L'explosion simultanée mardi à travers le Liban de ces bipeurs utilisés par le mouvement islamiste pro-iranien a fait neuf morts et près de 2.800 blessés
Israël n'a pas commenté ces explosions, survenues dans plusieurs places fortes du Hezbollah quelques heures après l'annonce par ce pays qu'il étendait les objectifs de la guerre contre le Hamas
Des responsables, américains et d'autres nationalités, ont affirmé au New York Times qu'Israël était parvenu à cacher des petits explosifs dans des bipeurs achetés par le Hezbollah à Taïwan et les a déclenchés à distance mardi
Ces sources, qui s'expriment sous le couvert de l'anonymat, ont donné au quotidien américain des détails sur cette opération sans précédent
La proposition de loi rendrait illégal le fait de faire l'éloge d'un individu ayant commis un acte terroriste, et pas seulement de l'acte lui-même.
Selon les groupes de défense des droits, la législation vise à supprimer la liberté d'expression et à cibler les citoyens arabes pour des raisons politiques.
Ahmed Aboul Gheit déclare qu'une reconnaissance plus large de l'État palestinien est nécessaire pour faciliter les négociations avec Israël « sur un pied d'égalité, fondé sur la parité juridique ».
Lors de sa rencontre avec le coordinateur des Nations unies pour la paix au Moyen-Orient, il prévient que la tolérance de l'Occident à l'égard de la guerre menée par Israël à Gaza « aura des conséquences importantes sur la stabilité régionale ».
Des centaines de membres du Hezbollah ont été blessés mardi à travers le Liban dans l'explosion simultanée de leurs bipeurs, attribuée par une source proche du mouvement islamiste à un "piratage israélien"
Depuis le début de la guerre à Gaza il y a près d'un an, la zone frontalière est devenue le théâtre d'échanges de tirs presque quotidiens entre l'armée israélienne et le Hezbollah
En juillet, la Cour internationale de justice (CIJ) a estimé que "la présence continue d'Israël dans le Territoire palestinien occupé est illicite" et qu'Israël est "dans l'obligation (d'y) mettre fin (...) dans les plus brefs délais".
Le projet de résolution "exige" également le retrait des forces israéliennes des territoires palestiniens, l'arrêt des nouvelles colonies, la restitution des terres et propriétés saisies, ou encore la possibilité de retour des Palestiniens déplacés.