Les Emirats seront les premiers à rouvrir leurs frontières avec le Qatar, après l’annonce mardi de la fin de la crise et la levée du boycott diplomatique et économique de Doha
Les EAU, qui n’ont pas de frontière terrestre avec le Qatar, "travailleront à rouvrir toutes les frontières terrestres, maritimes et aériennes" aux mouvements en provenance et à destination du Qatar
Participation confirmée après que le Koweït a annoncé que le Royaume rouvrira ses frontières et son espace aérien au Qatar
Le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane a déclaré lundi que le sommet créera un front uni, renforcera la paix et la prospérité et conduira à un resserrement des rangs
Les manifestants, qui répondaient à l'appel du groupe radical Hefazat-e-Islam, un des principaux groupes islamistes du pays, ont été empêchés de s'approcher de l'ambassade de France à Dacca
Il s'agit de la troisième et plus importante à ce jour des manifestations d'ampleur organisées depuis une semaine par des partis islamistes contre la France et son président au Bangladesh
Emmanuel Macron a affirmé comprendre que des musulmans puissent être « choqués » par les caricatures de Mahomet mais qu'elles ne justifiaient pas la violence
« Ca ne veut pas dire que je soutiens à titre personnel tout ce qu'on dit, qu'on dessine »
« Pour l'instant ce boycott est très circonscrit, limité à un certain nombre de produits alimentaires, mais vraiment de façon très limitée, tant mieux »
« Nous sommes évidemment très attentifs. La Turquie a plus besoin de l'Europe et de la France que l'inverse ».
La Turquie et le Qatar ont lancé un appel au boycott des produits français en réaction aux déclarations d’Emmanuel Macron sur les caricatures de Charlie Hebdo
Des élus demandent la remise en cause d’une convention fiscale avantageuse signée en 2008 entre la France et le Qatar
Ces appels au boycott, ainsi que des manifestations, ont été lancés dans le monde musulman après de récents propos du président Emmanuel Macron sur l'islam.
Pour Paris, en outre, ces mouvements "instrumentalisent à des fins politiques les propos tenus" par le président Emmanuel Macron le 2 octobre, lors de la présentation d'un projet de loi sur le "séparatisme islamiste"