le royaume de la thérapie «color and sound», de s'adonner à des expériences sportives ou de prendre soin de son visage, la chaîne française offre une expérience qui répond à tous les goûts.

«Ces rituels servent de marqueurs profonds dans votre voyage. Ils revigorent le corps, l'esprit et l'âme», confie ainsi Samir Arora, directeur général de MGallery.

«Chaque moment de ce séjour exceptionnel est soigneusement conçu pour vous laisser un sentiment d'équilibre intérieur et de renouveau», ajoute-t-il.

Le Retreat Palm Dubai MGallery est un hôtel de luxe marqué par la French touch.

Situé sur les rives de Palm Jumeirah, à Dubaï, l’hôtel bénéficie d'une vue imprenable sur le golfe Arabique et il offre à ses clients un espace serein où ils peuvent profiter d'un service personnalisé et d'expériences culinaires exquises.

Avec son mélange inimitable d'élégance contemporaine, le Retreat Palm Dubai MGallery offre une retraite inoubliable aux voyageurs exigeants qui sont à la recherche d'une expérience unique et enrichissante.