« Quand il y a une crise dans un pays, on l'a vu avec l'exode des Syriens en 2015, le pourcentage d'éduqués dans les demandeurs d'asile est plus important que dans la population d'origine»
«On peut craindre que ce soit une perte sèche pour l'Afghanistan qui va probablement réduire ses capacités de rebondir à plus long terme»