La reconnaissance du génocide constitue «un exemple encourageant pour tous ceux qui veulent bâtir une société internationale juste et tolérante», a encore dit le chef du gouvernement arménien
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a quant à lui accusé des «tiers» de s'ingérer dans les affaires de la Turquie, tandis que le ministre des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, a estimé que son pays n'avait «de leçons à recevoir de personne»
En rejoignant l'accord de Paris de 2015 sur le climat dès son arrivée à la Maison Blanche, le président Biden a marqué les esprits et soulevé de grands espoirs
Un autre géant économique, premier émetteur mondial de gaz à effet de serre en valeur absolue, sera également l'objet de toutes les attentions : la Chine
La reconnaissance du massacre des Arméniens chrétiens par les Turcs ottomans entre 1915 et 1923 serait une première pour un président américain
Cette reconnaissance constituerait un coup dur pour le président turc, Recep Tayyip Erdogan, dans un contexte de tensions persistantes dans les relations entre les États-Unis et la Turquie
«Nous devons bannir les fusils d'assaut», «Je n'ai pas besoin d'attendre une minute de plus, pour prendre des mesures de bon sens qui sauveront des vies à l'avenir»
Les motivations du tireur, décrit comme «asocial» et «paranoïaque» par des proches qui pour certains ont évoqué des troubles psychiques, ne sont pas encore connues.
Il affirmait vouloir tuer par balle le président américain, la cheffe démocrate du Congrès Nancy Pelosi, et la gouverneure démocrate du Michigan Gretchen Whitmer
Il avait également enregistré dans son téléphone portable des informations sur la fabrication d'une bombe et sur le matériel nécessaire