Les délégués de 190 pays ont jusqu'au 19 décembre pour adopter un «cadre mondial décennal» assez ambitieux pour mettre un terme d'ici 2030 à la destruction de la nature
Et le temps presse: un million d'espèces sont menacées d'extinction, un tiers des terres sont gravement dégradées et les sols fertiles disparaissent
Le prince Mohammed a précisé que le Royaume contribuerait à hauteur de 2,5 milliards de dollars à l’Initiative pour un Moyen-Orient vert (MGI) au cours des dix prochaines années
La MGI a pour objectif de réduire de plus de 60% les émissions de carbone liées à la production régionale d’hydrocarbures
Le reptile, à la peau sombre marquée de points et d'anneaux jaune clair, est déposé au sol et se perd lentement dans la végétation de cette région de forêts semi-arides dans la vallée du fleuve Motagua
Juan Alvarado, 68 ans, raconte que l'animal a longtemps été victime de la peur qu'inspire son venin, et des légendes qui en font un mauvais présage
Une déléguée se disait «désespérée». «C'est une étape», relativisait dimanche un autre délégué, en espérant la mise en place de réunions informelles d'ici à décembre
«Ce n'est plus uniquement un problème écologique (...) mais un problème qui affecte notre économie, notre société, notre santé, notre bien-être, c'est un enjeu sécuritaire pour l'humanité», a rappelé le directeur général de WWF International
En moins de deux décennies, la population de cet oiseau au plumage rose pâle et au long bec recourbé qui avait totalement disparu du pays a grimpé à près de 500 individus sur l'île de Sado, en mer du Japon
Réimplanté de Chine, le toki, aussi appelé «ibis japonais à crête» ou «nipponia nippon», attire aujourd'hui les touristes à Sado, et d'autres régions de l'Archipel envisagent de le réintroduire