Selon la préfète Josiane Chevalier, représentante de l'Etat, «deux tiers des personnes du camp sont en situation irrégulière» et «n'ont pas vocation à rester sur notre territoire»
Fin août, le collectif «Pas d'enfants à la rue» avait recensé 25 enfants scolarisables sur le camp. Seuls quelques-uns ont pu faire leur rentrée
"Le retrait de tous les enfants étrangers des camps est une priorité absolue et obligatoire", affirme Dunja Mijatovic, et "leurs mères doivent être rapatriées avec eux"
"Le refus de certains États parties de rapatrier leurs ressortissants est de nature à entraver le droit au respect de la vie privée et familiale de ces personnes", poursuit Mme Mijatovic