Le moment actuel dans le Levant arabe peut se résumer en deux hommes et mouvements : Benjamin Netanyahou, qui sort du ring, et Ebrahim Raïssi, qui y entre.
Le confort au départ du premier est dissipé par l'entrée du second.
Cela ne veut pas dire que Netanyahou est une exception parmi les politiciens israéliens ou qu'il est très différent de ceux qui l'ont remplacé. Cela ne signifie pas non plus que Raïssi – qui sera nommé président de la République islamique d'Iran lors d'une élection sans concurrents – est une figure exceptionnelle qui propulsera des changements qualitatifs au sein du régime iranien et de ses orientations.
En vue de cela, il y a quelques considérations importantes qu'il serait difficile d'écarter.
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